Vers l'après
raison
de
Dieu
ou quelque chose
de
l'ART
après-tout
que pourrait bien
être
la
SALVE
de haine et d'amour
gerbe
enveloppée
d'élévation
fugace
Main tenir
la levée
d'éclaircie
antre-nous
les capables
de
RIEN
Confusion
au bagne
bagué
de la raison
dominante
vers le mystère
de l'insensé
présence
du
RIEN
AMOUR
en dessin
d'Amouir
au arrêt
de m'égare
travaillant
à éteindre
derrière
les murs
d'emmurements
prisant
d'autres
envoûtements
d'airs
vers verts
tendres
printemps
d'autres songes
bienvenues
Le monde est
ce qui à eu lieu
EST
ne seras plus
pas de cette pensée
LÀ
ICI
d'AILLEUR
Sauvage
et barbare
et métisser
dérivant
au gré
du donné
donnant
ce qui
n'est
PAS
croyant
et
Merveille
ce qui
EST
ne l'étant pas
de
LÀ
Aile était
tout en confiance
la main tue
la
MORT
s'insurge
en vous
ordonne
assassine
la
MORT
tue
TOUT
vous tu il
vous
sans raison
croyant
qui que quoi
qu'au cul
ou
qu'elle idée
Chérie
qui t'a tuée
tueras
Nature
natures
pleine de vase
sang barque
pour l'
UN
BOUM
d'ennui
comme raison
endormie
dans sa raison
sans raison
Juste pour
DIRE
Saïs
Passe
morts
plein
le cimetière
d'oubli
est toujours
oubli
d'amour
d'une petite
retenue
pour la
MORT
comme
TOUT
et pour après
TOUT
qui sait
le petit
dessin
Par
LÀ
avec
le secret
choisi
par le dessin
qui à muse
morte
au cerc'Oeil
de
Vive Mémoire
don
contre don
arrachée
de mort
absolue
de la
MORT
debout
A la brûlure
des glaces
s-os
jusqu'au fond
du ciel
d'accroire
JUSTE
pour
les aimés
stigmatisés
par la
MORT
donnant
la
MORT
d'envie
de la
VRAI
vie
d'AILLEURS
ICI
au secret
pas gardé
d'antre-nous
les bêtes
massacrées
d'OUBLI
Sous le silence
collabos
à quoi
la
MORT
déguisée
en faits néants
du semblant
des quelques
choses
au cul de la grande
chape de plomb
anesthésier
sur le fait
des fausses
du mourir
sans
RIRE
aux larmes
... .
Va sans dire
les chats les chiens
la
NATURE
chez la belle écriture
et les ô tôt
le matin
des esprits sains
nids
d'Aile
contre prétantaine
mère des maux
dit
aux trains
du
CAMP
d'éphémère
DISPARITION
laborieuse
laboratisée
( adaptés)
au
UN
darwinien
d'espèce
bâté
benêt
balourd
zzzzzzz
ronflard
chutttt.......
Et sot watt
zennisme
en temps
d'écrire un mot
par la
lumière
de
l'EFFROI
'' De n'être
pas malade
dans un monde
où il y a
des malades
un malaise
naît à la longue '' *
Vers le vert
sous
les vers
d'embellies
à dessein
santé
en dessins
dessinant
sur le sable
en tous genres
ce
RIEN
multipliant
les mots
pour la distraction
ESSENTIELLE
à
LA VRAI VIE
ICI
d'AILLEURS
à ces mères
veillées
'' Sort de l'espèce
si tu veux être
homme ' **
Voilà
pas à pas
l'éloignement
antre-nous
s'approche si près
le voile
enveloppe
protège
LA VRAI VIE
celle qui
TIENT
l'amouir
enfoui
en parcelles
intactes
définitives
et
à jamais
sans histoire
coeurs
sillonnés
de nos aimances
AILLEURS
ICI
ÉTERNELLEMENT
éblouies
récoltant
le bonheur
de nos misères
noires
Litanie
du manque
de tendre
main s'enfuie
la méchanceté
va bâcler
l'Enfer
de cette
DISPARITION
l'inconscient
commande
d'en finir
avec l'ennuis
des amibes
de la reproduction
du même
UN
des uns
tout doucement
LÀ
la panse
biodégradable
Enfin
qu'est-ce que
l'ART
en temps
des signes
à la proue
d'attendre
'' Tout est magie
ou rien '' ***
C'est sans mot
la vrai
BEAUTÉ
qui se présente
craintive
et tremblante
entrevue
Canguilhem *
Suarès **
Novalis***
... .sur une musique
pour oreilles
sourdes
et par les orteils
dansantes
rouges
cassées
de la sémantique
à l'ordre
du jour
tambourinant
bonheur et paix
PAIX
en pas dansés
sans la cadence
engouffrée
d'OUBLI
Ô
coeur
chérie
aux milles pattes
de vérités
sur le sol
amoureux
du signe
si présent
de souffrances
en cache
dansante
au rythme
du
OUI
à la
BEAUTÉ
du signal
canard ou pigeon
du mot chien
pas pour tous
va pas de soi
honnie
qui pense
autre mensonge
à croire
pour de vrai
Éclectique
vocal
bu
l'air
'' Ma folie
c'est mon amour
envers
l'humanité '' *
Cette chienne
de vie
incontournable
souffrance
lumineuse
pour
CONTE
à libérer
l'ESPRIT
de la gangue
ensorcelée
du meurtre
de vivre
Il était avions
LÀ
juste
LÀ
encrés
imperceptiblement
très amoureux
qu'en pensée vous
Saïs
Accroché
à la dernière
danse
avec l'épiphanie
des coeurs
enlacés
obéissant
lumineux
retenant
aussi vos retenues
intentionnées
de la blessure
nommée
douleur
Hymne
à ta
NUIT
des mers
désertées
d'ATTENTE
et
d'ICI
post
futur et guérie
d'un accouchement
funeste
de pas né
pas pour
des babioles
atomiques
et bombées
de prétentions
de sacs verts
d'ignorances
Nature
natures
aux baleines
nourries
de mépris
plastifiées
du
dégoût
d'AMOUR
Et pourtant
la densification
du lourd
tombant
tête en bas
des murs abattus
où vole
pattes (4) en l'air
je ce
JE
sans obligation
à vous offert
dès le début
en travail
sur une clé
du sol
vert
l'horrifiant
de nos pas
signés
du trépas
saccageant
nos anamnèses
dansantes
sur le barré ficelé
de l'éteint
envolé
vers vos nuits
suspendues
Nijinski *