2 mars 2022

Qui De Là


Sous 
le sol
des sortilèges
et des brisures
du calme
au coeur de la rose
baignant
dans ses rosées
d'un bonheur
aimable
Compagne
protégée
de 
Personne
évident
sans pourquoi
Paul(s)
'' Le vent se lève!
il faut tenter
de vivre ' '' *
C'est sans fôte
de dire
comment
et des racines
plastifiées
du commerce
et des plaisanteries
d'ennuis
atomiques
Cervantes
Goya 
le sommeil
de la raison
du tour
d'écrous
James
ou encor
Caraco
et du réel
doublé
dédoublé
'' J'ai mal
aux mots
que je mords '' **
cochonneries
de tristesses
à outrances
même lui
la politique
est salle
et qui que quoi
Petit dessin
alors
oui fait moi
un dessein
ou bien d'où
vient 
la bourrasque
des frères?
Le bruit
du dedans
dehors
en somme
aussi
et la chose
terrible
sortant du livre
du verbe
sans nom
ce qui ne se dit
quand même
à entendre...
Mat
de retour
après
 tout?



Bloc
inutile
et pas serviable
tenant lieu
de oui dire
quelque chose
Rien
du
TOUT
en sept
au 8
infini
d'après
l'être
ou pas
Willy
de là 
au levé
l'aurore
auras le ciel
à rattraper
 affaiblie
 fragile
les nuits
novaliennes
emportant
d'anonymes
vertiges
Mais nul
tempête
ne détruiras
les sols
amoureux
paradoxales
 contradictoires
attaches
proématiques
ensemencements
'' A une vérité
ténue
et plate,
je préfère
 un mensonge
exaltant '' ***
Il était
une fois
...


Qui n'est pas
qui va 
est-ce toi
le 
UN
des uns
ou encor
la rumeur
de toutes
les fins?



Valéry *
Broda **
Pouchkine ***

 

Motif Pour Un Dessin


...et temps
en tant
de poussières
d'errances
de cavales
et d'exil
dessins
résidus
d'encor
de fatigue aussi
silencieuse
Cela auras 
le motif
aurorale
ayant eu vent
de la lumière
garnie d'esprit
retrouvée
d'enfance
et contre mort
pas de surtout pas
Que d'insaisissables
tenir en lieu
fragile
roseau pensant
au bord
d'autoroute
proématique
au flanc
frotté à la parois
du songe
Qu'importe la teneur
infertile
du jour
Histoire
de dire
ou conte
d'amour d'os
rafraichies
d'univers
éternité solitaire
oasis
ou ce que veux
la trame du coeur
sous l'obéir
à l'ode
 portée
pindarique
aux franges
de la teneur
donnée
d'avance
et puis quoi
la triste figure
servant
la misère
du pas lieu
des larmes
désarmant
la teneur
du non advenue
retenant
l'axe d'Abraham
toujours
sous tant de mitrailles
les coeurs
endormies
et figer
devant la dévoreuse
sans drapeaux 
et sans patries
et de
RIEN




Comme si on y était
pas de nom
pas de
chez-nous
entre nous
avec nous
question
proématique
un radeau de la mésuse
sur l'autoroute
des passages à pas
de pas
sur la plage
des combustions
blanchies  
du boniment
universel
de ce qui devrait
serais à été
Il y à
EST
Quoi?
L'éternité
la mer...
en bruines
légères
au fond des yeux
de l'eau-delà
d'ici même
en toutes lettres
pour un flirt
avec la folie
du jour
en pleine nuit
aux cimes
taire
les vents de travers
lui le même
doublant
la philosophie
pour enfer le 
Silence
sur la sang sur
du peu de réalité
des mots
sinon 
de la cochonneries
comme dit le poète
motif
à dessin
pour un dessein
qui à de l'allure
tenant 
l'éphémère
entre l'antre
des maux
à mots
dans les tranchées
de l'ordinaire
artistique
d'un temps go
avec l'imaginaire
et sa réalité
close en elle même
et ses choix
de jeu
dans le cadre
de ce qui
EST
un dessin
tenant
la clef  d'art
est musique
de Joie
qui crée
dans le cri
de son réel
désensorcelé
de
RIEN
en
TOUT


25 févr. 2022

Bruissements


Boomerang
et l'éternel
retour
de lui
le même
UN
des uns
et comme si
tranchant des coeurs
et l'insensé
festif
ô triche
en double
désuet 
d'enfants
et de dauphins
des chiffrés
clair 
comme de l'eau
de roche
après tout
c'est quoi
en fin
Quand
murmure
le mur
l'emmurement
Regarde
sans pupille
la terre
s'effrite 
Demain
la clarté
de mémoire
ancestrale
s'élance
s'évapore
sous la haine
ivre
d'ignorance
des forces
malgré 
elle


Aligné 
parallèles
tranquilles
'' ...Nous avons
dépassé le seuil
de l'Apocalypse... '' *
et des choses
main tenant
le ciel
où vers
à sa vérité
recueillant
tous les splendeurs
possibles
de ce que fut
seras
ayant été
du plus grand 
que soi
Sans nom
le sans nom
donné
 Nature
essaimant 
que de 
l'ÊTRE
'' On a un petit bidon
d'huile
sur la table
un petit bidon
vide
un petit bidon normal
normalement sur la table
avec du vide dedans...'' **
enfin quoi
de l'usure
et du plaisir
d'aimer
quoi...
De l'air
du vent 
Erbarme
aussi
de ma mère
le temps
des cris passés
au noir du noir
étêtés
de l'heure
des coeurs
Bosch
Ensor
Goya
d'autres
ce qui 
à demeure
Vincent
au seuil
d'étoiles
incertaines
et terre d'iris
de tourne sol
Rembrandt
des boues
obscènes
 des tranchées
d'idées
et des guerres
 mouches noires
dedans dehors
de sang sure
Thomson
au lac canoé
au plus près
de l'oeil
de Nature
natures
de Silence
bombardé
 de qui que quoi
Poune
ou 
Dieu
encor
de l'ancre
ancré
à la feuille
de l'arbre
d'enfin quoi?
Où d'où
parle l'insaisissable
et malgré
TOUT
allons jouer
au bois...




Guerne *
Tarkos **


24 févr. 2022

Fissures


...lignes
de fissures
 de l'autre
côté
ICI
où 
toujours
suspendu
au coeur
cassé
des pareils
cachés
d'obéir
à la peur
des morts
de Peur
brisures
des pas lieu
pas ressenties
d'éjacules
à la culasses
des choses
immondes
de partout
les mouches 
noires
 blanchies
délavées
des crimes en comme
UN
des uns
dodoooo
chuttttt
Nature
natures
des pantins
et de choses
en mutations
cyniques
Un trou
où tombe
le
DIEU
du
 monde
ou
encor
BOOM
en corps
émietté
l'enterrement
des cendres
Table
désertée
micro-ondes
d'images
l'effacement
sous les semelles
devant
la tête
Éclaboussures
tempêtes
déconcrissées
sens insensés
que des larmes
et des tas
d'innocences
enjouées
d'abattoirs
au chaos
du cercueil
Souffrances
espaces
comblés
de haines
de pour soi
et de pettes
bretelles
devant la
Poune
on the stage
poussés
à dire
le mourir
en vérité
et du plus jamais
vous en vous
savait
tel-quel
par là-bas
et toi vers là
ICI
MÊME


Pas de mots
des morts
pour
pas pas du
TOUT
des tas de cris
inaudibles
d'enfants
de mères
pères
des destructions
par des pareils
des peaux
malades
en luttes
d'amour
partout
dans l'univers
de quoi?
Des nés
à mourir
à être
étripés
de sanglots
de sel
des pleurs
de la mer
et des falaises
de jamais
plus
de quoi au juste?
Osons
l'écrire
la fissure
du crâne
univers
TOUT
à été
enfer d'effrois
et de splendeurs
en 
SOLITUDE
infini!


...et du temps
des semblables
paquet d'os
à pétroles
poursuivant
poursuivies
des suivants
zen ou gestapos
d'autoroutes
 caches misères
festivités
sur cratère
des naissances
 compte tour
d'instants
envoûtés
et sortilège
de lui le même
UN
des uns
Ceci
ou cela
dépendant
 de qui que quoi
d'où où 
vers où
La mort attend
d'éteindre
la lumière
aussi éloigné
d'elle en corps
ou sans le sang
des fleuves
et l'illusion
du jour
Qu'est le réel
réellement
sans le Titanic
radeau 
de la Mésuse
la douleur
de l'attente
et de l'oubli
mort au peloton
blanchi
d'irréparables
assassinats
d'avant d'après
TOUT
faisant ce qui vient
toujours
Nature
natures
 des fins dernières
'' Il ne saurait être
question
de bien finir '' *
enfin
Milles ou
pas à pas
Millet
ou
Mondrian
le jeu
eu Jeune
jeûnant
devant la 
TABLE
ô
du sommeil
de la raison
raisonnante
1 deux34
Cinq
Fiodor
ou comme 
le voudras
'' La liberté
d'autrui
est d'être
la mienne
à l'infini **
des choses
à l'ordre
d'élévation
Monde



Goethe * 
Bakounine **