Hors le pas
Pas sage
âge
d'en Nuit
au train
où
va
l'empire
du temps
qui vient
tremblement
de congédiement
enfoncement
darwinien
dans l'insidieux
du cul
branlant
le branle-bas
d'où le fond
du fondu
de chaudron
venant
têtes rapetissées
d'idées
blanchies
aux termes
de la vie
qui est ailleurs
avec dieu sait quoi
l'éternité
retrouvé
la bacaisse
dans la fonderie dlà
boite à bois
compulsion
de répétition
pulsion
de mort
chez les perpètes
et grand bien
d'enfin-dre
la jolie
folie
que d'être
libéré
de l'inconscience
du néant
suspendu
à l'orgasme
interrompu
du monde
Et l'Art
pour un feu
sous le chaudron
cosmométique
des boues
allaitées
du camion
de
Marguerite
pour une écriture
amoureuse
ivre de créer
quand elle veut
la chose
passe-partout
vers la nouvelle
renaissance
au bout
du cul-de-sac
des dents
et crèves
fleurtant avec la naïve
répétition
insensée
d'autant qu'en faire
feras des chairs
de poules
à la con-quête
de l'erreur
en somme
Monde-riant
piètre
pur et dur
et répète
il faut en sortir
Antonin
Abattoirs
d'assiettes
au beurre noir
l'Hécatombe
au chaudron
des fins
affamés
de naître
à la splendeur
de la révolution
des puces
informatées
des naissances
refroidies
sans cadres
au tombeau là
de l'instant
berné jusqu'à l'os
L'Occident
édenté
des aseptisés
poétiques
terminant
proématique
mimant
le soleil
hydrogène
aux milles
Vincent
TOUT
EST
justifiable
et se justifieras
Pour un montant
maomotnétaire
xyz...
Éteindre
la lumière
en plein jour
est chose
ordinaire
La noirceur
venue
la
MORT
se meurt
en
TOUT
et drippe
quelques
Cézanne
oubliés
dantesques
élections
lumineuses
d'enfin
quoi que qui
co cul
Oiseau
de passage
échelle
sans fin
érodant
la pâle
élection
polaire
du voyage
Ô
mère
de retour
aux vertes
répétitions
de tous les effrois
au coeur lourd
du sang
de la terre
en retour
de la nuit
peuplée
d'infinies
impossibles
Après
avant
pendant
épiphanique
cécité
de mourir
d'Amour
un rôle
pas pour rire
de vous
qui par tant
de drôleries
faite sourire
la
MORT
ressuscitant
la vie
'' L'avenir
c'est pas
une plaisanterie ''
jusqu'à ce que
mortellement
atteint
de la peau courte
trop petit
tu t'éteint
fatigué
et mal
dans tes maux
Céline *
...au fait...
de quoi qui
quo qu
des entrailles
et de pour vous
et après...
La gouvernance
méritée
de la suite
histoire
de choses
et d'autres
depuis
le commencement
du monde
dire la pleine
jouissance
que d'être
au fugace
de marbre
scellé
du mot
glossolalies
ou pas
silence
on tourne
la pitourne
jacasse
le temps
terminé
déjà
et
c'est
quoi?
Tombe
vertige
après
l'avalement
par l'infini
néant
des tonnes
de UN
des uns
morts à la guerre
surchauffés
à l'anus
solaire
de George
d'où ça sent
ce qu'en somme
et dès bien avant
les torches culs
les feuilles
à l'appel
de l'arbre au fruit
descendus
compostant
l'ensemencement
des comètes
perdus
fatiguées
Terminaison
de moisies
nécrophagiques
festives
car la fin
les rires
se partagent
la poussières
de la terre
et du fiel
Et ici
ce n'est pas!
ICI MÊME
EST
AUTRE CHOSE
L'entrée
est la sortie
en temps
de va comme
Tom Pouce
sur la barque
d'embarquement
pour s'y faire
Luce
et des tas d'autres
calls de l'orignal
et
Boom
Et des redites
reprises
autrement
par milles
et une
mantes
et capes d'anguilles
sous le etc tce ect
Zen Saint-Augustin
et les nihilismes
filants
philos
d'abracadabras
et les 40
passants
le cap au pire
d'en rie Miller
au ping pogne
des moments
d'exultations
pour la fête
à no way
des angélus
populaires
en franges
de la fin
du spectraque
sur tgv
ni vu ni connu
ce qui se présente
alors
Ceci: tantôt
le roi sa femme et
puis quoi?
Un monde
TOUT
nouveau
éternellement
TOUT
à fait
identique
à
LUI LE MÊME
UN
des uns
robotisé
avec cervelle
dans la graisse
de bines
ou de
TOUT
en
TOUT
toutous
pour tous
sang tous
et des amènes en
des pitounnes
de 4 pieds
d'en sommes
etc cte tec
Triste
trou de pique
des bas
rêves
et des huitres
de la mer
veille
au grain
de riz
rizières
de larmes
remontant
jusqu'à l'agonie
des abattoirs
24 heures sur 25
sous silence
des camps
du
CAMP
et là-dedans
et bien le plus grand
bien
tu mange ta main
en panse
digérant
la nuit
et ses rapaces
infinis
poésie
proématésie
ça sent la mort
à plein
le génie
Petit dessin
de
passage
somme
toute
hors le temps
à louer
du Je
de tous
en délire
dédisant
le coeur
au vent devant
quoi...
pas grand chose
finalement
des morts
LA MORT
un soupir
pour une soupe
d'errance
entre tes seules
avenues
lubies
consommées
à l'asperge
de tes saints
Quoi?
L'éternuitée
de la misère
d'Aimer
Aube funeste
fugue
des morts
d'autres aussi
d'enfants
plein les bras
des hommes
d'animaux en sommes
et directement
Morts
aussi
TOUJOURS
pas éternel
du
TOUT
faut croire
main tenant
c'EST
pour
RIEN
tout jour
Ce qui n'est
LÀ
c'est
TOUT
éternel
et fugace
stable en cela
Manque
et ta voix
meurent
s'estompent
refaire
la cassure
ces secrets
d'âmes
mortes
s'entend
les craquements
de souvenances
vos folles
menteries
niant le néant
d'ennuis
en fin
madame
assumant
ta nuit
bien à toi
là où
y à plus
de conte
qu'un compte
décompté
d'Amour
Béquille
pour un pot
de fleur
TOUT
des pendues
d'invisibles
amarres
des mères
naïves
et seules
en peaux
de vieillesse
sur la rive
sans retour
qu'une fracture
d'épicerie
tarie
du sang
des autres
perpétuant
l'hypothèque
risible
des vies
imaginées
par le facteur
brouettant
les pierres
en feuilles blanches
et les coeurs chauds
de ce qui
jamais
ne seras
la maison bleu
où pleurs
les petites bêtes
parmi
d'exécrables
bourreaux
d'ignorances
Des solutions
à l'infame
débilitée
du juste
minimum
tenable
à l'air
de quelque chose
la Mort
marchandant
avec les robots
masse
privatisé
d'euthanasies
par des catins
disparates
aux pantins
pantois
frankensteinisés
d'une farce
cosmique
anonyme connu
totalitaire
du
TOUT
invisiblement
pris
fabriqués
pour mourir
dès le départ
par lui
le même
UN
Disparus
d'encombrements
festifs
BACH
alors
et des communions
solos
seul
SEUL
et main
tenant
à peu près
TOUT
de vous
( l'espèce humaine
est une décision
de femme )
Bataille?
et puis quoi
l'éternuitée
d'éternue
crachat
c'EST
de ça
qu'il s'agit
du verbe
Chutttt chute
sur la tombe
d'épelés
du verbe
EST
DISPARUS
au son
des lumières
vibrant
vibrateur
des ah...
histoires
de mises au monde
sous l'hypocrisie
social
des farces
plates
et pleines
de cruelles
inepties
Oui Bach
enfin
belles
et chéries
l'ennuis
se tenir
pour dit
que le
temps
surveille
et de ce côté
...
De l'indétermination
du bonheur
découle
TOUT
de
RIEN
En fait
qu'est-ce que
tout ça?
Soupe
passage
fugace
de par
TOUT
les chemins
mènent
à pomme
oiseaux
de février
tous les jours
de l'année
pour les aimés
de feu
l'Amour
Bref
Qu'est-ce l'Art
peu bien foutre
ici?
ICI C'EST
L'ART
de
VOIR
en silence
le bruit
du monde
qui va finir
BOOM
le coeur
du douanier
sur la scène
darwinienne
des fables
taries
d'usures
d'us et d'os
'' Le rire
est satanique,
il est profondément
humain '' *
Et bien
que mal dit
remettre 100 foi
ni loi
ce que de main
de maître
l'aujourd'hui
demain
pour en finir
avec
RIEN
pas drôle
du
TOUT
Béquille
immunitaire
en libre
service
part des choses
en temps
de pan démie
et ses ponctions
céphalées
marquant
le dernier
automate
d'ensemble
sans savoir
la nuit de boue
pétrifiée
de lumière
Claque
les nucléés
de l'air
ambiant
Il tombe
des tombes
le style
la forme
comment dire
oser
les mots?
Sous tant de signes
de piastres?
Et tracer des lignes
de vies
par quel
part encor
L'ICI
MÊME
LÀ
où le souffle
manque
défenêtré
assassin
d'agonie
du passage
la France
là toute semblable
revivol
d'Amérique
en redevance
capitonnée
de soldats
mots nés t'a risées
échomomie
de la guimbarde
culturelle
contre
symphonie
de dollars
d'empires déroutés
de Rouge
au Jaune
à-blanc
des visages
d'Arendt
Levinas
Tranquille
alors
s'apaiser
de l'Enfer
Bernanos
et de la
DISPARITION
Valéry
et la danse
du poisson bocal
aux oiseaux
en cage
des froides
catacombes
d'os de chairs
tout en larmes
Tenir
malgré
la splendeur
résolue
de
l'Horreur
distillé
des semblables
bêtes
d'agonies
de cris
imperceptiblement
LÀ
Baudelaire *