Art
et le trait
d'union
de l'esprit
encor
au corps
la brise
comment savoir
Alors
le retour
aux dieux
Hôlderlinien
au
Dieu
d'Abraham
et bien
lorsque
chancelle
l'ÊTRE
en son
SOI
qui pense
vers...
LA MORT
société
Valéry
déjà
et aujourd'hui
l'Occident
à la dérive
après
l'Orient
qui suit
techniquement
la courbe
mortelle
et hors
l'Histoire
jeu je vous
comme hôte
autre
tous les autres
Disparition
foucaldienne
et l'attrait
du trait
différent
entre-nous
en sommes
Art
du don en bouquet
ICI
MÊME
Apprivoiser
ce soi
a l'après vous
lévinassien
et posthume
au (seuls
les commencement
sont beaux)
heideggériens
ou encor
l'urgence lente
d'Agamben
Mieux
en petits dessins
à bout
d'encor
Maintenant
enfin
retenir
la guerre
et les guerroyants
initiatiquement
par
LE VERBE
et la perception
d'obéissance
en plus fort
que
TOUT
Se sortir
de cela qui fut
peut-être
jadis
efficient
mais perdu
depuis
les idéologies
et les concepts
et la raison
raisonnante
(délirante)
en son haut-lieu
chaise-haute
inhumainement
technique
se terminant
malgré
Les lignes
de la vie
sont toutes
différentes '' *
Pas à pas
d'amélioré
vers...
L'ayant porté
l'enclume
des jours
Évidant
que l'Oeil
sonne la charge
du Paradis
soleil
et lumière
comblé
de la Joie
éphémère
de la floraison
du vivant
pour de vrai
'' Il faut penser
tout ce qu'il y a
de pensable
dans l'impensable '' **
Au fond
dessiner
peindre
sculpter
et ne dire
bien mal dit
et plein de fautes
à corriger
quelque part
ailleurs
autrement
que dictatoriale
en lieu
et place
au coeur du vrai
hors les maux
pour le dire
A l'Image
et les chéries
de toujours
en
SILENCE
blotti
au monde
tel qu'il
EST
Des grottes
au mur
de la peinture
mystérieuse
et pleine de sortilèges
savante
d'éternité
par le temps donné
qui courre
à sa... Vérité
Hölderlin *
Jankélévitch **
Nihil
Allons vers
Nulpart
mais allons y
d'imprévus
''La nature
de la maladie
est aussi obscur
que la nature
de la vie '' *
Enfin
la faim
vient
en fin
mettre un terme
à la tête
casse-pipe
hors la volupté
d'un tout petit
dessin
venu du maquis
et aguerri des ruses
de la mort
déguisée
en fleurs
de rose
à peine esquissée
sur le socle
d'errance
chaosmique
d'il y a
ceci plutôt
que cela
l'évanouissement
et l'usure
d'instants
au
TOUT
de
RIEN
tantôt
et à dessein de...
dire l'immuable
esprit
que
d'Être
À la frange
de l'éparpillement
du verbe
en phrases
terminales
pour des mots
à l'image
de ce qui
malgré
TOUT
demeure
en question
Miroir
reflet
toujours
subjectivement
objectif
en l'essence
s'accrochant
à plein
de petites scories
gestes
d'inutiles
perditions
pour vers...
l'éternité
malgré
TOUT
l'ignorances
fatales
définitives
de jamais
plus la question
de
RIEN
du
TOUT
Laisser passé
le vent
devant soi
attendre
atteindre
la fixation
de sortie
par le
TOUT
donné
LÀ
aux limites
responsables
de
l'Amour
où se forge
l'insaisissable
esprit
du retour
pour la suite
élective
de la lumière
sur
l'Aimé
Novalis *
...que de cela
et triant
à l'arrêt
obéissant
sans obligation
saisissant
la joie
au Passage
lieu d'égarement
d'en sommes
de paradoxes
contradictions
et de schismes
Épave
sur l'infini
perception
d'Absolu
Paradis
terre promise
graal
Atlantide
quête du sens
Effleurement
de la sortie
de l'en faire
d'affairements
énergétiques
en surpuissances
d'affolements
pour en finir.
Nihilisme
en sa fin
dernière
Alors le
Silence
en forme
de dessins
à dire
la partance
nouvelle
retour
ressaisie
d'Esprit ayant
revu et corrigé
la crise
agitée
du temps
présent
Art
de fondation
acquise
de la lumineuse
perception
du
Grandiose
émerveillant
le vieil enfant
en larmes
désarmé
par la
Beauté
de
l'ICI MÊME
en son Tri
de reconnaissance
Un dessin
sur la paroi
de vivre
en souffles
de vivances
pure perte
sans intention
qu'un aller
de perdition
infini
en et hors
de soi
au gré du vent
des âmes mortes
sans noms de pères
inconnus
que mères
Nature
natures
Et du fond
inaccessible
infini
de la souffrance
un invisible
chez-soi
rejoignant
Saïs
chez-nous
et ces atomes
déchus
de la
Vérité
L'Art
pour ne pas
mourir
du mensonge
de ''vivre''
au détriment
de la
Beauté
innocente
de
l'Amour
Théâtre
sur la justification
du mentir
au ciel
gratifiant
le temps qui passe
en scories
copaux
poussières
d'hurlements
shakespeariens
et dantesque
élévation
du peu d'élues
Où doux verrous
et qui va ouvrir
simplement
le fouillis
des possibles
dans l'enfer
de
Dieu
et de ses tourments
...'' Quand
iront-nous,
par de-là
les grèves et les monts,
saluer
la naissance du travail
nouveau''...*
Alors et bien
Crayon et Acrylique
sur papier
(2022) **
Rimbaud *
L'Auteur **
'' Une oeuvre
d'art
qui n'a pas
commencé
dans l'émotion
n'est pas
de l'art '' *
Et dès le début
sur le palier s'oeil
les étoiles
pascaliennes
et le vertige
de la naissance
la main-regard
dedans dehors
et
malgré
TOUT
malgré la science
servile
L'Art
que cette
petite
infime
poussière
émotive
gardant la distance
l'écart
à sa juste
perception
l'Autre
naissant
TOUT
AUTOUR
Monde
La main œuvrante
dans le chaos
divin
LÀ
d'embellie
Bien certain
d'atteindre
le tendre
désir
amoureux
tout en symbiose
nuptial
avec l'Amour
et l'assomption
antithétique
du
Grand-Céleste
ou
encor
la douleur d'aimer
quand ce donne
un tant soit peu
la clarté
de l'âme
Âme
et sa mise
en rupture
de vivance
par la diversion
de la misère
toute
de l'Art
de la réalité
kafkaïenne
freudienne
nietzschéenne
après la mort
de Dieu
époque
toute étriquée
de la douleur
d'aimé
Art d'être
éclectique
métissé
amalgamé
et célébrer
de l'éternel
Beauté
du
Paradis
entrevu
à la limite
de
l'Amour donné
pour
RIEN
Aile
autour
du
NOUS
rebelles
osant le libre arbitre
avec ou malgré
Spinoza
Nietzsche
Heidegger
Levinas
les pairs aussi
L'art
se décroche
de la dictature
des préceptes
des guides michelins
Une quête
d'air d'eau fraiche
se baignant
triangulaire
dans le bleu
du ciel
propice
à l'élévation
de la joie
simple
d'aimé
ce que l'on aime
en forme
de petit dessin
'' On ne fait pas
la guerre
pour se débarrasser
de la guerre '' **
L'Art est devant
l'inatteignable
que très peu de chose
tout petit moyen
permettant
le recul
nécessaire
pour demeurer
dans la lumière
le temps
que d'être
en paix
pour la suite
de l'embellie
par la sapience
d'il le faut bien...
Cézanne *
Jaurès **