...des grappes
monde
et des misères
Pas de grandes
personnes
(que la flèche
qui tremble
dans la cible)
ou en corps
le pieux
dans l'orifice
Cette cible
ce mot qui viendras
du moindre mal
insexué
Pas là
Qu'un terrible
respect
pour l'Esprit
vivant
LÀ
Insaisissable
Présence
d'époustouflante
Beauté
En pleine
Disparition
et de la sérénité
avec et contre
fortune
le coeur
en ses prouesses
de mettre
au monde
Madame Cézanne
passage
de la pomme
au triangle bleuté
dans l'Effroi
d'émotion
Ne pas
et c'Est
LÀ
Le Sot du Saut
in ce qui
EST
Limite
d'encadrement
du tour
des présages
d'une bouteille
à la mère
Étreinte
étrange
de la mante
en bleu
peinte
par
Fra-Angelico
aux perspectives
de l'ange
géométrisé
par Dieu sait
quoi?
Sortir
quelquefois
s'y tenir
ou pas
Délice
du Jeu
sérieux
sirupeux
de la vie
est un combat
tout arrangé
d'imagination
et de gestes
mouvants
Danse
imperceptible
d'éléments
disparates
se donnant
de l'importances
Un atchoum
d'univers
restreint
en mot pour
le dire
Comment
faire
rendre grâce
à un dessin
sans dessein
s'élevant
dans les nouvelles
brises
matinales
Petits
en vagues
coups
de crayons
essuyés
de pâte
noircies
de la débandade
pour une dernière
érection
au sortir
de la grotte
de last call
Se nourrir
de ce qui va
Disparaître
en somme
payé
de mots
nés
cratérielles
Vésuviens
Temps durs!
À cuire.
C'est de cela
de la caverne
des sous-sols
et des bruissements
tous breughéliens
Têtes
de Géricault
de mésuse
d'Éternité
de l'Art
de Voir
exaucé
de lumière
ICI MÊME
au sordide
aspirations
du souffle
des baleines
gémissantes
de choses trappes
d'autant
d'esprits
pleurants
de la tricheries
des sauves
qui peut
Quoi que qui
Oui un taxi
si vous plaît
mes sieurs...
Allez
Place de l'Étoile
de Maïakovski
dont elle
à tant besoin
pour brillé
d'Amour
Pour de vagues
présages
épidémiques
et des varrius
du temps
racrapotant
le sel
de la rumeur
du retour
ajourné
de quelques
milliers
de damnés
Ha!
Elle peut bien
mais la cyprine
se calcinée
au beau de l'air
mais en vain
diantre!
Les signes
et les symboles
et de l'Enfer
chez les tartistes
Du très bas
pour le peu
Que
TOUT
passe
et trépasse
Qu'est-ce
qu'une toile
sur un cheval laid
cravaché
d'imbéciles?
Exactement!
Fusion
d'Art
et d'épies
fanés
déguisés
en moines
narcisses
et gold
moult
des à musés
Totalitarisme
soft
'' ...La terreur,
au sens où
nous l'avons
évoquée
aujourd'hui,
est moins
un phénomène
que les gens
peuvent redouter
qu'un mode de vie
qui tient pour acquise
l'impuissance
absolue
de l'individu,...'' *
Mais en quoi
Courbet
et les frères
Karamazov
et des tas
de nids
d'oiseaux
...Bref
Un vide
senti
s'ébouriffant
devant
la
BEAUTÉ
du
Monde
Arendt *
Et des choses
cachées
depuis
l'altérité
des amours
de peines
et misères
(mangeurs
de pommes
de terre)
Au risque
à tous les risques
de prédations
d'Enfer
l'affres monétaires
et sans reproches
que d'être
l'économicus
de sang froid
exterminateur
absent
pourvoyeur
de déchets
d'histoire
éteinte
emportée
par sa Disparition
progressive
au rire
de Peur
'' L'humanité
est devenue
assez étrangère
à elle-même
pour réussir à vivre
sa propre destruction
comme une jouissance
esthétique
de premier ordre '' *
Ceci était
auras été
et ce peuple
de Klee
manquant
arrive
cassé
des tempêtes
progressant
des fins
virtualisées
anesthésiées
d'euthanasies
payées
de corps morts
gazéifiés
d'ogmco2
en bh45
et Camp
bariolés
d'hochets
des parcs
d'abattages
et des mises...
Disparues
...des tenants
Lieu
contre soi
du pogrom
de l'hédonisme
à puce
et du braquage
de poches vides
mouches
dévorant
des mouches
et de la rigolade
du tout est foutu
Bon pour
la combustion
des chefs-d 'œuvres
bon pour l'au-delà
du bien du mal
de la décréation
de
RIEN
politique
d'exterminateur
et puis le reste
Il va rester
quelques
poussières
sur socles
et d'Attente
Na pas savoir
véritablement
à moins que...
Et cela arrive
comme le soleil
la nuit
en plein jour
la mort
est morte
noir
d'incognitos
des matières
de la dernière nuit
du temps
Attendre
interminablement
la Sortie
de Lumière
petits dessins
ou grands
sans dessins
vers
LE LÀ
d'une
Peur
de na pas avoir
PEUR
Prendre l'air
du soir
et ne plus
se réveiller
Art de quoi?
Des malades
des vulnérables
des faibles
des moins
que rien
de
RIEN
Pas du show bisness
de la chaux!
Cathédrale
de sang chaud
de peurs
bleus!!!
Et de toutes
les couleurs
d'emmerdes
à se débattre
dans l'eau bénite
en pleine folie
de Crystal
à re-cueillir
l'Amour
pas si fou
que ça
da es
Quelques fois
se détraque
l'appartenance
à ce Jeu
sérieux
de cracher
la face du dieu
'' La plus grande
chute
est celle qu'on fait
du haut
de l'innocence '' **
Petit dessin
d'où
Poussin
fit tomber
l'Acropole
de rage
d'y voir tant
de cris
piégés
de tendresses
et d'amours
Ni commencement
ni fin
que cela
donné
pour des mains
d'enfants
aux cris
nouveaux
de futur antérieur
ouvrant
la cage
aux vieux
des grandes
surfaces
pour la sortie
furieuse
mortuaire
de la
Disparition
en
FAITS
et
en
VÉRITÉ
Benjamin *
Muller **
Moments
de peurs
et tremblements
Ebouriffé
des oiseaux
au bain
devant
l'atroce
incontournable
lutte avec l'Ange
sur l'échelle
de Jacob
ou toutes
échelles
aspirées
des herbes
vert et vers
la
Béate
d'un Art
naïf
et recomposer
Beauté
d'indécision
d'Attente
L'ensevelissement
des œuvres
parmi
les composts
imposteurs
et les fleuries
passe
en coup de vent
sans savoir
et c'est
TOUT
Aujourd'hui
Paris
Allô Charte
où est la
Cathédrale
mon général?
Se pétan les bretelles
Y à plus personne
même
d'à jenous
Des chiffres
et des mots
de Louis Ferdinand
d'Artaud
de Bernanos
quelques 68
posthumes
postulants
des djobs
payantes
pour des cercueils
sous la tour
d'Hitler
et ses redondances
Et c et rats
Recyclages
hédoniques
pour des mangeurs
de pommes
d'or
aux racines
de portes
ouvertes
à la la beauté
des amours
de pierres
indiscernables
quelques choses
du désespoirs
sous la cendre
des roches
Mais
Ecce Homo
Qui que quoi
du jugement
de Dieu
en sa fange
Baudelairienne
Et puis
monologue
pour
SEUL
à seul
et de la liberté
aux écroués
aveuglés
de la lumière
d'EN FIN
Art
pour ne pas
et de quoi?
Mourir
partir?
D'Où vers Où
D'ignorance
à ignorance
et des cages
en cage
d'encagés
des morts
Art en Fait
OÙ?
Dessins
pensant
pour par
le Camp
des fuites
sur mars
mai
du premier
avril
de la planète
morte
de ses poissons
iodés
mer rouge
consumée
des corps
médusés
d'élévations
funestes
Fuir
de ne pas
Être
Et quoi que qui
de la
Disparition
ligotée
anesthésié
sur la toile
des appâts
d'étêtés
Nature
natures
se compostant
du repas
de la dernière
scène
Art
d'ICI
MÊME
de toujours
d'avant
et
après
Lumière
en don
de Joie
LÀ
Chat Manne
pour
Miamioù
et des Antres
en
Nous
pour le
Peuple
de Klee
sur la peau
du Grand
Jour
de la reconstruction
du Conte
ayant compté
pour
RIEN
Flottille
de Vrai Vie
ravissement
des Cyclades
aux têtes
fruitées
de
Daumier
les courses
de coquerelles
blattes
grognantes
festives
résiduels
de mots
d'Après
TOUT
...des
SILENCES
du dire
sur les lèvres
d'Éternité
vent
du Conte
et orages
de Géricault
où
Wols
au goulot
des rêves
qu'en corps
perdus
sonne
l'éclat
du
PARADIS
de la main
oeuvrant
du RIRE
des joies
délivrées
de l'humeur
des scribes
otages
des faits
d'une histoire
terminé
des le début
FIN
Retiré
de choses
et d'autres
en des lieux
ingrats
de mots
contre maux
nourriciers
Jadis
et devant
de tous bords
tous côtés
qu'enfances
retrouvés
auprès
de rêves
inexaucés
ayant main tenue
la responsable
affection
pour eux
d'Être
encor
Sol
sur une musique
de Monteverdi
ou bien
de Dion
éclaté
du sang
tous
et Vivier
Tant en fait
d'Âmes
vives
en C.S.O
diffusant
un chœur
à la Cathédrale
de Lumière
sous
la surveillance
du roi
Élu
cruel
Pantagruel
au Silence
de vos
abominations
Cercueil
de vos dénis
Le présage
fut pour vous
racaille
de 5 sous
d'envoûtée
du délire
d'innommables
offrandes
toutes en ruines
des camarades
dévorées
de la bouche
abouchée
d'ignorances
Nature
natures
Carmina
Burana
en phase
terminale
rythmant
l'os
et ses poussières
pour une symphonie
endiablée
et finale
aux pieds
d'Apocalypse
pour sourds
et muets
par tant
de tyrans
les perroquets
de
Goya
par le mannequin
du compte
De Claudio
C'est du Silence
bâillonné
de la fin
des temps
En fait qu'est-ce
que tu crois
au mur
et pris
à la gorge
précisément
que tu vois
LÀ
adapté
faire avec
épuisé
devenue
ventriloque
fabriqué
de mal infini
le feu
des camps
du
Camp
justifiant
toutes les ruses
de la foi
de l'ordre
et de la justice
éteignant
les dernières
langues de feux
du temps révolu
d'horloges
des coeurs aussi
escomptant
un peu
d'apaisement
avant les
Grands Effrois
déguisés
en rires
festifs
et peau de chagrin
Des murmures
sur cendres
et poussières
Post maux dits
des mots
Que Dieu
me veille absout
2013
Fragment *
(Acrylique sur papier)
Sur la scène
et la dernière
la même
se rejouant
en tri-âge
tenant lieu
au plus près
de la clarté
d'élection
aux émotions
Au plus vrai
du dénouement
de l'Autre
lui des en sommes
Axe D'Abraham
temps
d'Arrêt
de respect
sur
La Sainte-Victoire
de la création
de l'humaine
condition
porteuse
de réconciliation
d'Après
TOUT
des choses
vivantes
et mortes
jugées
d'oublies
sans noms
de Nature
natures
hors la portée
du peu
en trop
d'occupations
de l'Ange
dans l'eau bénite
lapidé
d'à peu près
chemin
sans issue
qu'un sauf conduit
de lumière
menant aveuglé
ceci
de passage
Lavoie *