Après
c'est exprès
que cela
se dit
Croire
qu'il y a
alors
que cette histoire
n'à pas
n'à jamais eu lieu
En fait
si elle se tape
la machine
LÀ
juste
LÀ
injuste et pour
de en quoi
les cries
se propulses
et forment
quelque chose
qui signifieras
un + ou
UN
en moins
Faire un petit dessin
à Saint-Ex
aux écrits vains
tenant
se peuple
manquant
ayant réussies
alors qu'en réalité
ils tombent
de haut
la couche
aux fesses
des départs
vers les jungles
innommables
de la
Vérité
l'éternité
retrouvé
avec l'Effroi
le hasard
faisant ce qu'il
y a
Quoi?
Des morts
milliards
de poussières
d'errances
chaosmiques
deleuziennes
ou lavoisiennes
rien de se père
rien de rien
ne regretteras
l'univers
est
UN
abandon
d'Amen
et des tas d'opinions
opiniâtrant
l'hôpital
d'agonies
du passage vert
vers le cul de bouteille
où meurt
les mouches
à coup de canon
atomique
et de bien
d'autres opinions
sur les mortalités
incessantes
accouchant
sur la paille courte
de la mer à boire
Monologue
de bavards
perroquets
flaubertiens
d'acacas
démis
des suivants
le vent
pire encor
en pleine lumière
et dans les faits
de la grosse
madame la mare
exquise
s'esquivant
de fausseries
au lit des Procuste
des apeurés
de la dévoration
du compte en bande
de c'est pas lui
en Somme
Tenancier
du
Verbe
encagé
du maux
mais triangulé
de vous
et de l'antithèse
de
LUI
le roi
de
RIEN
du
TOUT
Acier soudé
laqué (2008)
Antre
instant
trop-tard
que coeur
déconstruit
de la tendre
impossibilité
de poursuivre
la ténacité
du
VERBE
et toujours
posthume
plein de
je ne sais quoi
de Vladimir
et des cimes
tiers
entre vie et mort
lumineux
petit dessin
silencieux
Sur pépier
des forêts
du terribles
sur
SILENCE
du mot
pas dit
des horreurs
de la guerre
dedans dehors
sans bruit
se meurt
la Question
LÀ
JUSTE
LÀ
Sans voir
le corps
éphémère
coquillant
de frayeurs
à la lèvre
paysage
aboli
d'héritage
fait pour
l'empiré
de là
Grande
noirceur
De l'autre bord
l'alarme
sait le coeur
d'Attendre
et vous peut-être
qui sait
VOUS
Il est entendu
que l'on ne peut
enfin
cela se fait
après
TOUT
le Symptôme
n'à pas de limite
et ce poursuit
sans fin la
FIN
qui n'en finie
pas...
malgré la faim
de la matière
à bouffer
de l'univers
mais les vies
dansent
entre le vouloir
du
créateur
de quelque chose
de
RIEN
et après... .
Percept
perdu du père
et fini
Ça recommence
l'ennuis la misère
et le mystère
riant
de la destruction
en passant
ni vu ni connu
A moins que...
la main au sommet
somme
le glas
et déride
le pli baroque
en une musique
eschatologique
de Messiean
sur des paroles
de Coluche
se présentant
a la présidence
du devenir
abouché
au droit de vivre
Là taire
mort
le silence
de Wittgenstein
en des prières
exaucées
du perd la chaise
musicale
etc... .
Deleuze
Artaud
et
la suite
impossible
de la création
qui passe
entre antre
les cris
et la phonétique
le sens
l'essence
l'esprit
auto-maobile
ou bien ou
Kierkegaard
encor
le corps
des maux à mots
et le déroulement
de la langue
post-humant
l'odeur
de l'aube
TOUT
en Amour
etc
...etc
c'EST
sans fin
la fin
la FAIM
d'éternités
successives
Taire terre
matière
quête
de lumière
et de plus de
VÉRITÉ
et ICI
MÊME
la blancheur
des épinettes
en plein soleil
L'hiver
emmagasine
son bois
de chauffe âge
pour de nouveaux
enfers
Plissement
passés dates
et de bien autre
choses
que fins
de Saints-Hômmes
ou Satoris
décorés
en feuilles
tombantes
d'oiseaux
compostant
l'estomac
des
gares grouilles
en fouillis
le monde
s'estompe
et la prétentieuse
inclinaison
de l'ennuis
douloureuse
sans sanguinaire
et sanctus
s'enfui
hors d'atteinte
devenu
baroque
L'effleurement
d'L
dort
et de posthume
transmission
d'échoueries
sur la rive
La Mort
guette scrute
épie
les fossoyeurs
Charon
fait payer
le gros prix
Dort
la main
des refroidies
atterrés
du tombeau
cramoisie
Tenancier
d'agonies
des vives
effluves
Tranquille
sur la terre
Comment
qui est qui
en vérité
Et heureusement
que
ET
et
la sortie
hors la horde
La plus insigne
perfidie
du diable
est de faire croire
qu'il n'existe pas
Meyrink
pareil au beau de l'air
d'en somme
et d'ennuis
en pleine lumière
après
la mort
à ce qui
se donnait
pour la vie
squelette
poudres d'os
post compost
moment patent
où la griffure
ressentie
s'incruste
entièrement
au cerveau
et n'y reste
qu'un semblant
de fosse commune
Encor
que l'invitation
d'entrée
est totalitaire
dès le commencement
le compte débute
par...Là tombe
ce qui deviendra
l'enflure
immonde
atomique
de la chose trappe
Mais après
et bien...
Et d'après
TOUT
du moins
après vous
le cirque
alimente le
TOUT
seul
mais cela tire à sa fin
et ce qui
demeureras
seras à été
retour
d'à reprendre depuis
le début
EST
déjà en position
paisible
joyeux
enfin noui
car l'
ATTENTE
L'Après
est
LÀ
au trait
du point à la ligne
métissé
de création
peur de pas
monnayés
l'en somme
portant
la main au pinceau
évitant le grappin
d'entourloupe
vers
l'Oubli
de la Sainte-Victoire
et le triangle
des baigneur(es)
géométrisé(es)
du temps
qu'il fait
sur la terre
'' ...et les Ténèbres
et la Ruine,
et la mort rouge,
établirent sur toutes
choses leur empire
illimité '' **
Malgré
et contre avec
Malbroute
et sa guéguerre
universelle
et vent mauvais
devant ma porte
depuis le début
de l'enfer
ou personne
ne cogite
si ce n'est par temps
de froides
opinions
malaxées
pour des buts
connus suicidaires
enfin
quoi...
Quand on à rien dit
il est faux de dire
ce qui se dit
sans un mot
qui se dédit
et de cela
découle une histoire
à dormir de boue
Il prit un thé
le ess muss ein
en musique
sur la clé au sol
en signe
de sortie
de maux où
TOUT
le noir
d'après
à sa plus haute
intensité
tombant des horreur
guerrières
'' Il n'y à
dans la nature
que du noir
et du blanc '' ***
Du peu de temps
que durent
les couleurs
tenant éloignées
'' La fin du monde...
Dieu se retourne et dit.
J'ai fait un rêve'' ****
au dernier souffle
d'essoufflement
de la création
au réveil à la
Disparition
des oiseaux
l'envol
et la sortie de cage
par la main
ouvrant la joie
de Vivance
Cela arrive vient
et sans mode
ni conjoncture
insignifiance
en plus
pas pour tous
Dès le début
l'effroi
du jour compostant
des odeurs
incultes
et des croyances
inculquées
de Nature
natures
En somme
tas de chose
d'où la misère
de l'être
passa au spectre
fleuri
avec e euh...
aux corrections
manigançant
histoire
contre conte
et pour compte
au comte
de l'autre et à mont
qui entré ici
laissé vos pauvres
lubies
de points virgules
pour Vincent
dans le rêve
demeuré rêvé
tombant
d'élévation
La vrai couleur
est incomparable
avec le noir
instants
fugaces
et mensongers
du
RIEN
Meyrink *
Poe **
Goya ***
Valéry ****
En partance
( La nature se suffit )
Hegel
et ce qui s'y ajoute
relève
de l'Art
d'Aimer
Les plus grands
se retrouvent
toujours
dans la cour d'école
avec les natures
Nature
L'Oeuvres
est désœuvré
d'oeuvres
'' La réalité
est une apparence
plus trompeuse
que l'apparence
de l'art'' *
Que de contrats
en contraintes
contractés
contradictoirement
Et seul l'art
main tient
le lieu
éphémère
et fluctuant
d'insaisissables
présences
Homme femme
bibittes
en sommes
ensorcelés
du sort
que lui donneras
l'Art
du désir
d'être
beau
Derrière
du
Miroir
(Acier soudé
laqué 2009
environ )
Bizarre comme
la question
de communauté
se pose
à l'heure
de la mort
du pourquoi
l'instant d'Après
pense le temps?
Et des noces
d'embrassements
d'ignorances
offertes
orgiaques
aculées
à l'impasse
white
et naïve missive
innomée
en
TOUT
de
RIEN
Parcelles
du peu
de pas
Truqué
d'en Somme
d'épelés
et de fausse-route
pour un mot
de sortie de secours
vers le précipice
universel
Ressassements
redondances
de quelque chose
qui ne fait
pas ses frais
et des pièges
à promesses
et ignorance
mortelle
de la
MORT
us aux égards
des égarés
de ce monde
en monde
eschatologique
DIX PAR ruts
pétris
du melting pot
et du hasard
au derrière
conflit
dedans dehors
en grabuges
'' D'abord manger,
ensuite la morale '' *
et des barbares
de la faim
en fin
nomenclaturé
du crime commis
en comme
UN
orchestré
de bonnes intentions
pour un c'est lui
le
MÊME
en milles autres
copies conformes
en passant par
LÀ
Place à la stragédie
des corps flottant
dérivant
avec des c'est assez
et la suif
d'il y en auras d'autres
après vous
'' Riez, mais pleurer
en même temps '' ***
de cela va découler
des macrochromies
pour une valse
à la folie
sur les monts
Apocalypses
du dernier baiser
du Lock Ness
Hegel *
Brecht **
Lautréamont ***