Y à t'il
ou pas...
Et ces bruits
lassant
des télés
sans têtes
du mois de juin
en décembre
pour des prunes
en slivovitz
s'éteignant
sur Westmount
square
au noir
d'encre
des acides
photographiques
Des paysages
volatiles
instables
des morts
Autoroutes
téléguidés
vers le néant
d'abysse
pour passer
date
et la madame
ivre
aux pieds
vengeurs
là quand
elle ne fout rien
que passer
dans la cervelle
rapide
du psychologue
et l'instant d'après
girouette
cacahouète
abracadabra
raccourcie
'' La rapidité
est sublime,
et la lenteur
majestueuse '' *
Et des jours
des nuits
dans la caverne
d'Ali Baba
Société
du crime
pof...
d'assassinats
pouf...
de faux semblants
de faut pas
à pas vers
la véritable
noirceur
bien qu'encor
LÀ
où le divin
marquis
mot s'art
en petite
percussions
pour suite
sans raison
la rose
de personne
EST
À VOIR
LÀ
OÙ
bien
des promesses
de l'aubépine
jouissant
d'exultations
Nature
natures
terminant sa course
en la
NUIT
des temps
imaginée
d'Amouir
et d'os frais
D'Où vient
l'en
Somme
qui se questionne
LÀ
par tant de virus
cherchant la part
de Réalité
hors la
MORT
qui prendras
la
FIN
sur elle
où
l'Aile
attendras
longtemps
après
le retour
de quelque chose
en fait
qui frappe de front
plutôt que
RIEN
tranquille
'' La psychanalyse
est la mise
en QUESTION
du psychanalyste ''**
Pas sage
du réel
à la folie Réel
du rill
et la danse
de Saint-Guy
La beauté
peu importe
l'existence
et la question
pas question
de la questionner
Evidemment
pas pour tous
en ces jours
de festivités
arrangées
pour la tétévision
Effroi
SEUL
avec Gregor
et la
réalité
des faits
défaits
proématiques
du train où va
l'autobus
et ses gares
d'astuces
vétustes
dévêtues
Lire en délirant
Kafka
Rivarol *
Lacan **
Allons
ferme tes jolie
yeux
Dodo chutttt
tombant
du nid
le coeur
battant
d'opprobres
sans lieu
sous les mères
et des envoûtements
de microbes
du peu
de misère
Cette actrice
de vaudeville
déniant
sa farce
en cul-de-sac
écartillée
fibromyalgique
et de beaucoup
d'autres exutoires
d'en fers
des brassages
de mardes
pour désennuyer
le temps
qu'il fait
sur l'histoire
à dire
des sornettes
à l'amour
de la vie
ailleurs
évidemment
Au Ô haut
eau
du bonheur
d'être
1oo sans fôte
et cent senteur
en chameau
par le trou
de l'étêtée
d'été
inutile
ne sert de rien
en fait
prendre un coup
et l'oublier
proématiquement
de ce côté
d'imbéciles
forniquant
industriellement
à la tonnes
assurés
sur toutous
qu'une lettre
à la poste
le père noël
la reçoit
Demander
à Freud
Proust
encor
à Homère
d'enfants
de nanannes
Bref
le bon
Dieu
terminant sa course
et béni
d'avancer
une gène
retournant
vers la joie
sans leurre
du mur de la réalité
défaits
en miracles
de douleurs
dans la cruche
à vingt
yens
sur la barricade
imaginée
de la grosse
déveinée
du coeur
tic tic tic
tok tok
Personne
innommé
et sans suie
la nuit
veille
sur l'injustifiable
La mouche
pas celle
de Jean Paul
mais du cheval
du cocher
une coche
dans le grain
déclos
allumant
le marchand
de lubies
épiphaniques
dodus
croquant
le verbe
jugulant
des morts
à elle
délicatisés
assiettes
figurant
l'œuf au miroir
d'avenir
jamais venu
Patates
d'en le corps
billard
dernière
tablée
de la scène
d'où
chuttttt....
et
DISPARUS
Béquille
érective
L'espoir
en somme
au rang
des derniers
robots
nettoyant
le plancher
de la sotte
défécation
d'un mot
l'autre
entre-nous
je pense
fait dire
que je panse
à vous
en dents de scies
prestidigitateur
du conte
de monte
et descend
vers l'imagination
de vérité
proématique
Ce qui ne veux
pas dire
que beaucoup
EST
peu
Que dire
de ce qu'il
faut taire
dans l'engelure
du ciel
qu'y que tant pis
pisse
sur la palissade
de la Palice
rugueuse
à étreindre
en se bêlant
des affraires
étançonnées
par la quantités
des peuplades
obtuses
teutonnesques
philistiniques
béotionnesques
du Trou
de la vierge
au rocher percé
des églises
où il faut croire
en dividendes
d'arrêt
où Vinci
libéras
les oiseaux
de la cage
pour un ciel
de plaisanteries
plus clément glace
d'aller vous faire
voir ailleurs
si vous y êtes
déguisés en courant
d'air voir
la lumière
qui s'éteint
LÀ
dans les yeux
du soleil
de Dante
'' Voilà l'homme
tout entier,
s'en prenant
à sa chaussure
alors que c'est
son pied
qui est coupable '' *
Coupable en fait!
Mais sans fote?
Oui et vie
dament
le pion
devenus est-ce
au mot géhennisé
refroidie
par temps de froidures
qu'il casse
en l'air de cela
plutôt
qu'une scie
dépeuplant
les forêts
pour Noël
ensemble
assemblés
pour la faim
de ce tango
avec les maux
'' Les étoiles
n'ont leurs vrai
reflet qu'à travers
les larmes '' **
Des gestamots
en cadeau
du verbe
amour
Russie Irlande
sur la même
planche
d'en faire
des choses avec
la boue
du monde
Ce peuple
autant
que veux
le passage
ICI
précisément
Beckett *
Nabokov **
Des vents
calculés
contrôlant
des tempêtes
d'ignorances
de lâchés
prises
de comas
pleins d'absences
Qu'est-ce que
tu crois
Vertiges
sur le bord du lit
et des s.o.s
de perditions
en temps réel
de laissés faires
muselés
d'ennuis
après la mort
de la
MORT
des blessures
de coups de dents
préhistoriques
d'insignifiances
bureaucratiques
chiffrés
d'imposables
je vous salut
Marie
et de notre père
partout
ailleurs qu'ici
aux enfers
d'un printemps
de janvier
frette
sans pain béni
qu'entendre
la folle
habitude
du picotement
des blés
aux mortes saisons
Effleurement
de tendres
désespérances
de la peur
ô si haut
des enfants
d'animaux
sur le fleuve
des attentats
idéologisés
d'usines
déjà ensevelies
sous les cendres
politisées
d'ailleurs
que dieu les bénisses
et sans rancune
des prières
d'offrandes en restes
déchets
supersoniques
nucléarisés
de pelures
de fruits
de poils
d'excréments
pour un monde
meilleurs
remplie
de Santa Claus
de littératures
en taxis vers
après moi le désert
peaux et tiques
en feu de joie
de meurt
même
à l'endroit
du coeur
Art
RIEN
du
TOUT
main tenir
l'infime
lumière
entre
la fente
infante
d'incertitude
du doute
d'obéir
à l'en somme
du moment
de la déflagration
bloc
monde
d'élevage
en troupe
pourvoyant
la tour
de bébelles
technomaomotbiles
en forme
de poires
sur échasses
d'os
ré mi fa sol
en droit
de quoi que ce soit
À suivre.