12 mars 2021

Tout Autour



Bon enfin
bonbons
en FIN
étant d'exception
De tête
et des nanannes
défenestrations
homicides
Après le chaos
l'omerta
des masses
à baillons
et baillant
de colliers
sans savoir
L'inculte
disparu
dedans la rue
k.o
Après
la main
mangé avec le maître
Et que d'outrages
cette écartillement
sur le lit
face au firmament
des usines
à crucifier
le tendre
pour des cries
de pillages
au fond d'un trou
En bref
n'en jeter plus
la cour
est pleine
Dedans dehors
la horde
 ligoté
l'air était raréfié
pour une bouchée 
de pain ogm
jenous
capté en son désir
(celui du même)
par le Roi
UN des uns
invisiblement
partout
FIN


Après
conte
d'Amour
et d'eau fraîche
épées
épiphaniques
tranchant
le noeud gordien
des élites
virent capots
et caméléons
en sommes
Ici 
sous peu
la mort 
de DIEU
Encor
boomerang
histoire
sanglante
jonesthown 
Enfin 
FIN


La poésie 
et peau aussi
mourir
d'être éternel
Désir
et quoi que qui
quo qu...
De la belle rime
au chant de l'alouette
LA MORT
distillée
mais pas soluble
ni Marx ni Zéronimot
au Verbe
si peu 
et sans René César
par bouteilles
broutilles
à la mère
gazouillant au parc
De l'autre bord
ICI MÊME
poussières
sur socles
RIRE
Et bien
métronome
sablier
d'une histoire
la tienne
les leurres
au temps de tant
de
 LUMIÈRE
errante
par la
 MORT


Longtemps après
que la poésie
 somme
des sommets
que le proématique
terminant sa course
et des enfins
et des fins 
et FIN
TOUT AUTOUR
En fait
quand c'est fini N I I Ni
les hauts
au piano sano
des ans pires
croules
en l'arme
à d'oeil
Combien
qui...
de la terre à besoin
de son sang
sans pépier
l'Or du temps
des wawarons
chantant 
la liberté
d'Amouir
et d'Atchoum
en bruines
sur les teutons
de la belle 
Françoise






Poussières


Après Dieu
s'écarquille
l'esprit
bouffon
et les restes
OUBLI
Consentement
en grappe
de vinaigrées
pour l'au-delà
du ciel 
et de l'enfer
Chutttt...
Dodo....
Vent ouste
des chut au plancher
six cinq
4
trois
t'est
UN
Jugement
dernier
en solde
EST
TOUT
verrousiens
de la fin des temps
Socles et Poussières
sans fins
les célestes
ou encor
100 sans sang
à boire
mais quoi l'éternité
de
 LÀ
suicidaire
la vie
Ça vient
SEUL
sans faire
de chutttt....
Dodo
les gaz
oxydes
Ô petits nids
de Vincent
asperges
d'Édouard
chevaux
Zoran
Après
so watt?


Quand bien même
un conte un autre
et puis milles autres
ICI MÊME
Ceci il était
une fois
une oeuvre
moins
les grappins
en part
de vide
coincé
en son bloc
Deleuziens
ou Géricault
pêchant
des couleurs
sur le radeau
entrelardé
de Bacon
etc
En fait
la terre
rendue
à elle-même
anonyme
et PAS
pantoute
quelque chose
Demain les dieux
de mains
qui sait


Combien
Allons...
ananart
nihiliste
ouvrier
de la dernière
heure
ou 
Il était
avait 
Après vous
dansant
sur la corde
des pendus
chiffrant
et quelques poussières
proématiques






11 mars 2021

Ce qui fut


De dehors 
dedans
hors champs
de ceci seras
Aveugle
et sourd
sous tant
de langues
roulées
roulant carrosses
et des neiges
et des baobabs
Savoir
oasis
en si peu
de 
RIEN
de pas homme
en 
FAIT
tenant
St-Simon
moine
voulait danser
Matisse
avocat
malade
d'ennuis
crayonne
toute en couleur
la MORT
au lit
des mourants
Petits poissons
rouges au bocal
Atelier rouge
et de pets de sœurs
en tartes
en le politique
des pantins
monétaires
Fin


Dessins
tranquilles
dans les furiosos
passant
sachant
ce qui fut
est
seras
Jugement
dernier
in memoriam
AVANT 
APRÈS
PENDANT
Et des océans
enciellés
de joie
exaucées
Qu'est-ce qu'un homme
après 
TOUT


Art de quoi
qui que...
don contre don
sang sang
et de passage
en lieu
de tickets
pour la corrections
des faottes
sur terre dans le ciel
sur l'eau
et partout
où la loi
de la transcendance
limite
la forme que prendra
l'autre côté
des portes de l'Oeil
Alors
oui
un jour
combien
à partir du zéro
lumineux
plus
le Paradis
'' La seule
attitude
judicieuse
consiste 
à s'accommoder
de l'état des choses ''*
En FIN
de party 
partouzes
en destructions
qu'emporte
le gouffre
s'engouffrant
jusqu'au cendre
de la terre
Passons!


Qu'elle leurre
est-il?
Qu'est-ce que l'Art
seul
devant le pire
qui LÀ
présente
c'est plus beaux
vautours
Lui le même
UN des uns
agrippé
figuier
séché
du temps
faisant feu
de tout bois
Tyran
le diable par la queue
des sommes
comptables
en faims
dernières
Fait moi un petit
dessein
'' Je ne pense rien
je ne comprend rien... '' **
Et encor
quoi des chairs
apeurées
dans l'assiette
du toréador
aux impôts
dans l'enceinte
du miracle
imposé des mains
Art et seulement
hors 
absoutlument





Kafka *
Prevel **


Par De Là




En
 FIN
De la fatigue
des maux
Ne pas dire
des triés
sachant
bien
avaler la ciguë
de mauvais
augures
et du diable au dos
des morts
Tranquille
dans la Nuit
replié
en TOUT
des cyclopes
au labyrinthe
des mises à morts
attablés
de bonnes consciences
aux intentions
suicidaires
perpétuant
le jardin
 génocidaire
des nuits
de traques
la piastres
étêtant
les pilleurs
prédateurs
de la
DISPARITION
de la plus répugnante
des espèces
se chiant dans le coeur
comme un croque-mort
qui pisse
dans sa couche
et se mélange
à la fécale
existence
des faits néants


Tantôt 
seras
la montée monde
salée des océans
tes mains
empreintes
criminelles
des fureurs
portant difficile
à dire
la traîtrise
des facétieux
coupes gorges
Allons!


Et des riches
élévations
simples
entrent en nous
des larmes
tu vois
Cela se peut
De petites
failles
sur l'enfermement
de la terre
et du ciel
sans ponctuation
des guerres
du fisc
et des sans esprits
pris sur le fait
des bonnes
consciences
et d'absolutions
de la part
des ensevelies
des bébelles
à carcasses
dessous noir
d'arrêt
de
MORT