10 déc. 2022

UN


L'insensé
pénètre
TOUT
et l'inverse
ou 
encor
parler pour
dire
la corneille
Ojibway
des tamtam
des villes
encombrées
vers le nord
déboussolé
et du passage
à l'ouest
levé
Odeur
des fleurs
sur le tombeau
de cela
qui fut
se en suite
camisolée
des farfadets
APRÈS
UN
ÉTAT
et le roi
s'endort
Qu'est-ce 
que l'art
en temps
du
UN


Tenir
art 
montrer
 monstration
du voir
revoir
et savoir
l'histoire
argenterie
tout écartillé
dans la vie
sur le cheval
d'arçon
en 
trois
sans troyen
anonyme
présence
de la vrai vie
sur la peau
du tigre
malade
de Jorge Luis
Et crie
pour les morts
et pour
RIEN
ATTENTE
sans le
A
créer
petits dessins
retenant
 main
tenant
l'Axe-D 'Abraham
par la splendeur
lumineuse
Sans chemin
que vers
l'AMOUR
à faire chier
la crétinerie
prétentaine
NON!
Contenir 
tranquille
tous ont disparus
incertain
en
TOUT
et infaillible
en
RIEN
merci...
chéri(e)
des cimetières
Pas de poursuite
SEUL


Infantilisme
mon général
commandeur
tyran
des meurtres
massifiés
du
UN
des uns
tirelire
d'astuces
en
SOMME
'' Le moment
dans lequel
je vous parle
est déjà 
loin de moi ''*
et puis
des larmes 
d'outrages
à la vrai vie
AILLEURS
ICI
MÊME
apocalyptiquement
 LÀ
posthume
pas enfin
une gène
infinie
devant l'esprit
Nature
apeurée
des synapses
cancrétisant
l'étant 
donné
d'AMOUR
Qu'est-ce après
TOUT
que le spasme
de Jean Jaques
et du douanier
encor
de vaine en veine
bleu
pour 
 l'ode
à l'infini



Boileau *

TOUT



...choses
et d'autres
sans fin
la poursuite
d'impasse
cul-de-sac
mais
citant 
EST
que la vive
mémoire
et malgré
l'insignifiance
orthodoxe
du cancer
de terre
Enfin
ART
après
TOUT
ou bien
L'Art ce point
d'appuis
du 
SEUL
et 
c'EST
TOUT
seul
imbibé
du plus
que
TOUT
l'imbécile
sagesse
de 
Gaspar
de
Gilles
en
Watteau
pour les îles
 lumières
sachant les paradoxes
et les plis
du passage
mouvant
à l'arrêt
de
l'ART
naïvement
savant 
l'intuition
en guise
de potence
pour 
Villon
en des soubresauts
proématiques
responsables
du peuple
qui
VIENT



Que des histoires
éphémères
sous zéros
et ce temps
presse
citron
et pleins
d'amusettes
et poussières
de broutilles
rutilantes
et flagorneries
pour
le
UN
des uns
commun
en milliards 
de copies
 qu'on forme
a coup
de dollars
et faire court
(spermes de guerres)
du AA
ananart
ou encor
jouant de sa fin
et les redîtes
de la cruauté
de l'air
et des bombes
d'en avant
le festin
de bobettes
Qu'est-ce que l'ART
pour qui
que quoi
quo cul
d'une érection l'autre
à décourager
de la vie
imitant
la Vivance
sur la paroi
pavoisant
d'ennuis
du vent
pire
qu'un musée
des muses
amoindrie
par la
 femthome
'' Le réel
est toujours
dans l'opposition '' *
et de cela qui 
ART
évident
toujours
pas pour...
peut-être
qui sait
un jour ou l'autre
si jamais
plus
le fossile
bétonné
d'atome
décrétinisé
enfin
NON
Allons



Sans début
que fin
Quelque chose
tenant
lieu
du Verbe
et des passeurs
passés
 du divin
Pas possible
et persister
... .
La pensée
t-elle
un 
SILENCE
en manque 
d'oeuvre
ouvrant
le percept
sans quoi
évident... .
TOUT
DE LÀ... .
l'affect
la mise
en n'Être
du
lumineux




Bref
la vie est courte
ou pas
tant pis
temps mieux
Dessiner
est  aimer
d'avantage
et pour cause
peut importe
sur le sable
traits
sans traitrises
RIEN
en
VRAI
'' On meurt toujours
comme des chiens '' **
et de ça
encor 
le piège
de vivre
piégé


Valéry *
Kafka **

9 déc. 2022

Le Feu


La Fin
regarde bien
et les oiseaux
l'eau
les gens
l'éteignoir
t'entend
tu verras
des posthumes
de plus en +
Combien
juste
de moins en moins
et que du contradictoire
du démentie
d'ÊTRE
ou pas
qui
EST
qui vient
APRÈS
TOUT
Apocalypse
de la nef des fous
d'autres 
au feu
du plus léger
que
 l'Air
douleurs
d'oubli
l'Amour
de tendreté
des choisies
pour
RIEN
TENIR



Esprit 
de bottines
Vincent
Rousseau
Rembrandt
enfants
du créer
du pas sage
du
TOUT
au-delà
du petit chien
à droite tout en bas
de 
Goya
silence
pour les sourds
sans musique
alors
l'Oeil
quel
OEIL
sol'Oeil
des matières
mères
JEU
sachant
le
secret
MONDE
et de ses morts
les mêmes
au jardin
des oliviers
précisément
où 
Blake
et (la route de l'excès
vers le palais
de la sagesse)
et sans ce et
choisi
avec fôtes
ou s'en fautes
écrit
en la nuit
de plein jour
Combien
encor
d'éternuitées
pour les cerveaux
dérangés
par les mouches
sur le cheval
décoché
au feu
...'' nous ne savons
rien et nous sommes
dans fond de la nuit''...*
Alors pas de désert
de néant
qu'un chaos d'os
sur la banquise
d'effroi
De là
les fleurs
de roses
rougies
des mensonges
au choix
d'histoire
ou du 
Conte
comme veut le piège
de la dévoreuse
ou après 
Dieu
c'EST
 quoi?
L'ESENCE
de la
MORT
se regardant
mourir
dans le multiple
zéro
pour
UN
JEU
en huit clos
antre 
eux
 les azurs
ICI
MÊME
JUSTE
et



Bataille *
 

Funesteries


Et de veule
tu meurt
de n'être
que du mourir
en somme
et de plus
aucune 
idée du mésange
de Saint-François
du bleu
volant
d'aller
de Vinci
au 
oiseaux
de la grosse
misère
enfirouapant
tous
 ce qui passe
Vivier
t'entend?
Sous 
et pas pantoute
des mises bas
de mouches 
noircies
de bassesses
Boch
aimer
Allons



Dernier
quoi... 
en somme
Y à t-il
de la vie
sur l'état
des faits
lapidés
des prédations
avant après
la mort
Qu'est-ce que vivre
veut bien 
dire...
en étant
C'est à redire
l'horreur
absolue
de la folie
insignifiante
des jours
mais passer
par petits dessins
interposés
à et crie
et  et et 
au vide de l'air
éternel
noir
ou blanc
funesteries
d'atomes
de meneurs
UN
en milliards
de uns
des autres
fantoches
pour histoire
dans le ciel
en la
Grande Nuit
éternelle
aux répétitions
infinies
UN
1



et qui que quoi
EST
Mais qui
chérie
 du maquis
secret
du coeur
IMPOSSIBLE
obstination
d'Amour
Même pas... .
LA MORT
va coincer
les chairs
du présent
en faire une bouillie
d'EFFROIS
et saisie
noyé dans l'os
des sels
brûlant 
des bouches
balbutiantes
marmonnant
des fins
infinies
pas pour eux
les fragiles
incandescents
de l'abysse
des jours
chiffrés
comptés
aux bancales
de la dévoreuse
trouée noire
du grain de riz
étêté
suicidaire
''... .comme à la limite
de la mer 
un visage de sable. '' *
au désert
du lion
amaigrie
édenté
du Dieu
MORT
de 
RIEN
du
TOUT



Éternel
été
petit dessin
hors
antre
pas
et sang
la folie
 de l'histoire
Au fond
s'enfonce
sans fin
l'infini
et
c'EST
TOUT
A la goutte
sémantique
qui peut-être
indique
silencieusement
le ciel
les oiseaux
des semblables
antre-nous


Venue
d'Où
sous peu
déjà
d'Oeil
en s'Oeil
sol'Oeil
dedans dehors
translucide
fragile
eaux des mers
veillant
sur la matière
mère
Ô A six
et sept
en 
8
en neuf
9
n'oeuf
et 
union
posthume
avec le plus 
Grand 
que 
TOUT
ce qui sous
peu
de 
RIEN
pour 
NOUS




Foucault *