5 mars 2022

La Mue


...de la captation
défait
de ses bases
et Deleuze
en avançant
c'est la couleur
qui disparue
comment dire
qu'est-ce que
vous-croyez
posthume
et Goya
tout noir
déjà
 le temps
ce temps
si l'oeil
écoute
quoi?
UN 
des uns
en sommes
La raison
de l'Art
se dissociant
de la création
de Nature
natures
le Colosse 
qui n'est pas du peintre?
Enfin
bon qu'à ça
l'Art
Bon qu'à pourfendre
la mer gelée
Et puis la réalité
celle qui se crois
au dessus 
de l'Amour
Music
au chant
des guéguerre
et c'est toujours
la rumeur
du jour
en pleine nuit
Art d'Être
vivant
dans la mort
en lignes
et main 
 à l'ouvrage
en tête fugitive
devant
l'éternité
qui échoit 


La mue
de la poésie
en proématique
d'un taxi
en musique répétitive
à New-York
avec Einstein
sur la grève
Ensor
et le Christ
à Bruges
ou ailleurs
et voyant 
comme avait dit
Arthur
un autobus
peux faire l'affaire
Qui comprend
comprenne
Là où
les débuts
signent
ce qui n'avait jamais
été
De quoi ça parle
de l'esprit
ne pliant pas
même dans l'horreur
obscur
de la
 NUIT
 l'Art rend
le jour
à Saïs
lui redonne
ce qui est
quand l'oeil
s'ouvre
sur la vie
 en passant


L'Art c'est la vie
embellie
au-dessus
de tout ce qui
empêche
l'envolée
hors du cratère
'' La guerre
c'est le massacre 
de gens
qui ne se connaissent pas,
au profit de gen
s qui se connaissent
et ne se massacre pas '' *
et de l'ennuis
et l'apocalypse
de Girard
enfin quoi?
Histoire ou Conte
et puis l'ignoble
ignare
l'ignorance
dedans dehors
la ribambelle
des ceci cela
et tantôt
lui le même
UN
des uns
sur...
Art du trait prolongé
d'Ingres
Delacroix
Gogh
lux calme et volupté
portrait
'' Nous deux,...chère ombre
de mon amour
sommes en guerre,
comme l'est aujourd'hui
le monde...'' **
et des fragiles
moments de tendresses
effleurant
le paradoxe
du vivant
éphémère
le doigt trace
sur le sable
de la grève
la chose indicible
petits dessins
insaisissable
contre 
TOUT
cette puissance
anonyme
qui s'oppose
à la poésie
du temps
alloué
de lumière


Alors
que ce temps
de tranchées
 camarades
ne tirez pas
sur Maïakovski
ou encor
sur le vent
qui défait
les cheveux
ô 
Nature
natures
le Beauté
n'a d'égale
que la portée
des mots
hors l'enceinte
des fossoyeurs
d'Histoires
à refaire
au gré des gréments
de têtes
boursoufflées
de ressentiments
Il était avait été
seras
l'informe
tenant l'Art
des métamorphoses
'' Un naufragé
garde l'horreur
des flots
même
tranquilles '' ***
et des paroles
et de la guerre des mots
pour maux
dire
Quoi?




Valéry *
Apollinaire **
Ovide ***

 

Joie


La couleur
du jour en pleine
nuit?
Couper la langue
de Matisse
et dire
à l'éveil
d'écrire
sur les murs
du misérable
tombeau
de la peinture
au leurre 
et à l'heure
du temps
en avançant
dans la profondeur
où en était
la vérité
de vrai la vie
 l'Art
est la seul
demeure
de l'esprit contre
  Mort
 toutes formes
de morts
et ses métamorphoses
d'atomes
 de poussières
vers l'adn
des synapses
se pour mourir
en avançant
au jeu
de la roulette russe
sous le carré noir
du monde
Où et qu'est-ce que
veux faire voir
un trait une ligne
sur la parois
de Da Vinci
et la guerre
des étants
contre lui le même
sang tous
et d'a-men
Art 
du peu de réel
là 
sortie hors
le magma
donnant lieu
à ce qui ne pouvait-être
n'étant pas
que chose
innommé
pas 
Qu'est-ce que la couleur
des jours
de la beauté
paradoxale
de l'Amour
et du Conte
au bord des gouffres
et de l'incandescence
création
de quelque chose
matière
posée
en signe
d'Où Où vers Où
Et qu'est-ce encore
que le corps
tableau
dans une scène
de Bacon
Rustin
ou Varlin
Freud L
 d'autres
misères
d'en sommes
et mangeurs de pommes
sorties
du Paradis
d'inexistence
vers un sacré
travail
de maintient
de la paix
dans le cerveau
écervelé
de tant de chaos
devant
faire apparaître
ce que doit
le doigt
pointé vers
la part
perdue
du bonheur
ou encor
la joie
que d'Être
malgré et surtout
contre mort
Nature
natures
Des enfants
voix
autour des pierres
tombales
et Miron
de Sainte-Agricole
puis
des eaux fertiles
rizières
Bref de tout
sans fin
dans la couleur
du noir


...de la léthargie
et tout s'écroule
l'ange
Bizarre?
Le petit bonhomme
seul
Gaspard
Gilles
les épiphanies
Et l'inattendue
toujours
 lui le même
en corridas
et des taureaux
de peintres
une foule
en masse
dévorant
ses dieux
Au loin des corneilles
sur la danse
des ossements
bombardés
en de curieux
arrangements
nuptiaux
des cassés dates
et des légions
fracassant 
la vitrine festive
de l'ennuis




Insaisissable
présence
du tableau
à la table
politique
des remises
aux lauréats
des prix
 à la consumation
des arts cherchant 
à comprendre
la position
de Rembrandt
et celle de Vincent
père
des artistes
en fin de party
posthumes
avant que d'être
et en amour
avec l'état des faits
se distillant
dans les guéguerres
mieux rimbaldiens
ou encor
les belligérants
de particules
chez les menteurs
 et de beaucoup
d'en faire
alors que le temps
s'écroule
reprenant
le futur antérieur
de ses mains fleuries
en des heures
tenant l'incertitude
pour certain
et l'épuisement
des corps
en tas d'idiots
menant tambour battant
la chair
à son lieu d'origine
intestine
universellement
connu la fin du monde
au commencement
édentée 
en 
TOUT
sans armes
que la mer
et ses sels brûlants


2 mars 2022

Qui De Là


Sous 
le sol
des sortilèges
et des brisures
du calme
au coeur de la rose
baignant
dans ses rosées
d'un bonheur
aimable
Compagne
protégée
de 
Personne
évident
sans pourquoi
Paul(s)
'' Le vent se lève!
il faut tenter
de vivre ' '' *
C'est sans fôte
de dire
comment
et des racines
plastifiées
du commerce
et des plaisanteries
d'ennuis
atomiques
Cervantes
Goya 
le sommeil
de la raison
du tour
d'écrous
James
ou encor
Caraco
et du réel
doublé
dédoublé
'' J'ai mal
aux mots
que je mords '' **
cochonneries
de tristesses
à outrances
même lui
la politique
est salle
et qui que quoi
Petit dessin
alors
oui fait moi
un dessein
ou bien d'où
vient 
la bourrasque
des frères?
Le bruit
du dedans
dehors
en somme
aussi
et la chose
terrible
sortant du livre
du verbe
sans nom
ce qui ne se dit
quand même
à entendre...
Mat
de retour
après
 tout?



Bloc
inutile
et pas serviable
tenant lieu
de oui dire
quelque chose
Rien
du
TOUT
en sept
au 8
infini
d'après
l'être
ou pas
Willy
de là 
au levé
l'aurore
auras le ciel
à rattraper
 affaiblie
 fragile
les nuits
novaliennes
emportant
d'anonymes
vertiges
Mais nul
tempête
ne détruiras
les sols
amoureux
paradoxales
 contradictoires
attaches
proématiques
ensemencements
'' A une vérité
ténue
et plate,
je préfère
 un mensonge
exaltant '' ***
Il était
une fois
...


Qui n'est pas
qui va 
est-ce toi
le 
UN
des uns
ou encor
la rumeur
de toutes
les fins?



Valéry *
Broda **
Pouchkine ***

 

Motif Pour Un Dessin


...et temps
en tant
de poussières
d'errances
de cavales
et d'exil
dessins
résidus
d'encor
de fatigue aussi
silencieuse
Cela auras 
le motif
aurorale
ayant eu vent
de la lumière
garnie d'esprit
retrouvée
d'enfance
et contre mort
pas de surtout pas
Que d'insaisissables
tenir en lieu
fragile
roseau pensant
au bord
d'autoroute
proématique
au flanc
frotté à la parois
du songe
Qu'importe la teneur
infertile
du jour
Histoire
de dire
ou conte
d'amour d'os
rafraichies
d'univers
éternité solitaire
oasis
ou ce que veux
la trame du coeur
sous l'obéir
à l'ode
 portée
pindarique
aux franges
de la teneur
donnée
d'avance
et puis quoi
la triste figure
servant
la misère
du pas lieu
des larmes
désarmant
la teneur
du non advenue
retenant
l'axe d'Abraham
toujours
sous tant de mitrailles
les coeurs
endormies
et figer
devant la dévoreuse
sans drapeaux 
et sans patries
et de
RIEN




Comme si on y était
pas de nom
pas de
chez-nous
entre nous
avec nous
question
proématique
un radeau de la mésuse
sur l'autoroute
des passages à pas
de pas
sur la plage
des combustions
blanchies  
du boniment
universel
de ce qui devrait
serais à été
Il y à
EST
Quoi?
L'éternité
la mer...
en bruines
légères
au fond des yeux
de l'eau-delà
d'ici même
en toutes lettres
pour un flirt
avec la folie
du jour
en pleine nuit
aux cimes
taire
les vents de travers
lui le même
doublant
la philosophie
pour enfer le 
Silence
sur la sang sur
du peu de réalité
des mots
sinon 
de la cochonneries
comme dit le poète
motif
à dessin
pour un dessein
qui à de l'allure
tenant 
l'éphémère
entre l'antre
des maux
à mots
dans les tranchées
de l'ordinaire
artistique
d'un temps go
avec l'imaginaire
et sa réalité
close en elle même
et ses choix
de jeu
dans le cadre
de ce qui
EST
un dessin
tenant
la clef  d'art
est musique
de Joie
qui crée
dans le cri
de son réel
désensorcelé
de
RIEN
en
TOUT