L'éclat
du n'importe quoi
dans le méli-mélo
du verbe
borné
par le
Dieu de Spinoza
apeuré
de la mise
en camisole
par celui État
d'Hegel
et du seul
Dieu
qui peut encore
nous sauver
le
UN
des uns
Boom Boom
et du
TRI
qui à chaque
retour
du même
suicidaire
attend
ce qui seras
dans le bunker
de
l'Esprit
qui ne peut périr
Alors
patience
dans l'azur
du perennius
de quoi... .
Chutttt ... .
Léthargie
époustouflante
tombée
après
TOUT
LÀ
OÙ
l'attente
sombre
en aile
extase dionysiaque
ou encor
échappé
hors l'imposable
mortification
des synapses
Éparpillements
du
MONDE
malgré
les reprises
de la foi
redondante
et vulgaire
de la dévoration
sans dévot
du trou noir
des contradictions
justifiant
les faits
verbilleux
du quotidien
sous la voute
envoutée
du
EST
un long fleuve
de sang
pas tranquille
du
TOUT
et de retour
autant qu'en à besoin
le système
Nature
natures
évidemment
et vide
et plein
RIEN
Devant toutes
définitions
de
l'ART
le petit roi
s'endort
Au fond
c'est tendre
à la vérité
de l'émotion
seul signe
vers d 'autres
signes
assurés
antre-nous
du doute
sur le chemin
qui mènent
à la grâce
Sont secrets
est sans guide
et ne mènent
Nulpart
Une foi
2 cinq
7 8
n'oeuf
quelque chose
qui
s'approche
sans ça
voir
L'Art
EST
la
VÉRITÉ
invérifiable
Elle y tend mais
n'atteint pas
sa mort
Alors
voici
des fruits... .
et un petit
dessin
Alors
ARt
accusant réception
quotidienne
du massacre
des innocents
de la
VÉRITÉ
sanguinaire
menant
penauds
à machins
vers la fin
de l'histoire
du petit
chaperon
rouge
et de ses suites
en sommes
DISPARUS
au fond
de l'avalé
des ténèbres
déguisées
en bébelles
captant
les mises bas
compostées
en roulements
de tambours
au siècle
de
DISPARITION
Qui y à t-il
de plus
que la vie...
à moins qu'un petit
dessin
ne bouche
la bouche
les sorties
de maux à mots
du quotidien
du dé pipé
à la piperie
des jours
etc tec cte
et projette
en désordre
bien cadré
du temps
de la
MORT
en
Somme
au son du trait
qui prolonge
la torture
d'agonie
jusqu'au limite
de l'érection
de la dernière
exultation
monde
le portant
au réveil
de son éternité
de la poursuite
du jour
de l'éternel
retour
cahotant
de mise en forme
du crachat
de
Bataille
ou encor
la beauté
sauvant le monde
ou bien
Levinas
Hitler
l'art du choix
main tenant
le ciel
ouvert
vers vert
à moitié vide
à moitié plein
disparaissant
dans l'ennuis
du temps
TOUT
passe
à passer
repasseras
repasse
au besoin
de dieu sait quoi
et si... .
Black out
de limite
Les jeux étant faits
et la distance
atteinte
alors
que vienne
le nuptial
à un instant près
l'éternité
qui à tout le temps
pour lui
et structure
l'absolue
Détachement
en moins
que plus
du doute
gardant la raison
hors d'atteinte
de l'enclos
du chiffré
en masse reproduisant
le même
UN
des uns
délarmés
et armés jusqu'à
la dent
et crève
et ce petit dessin
prétendant
tenir tête
à l'étêté
de l'histoire
stragédiques
de la
DISPARITION
de ceci
allant au revers
du sortilège
des épelés
de madame chose
ouverte
aux lubies
du travail
au noir
Sa reconnaissance
main tiendras
les bouts
de maux
nécessaires
à la conclusion
du
CONTE
proématique
mis en
ART
Un éternument
une tragédie
exultation
début et fin
d'une éjaculation
de nés gosses
et des recettes
à pièges
illusoires
d'en
SOMMES
et des écrits
criant
de joies
ICI
juste
pour dire
la déchirure
des coeurs
trahis
d'Amour
et idiot
d'être
né pour pas
et main tenant
ce qui seras
bien entendu
selon ce qui
se propose
en soi
qui que quoi
Souvenir
à la
MORT
ses restes
d'insensés
QUOI
Point d'appuis
hors la folie
du
EST
en phase
terminale
germinant
l'apprêt
TOUT
maintenir
par la négative
Munch
le cri
d'HORREUR
que
d'ÊTRE
sommé
de mourir
de
VIVRE
secrété
d'ART
c'est de la merde
re-vue
et
re-compostée
sortant
pour peu
revenir
corriger
l'arrêt
du
coeur
joycien
de vent
le vide
incomblable
du sang
amour
Enfin
faire feu de
TOUT
RIEN
heureux qui comme
Ulysse
ou
qu'importe
James
et
Dieu
Contrat
dit
histoire
ment
pour
le
Conte
de
l'ENFER
croissant
aux grés
du sommeil
insensiblement
MORT
L'attiré
vert
vers
le ciel noir
d'OÙ
antre-nous
tenons
indécrottables
d'AMOUR
après trahison
de
l'insensé
À Louise
L'écroulement
des étoiles
d'ICI
juste
LÀ
le
TOUT
d'où sombre
le
SEUL
et des obligations
d'arrivé
va sans dire
le silence
du nul place
où reposer
sa tétête
et ces misères
en
Somme
reproduisant
guerres
marchandages
d'une ou deux
idées
qui font tourner
le carrousel
éclairé
sous
le lampadaire
de Nerval
des chandelles
de Vincent
et d'autres
à la suite
portant le regard
sur l'autoroute
déroutée
de l'abysse
sanglante
des faits
cernés
d'englouties
du train train
de wagon
de queues
Qu'est-ce que l'Art
à a voir
avec tout
ce cirque
et que peut bien
vouloir
dire bruisser
les redondances
à wawarons
sur la lumière
bien heureuse
en
l'EFFROI
des froideurs
et folies
carcérales
épelés
du nom de dieu
sait quoi
Oui
ART
créant la fureur
de VOIR
sous le rideau
la vérité
de quoi qui que
oui mais... .
l'Enfer
ou ce précipite
le précipice
lui-même
Styles formes
ventriloque
déserté
du ciel et de la terre
d'AILLEUR
chutttt.... .
... .que de branlades
d'exultations
à la firme
maman
TOUT
tourne
pas de planète
carré
enfin
l'immensité
SEUL
AMOUR
la grande
découverte
ART
d'errance
au bout du soulier
qu'est-ce que ces
constructions
de miroitements
mirages
sans miracles
et que diable
milliards
de dédoublés
farçant
le vide
d'insipides
histoire
d'hier c'était toi
demain
lui le même
UN
des uns
'' Fin de saison''
des brides
sur l'empathie
du pareil
infernal
une peste
d'avoir vu
l'horreur
dans l'assiette
de l'Oeil
où mange
de vous
les joies
nouvelles
'' Il n'y à pas
de limites
aux absurdités
dont notre tête
peut
nous convaincre '' **
Translucide
de vos coeurs
battants
antre-nous
qui de
LÀ
exactement!
Johann Johannsson *
Laxness **
Du mensonge
survivant
diamétralement
opposé
à la douleur
du
VIVANT
vérité
de la duplicité
un trait
sans traite
de poétiques
ayant trouvées
On peut mourir
d'être éternel
même
en mentant
du mensonge
qui dit la vérité
Vers
le réconcilié
de l'uni-vers
la
BEAUTÉ
du règne
LÀ
ICI
d'AILLEURS
JEU
d'AMOUR
infini
ce
RIEN
évanescent
TOUJOURS
et terre
l'aile
de vent
tenant de la terreur
erronée
qui vient
toujours
casse le coeur
de
PRÉSENCE
qui s'éteint
à sa
FIN
du
TRI
La terre
se passeras
sans en gens
belle et ronde
post-proématique
métamorphosée
de ce qu'elle
SAIT
La
Fin
de
l'Art
attendre
conte an
l'instant
de la
MORT
'' Hurle hurle
à l'agonie
de la lumière '' *
donné
qu'arrache
à jamais
plus
réparable
tombant
en
VÉRITÉ
du capital
humanisé
d'humains
en flagrant déni
de déni
de taire
la terre
La nécessité
va où elle doit
obéir
à sa
FIN
en
UN
des uns
CHIFFRÉ
'' Aime moi
et soulève
ton masque '' *
JE
pense à toi
Saïs
Thomas *