Ouf!!!!
Et bien
Poffff
et de la
Fin
Oui
et non
et pourtant
léger
pour la suite
du texte
Un os
pour
Saïs
et foule
senti mental
en prise
sur
un vide
néanti
assuré
par
les bulles
du Martinet
6 mois
durant
d'élévation
assurée
mais tous
en voie
de disparitions
et de bien plus
encore
Mais en FIN
que pour
UN
Lumière
oiseaux
air
d'un conte
quoi?
Quelques...
NON!
Et si...
la couleur
des rêves
d'instants
propices
et des jours
lumineux
de tendres
affects
Delacroix
en Algérie
ou encor
Klee
et je suis peintre
encor
et bien
d'Eureka
et des séries
de bonnes
choses
d'Amouir
entre autre
Et tout ça
en vol
sans l'L
enraciné
dans l'art
sacré
que d'être
LÀ
à cette endroit
de l'envers
tenant
le quotidien
éloigné
du libre
art-bite
de créer
Évaluant
le bon dosage
pour qu'ess muss ein
en cela est
pour enfin
la Mort
cendres
et poussières
sur socles
en désir
de...
En temps de
Disparition
Tenant lieu
par la clarté
ses variations
d'émotions
portées
aux lueurs
de la
Vivance
jusqu'à
l'ardue
épuisé
de LÀ
créer
ou pas
en plein
sacrifice
et seul
à
SEUL
VOIR
Enfin
Bombe
d'oubli
et puis
combien
et ensuite
les diableries
ses agonies
sans fins
Art
main tient
ta forme
va
envers
toi
t'ayant pris
dans tes bois
vise
le
PARADIS
RIRE
Partir sortir
du sort
en...Allons
Il était
oasis
et baobab
Babylone
au-delà
de quelque chose
fermant les yeux
longtemps
ne plus les ouvrir
avalé
par le monstre
rejeté
par lui
le même
UN
crachats
vomissures
tout ce que veux
un erre
sans allée
perdu
condamné
au bonheur
d'être en vie
Non mais bon
le mal
étant infini
donc ça tombe
et lui aussi
entre nous
lui le même
UN
des uns
en son
apocalypse
pas pour tous
que quelques uns
qui le mérites
ceux qui savent
en point
d'appuis
sur la ligne
du vide
en feu d'abysse
et de décrépitudes
Cela
EST
La mort
des larmes
et des coeurs
sapience
Ratatine
ordures
aplatissement
du déni
du corps
pour la corporation
des passés dates
Oubli
de l'heure
et du peu
de tendre
Enfin
que le diable
ramasse sa mise
Il la tient
à la loterie
du tapis roulant
le leurre
sur sa faim
des ossements
et moelles
en mal
d'en pire
De vagues
en mères
et des affres
en désastres
y en auras
d'autres
Au centre brûle
le noyau
des cris et fureurs
de l'univers
et la fin
en toute
FIN
et SEUL
comme toujours!
Temps
MORT
et du sang
mémoire
du jaune
du bleu
du rouge
VERT
post
TOUT
Chemin
vers
Nulpart
en somme
et en imposition
des coeurs
fourbis
déconcrissés
Mais enfin
que des crapulants
d'oboles
d'opportunistes
sanglants
farceurs
de familles
à suppôts
de malheurs
et des...
En FIN
Et après
quoi que qui quo...
petits
dessins
au Camp
des camps
en forme
de fond
sur la parois
ces têtes
étêtées
de l'autre bord
et des envies
pris en faux semblant
que c'est intéressant
les affres
et la misère
des révolutions
sus l'tas
du dos ré mis
en musique
( Sans raison
que nous vivons
et mourons )
dit Arthur
et les corps
des suivants
aux goulots
des goulags
pour en finir
avec les bruissements
de madame chose
est en sainte
depuis le début
de l'histoire
pour un compte
de la terre
à besoin de son sang
Renversant
le passage
en oasis
de lumière
avec Goethe
(Rien ne vaut plus
que ce jour )
Et des pivoines
et des coeurs
tant qu'en veut
la Vivance
jardiner
son désir
celui de mourir
sachant
qu'au moment venu
un cortège
de célestes
sifflant
le vent qu'il feras
sur les alizés
au moment
de la grande
décrépitude
ayant payé
le quotidien
de la rançon
de son inutile
Beauté
Chemin faisant
quoi?
De la naïveté
des pommes
dans la tarte
soupoudrée
de Sainte-Victoire
sur le soleil
de Kasimir
et des contes
glorieux
pour la Fin
du temps
finissant
son jugement
dernier
tout en douce
et insensiblement
vers...
le plus
d'Amouir
par-delà
l'émerveillement
du jour
Socle Et Poussières
2009 *
Partir
se départir
de
TOUT
détaché
se détaché
de
TOUT
abandonné
s'abandonner
à
TOUT
et des poussières
échos peaux
de Mémoire
en fin
éclairant
le temps
de marbre
fixé
socles
où se pose
la vrai vie
de l'ICI
Ailleurs
main
tenant
la Peur
à la main
de labeur
libérant
l'obéir
de l'aveugle
pour des os
plus paisible
charpentés
du temps
sacré
sans avenir
que de l'avenue
à été
seras
Quoi?
La Mort
et ses horreurs
en d'autres
et d'enfin
de passage
seras
auront été
encor
en vain
et que cela
qui fut
à été
SEUL
Manipulation
en masse
et des fécondés
de mal à dit
et d'autres
en troupe
s'attroupant
autour
des cadavres
cadastrés
d'entre-eux
mortifère
sous le ciel
bleu
des rêves
de même
l'Art
pour reprendre
au début
ce qui était
la fin
déjà
de ce qui avait
toujours été
le
SILENCE
Et des inaperçues
autour
de ce qui va
sensible
et amoureux
au temps
guerroyant
des nuisances
repliées
de terribles
et contre elles
ces ciselées
de la cervelles
fermentées
de brouhahas
d'heures
et d'abysses
sur les berges
de la Fin
sans faim
des amours
infinis
en souffles
de désirs
Lavoie Carol *