'' Il n'y à dans la nature
que du noir
et du blanc '' *
Et en fin de
TOUT
la nuit
danse
le macabre
des cheminées
ayant repris
variant
d'autres
choses
à ne pas dire
puisque
la fin
qui ne fini pas
à mis fin
au mot
qui la déterminait
et puis nul n'à jamais
osé
colorer
cette chose
cercueil
de l'ennuis
des rescapés
du couteau
dans l'assiette
de M.Toulemonde
ce peuple
ayant donné
son accord
aux insipides
malentendus
d'accords
avec le règne
de la production
du même
UN
des uns
Cube
de marbre noir
où ce joue
l'insignifiance
se pétant
les bretelles
sur les échasses
du temps
corps rompu
d'oubli
des sarcophages
Réchauffer
ses mains
sur les galbes
de tes hanches
Mais quoi encor...
Dans la petite
chapelle
sur Sainte-Catherine
seule
seul
perdu
milliards
de machinés
Gange
ou criques
à microbes
Coeurs
cassés
et des rires
atroces
effrayant
le bonheur
des morts
de les entendre
dans le couloir
de l'attente
dantesque
patente
à gosses
LA MORT
à la suite
d'entre toute
chose
un vent doux
et l'oubli
défaits les faits
d'évaporations
d'elle la Nature
natures
autant que veux
Darwin
ou dieu sait quoi
que qui
demain les dieux
qui sait quoi?
2 mots
la main
et tant de rêves
interpellant
la chair
l'esprit
enlisés
LÀ
où
...
LA SUITE
seras
tenace
et éternelle
informé
encor
du Grand
cimetière
là où la place
infinie
ne manque pas
et la solitude
avec le composté
s'avère
propice
à la résurgence
de beaucoup
d'autres
voyages
acquiescés
attendent
ou pas...
Encor qu'ici
acquiesçant
à la rêverie
du désir
autant que veux
la nuit
en plein jour
le soft
des bébés
et boom
et les frisés
sous milles lieux
des perds
du bloc érodé
du sculpteur
peintre
de tant de temps
go
Vert de Gris
des cathédrales
des coeurs
endurcies
de sucreries
venues
d'un orgasme
céleste
à faire jouir
dieu sait quoi
des prisons
de la mer
des sarcasmes
Rose
Rouge
noircie
rabattues
variable au gré
mentant
au bon vouloir
écomomique
de lâches
pas la patate
et le portrait
de la reine
du monde
peinte
par Freud
de là
guette ta peau
de ce qui vient
le gros orteil
la bitte
de la MORT
à l'entrée
comme à la sortie
d'une pulsion
guerroyantes
au-delà
du principe
de plaire
dans sa couche
le pris
d'un côté
comme de l'autre
LA MORT
VAINCRA
et auras la couleur
du sang
ponctuer
par le
VERBE
la main à la pâte
du
UN
des uns
entartant
la fin
de la pâtée
empâté
pour un voyage
au père pète
de chaise musicale
autant en apporte
le vent
la terre sans arrêt
signe signes
pas barrée
porte
à tout venant
auberge
espagnole
des morts
qui marchent
ronflent
au déboulement
politico
boom
Alizim
étêtés
de l'histoire
à dormir de boue
fachosphère
laisse faire
dire des sottises
les lumières
fermées
ben dure
au lit d'odeur
de mer composté
en danse
avec les fous
quelques
en noir et blanc
quand la raison
fait dodo
chuttttt
de haut
en bas
au mat
de la nef
la dame
aux cames il y à
de l'Odyssée
d'en barque
on n'iras
pas...
Chamade
par nul chemin
n'adviendra
le sens
menacé
par l'engourdie
d'un tas
glacé
de la mare
c'est d'aise
en somme
que se forme
le bonheur
de Léo
à Montmartre
au buisson
ardent
des pépés
assassinés
en notes
des riens
va s'en dire
et dans tous les sens
Arthur
au tamis
les corps
des gens
un conte
la mare goulette
par petit pas
en Russie
sur une musique
de Cage
inspiré
par John
chutttttt
de crisse
musette
d'Offenbach
cherchant
France
en colonie
de pénis t'en
s'y erre
qu'à la fin
elle cruche
casse et case
Alors
l'effort
viendras
des fleurs
déguisées
en mare
tyran
aligné
sur le noir
arrivant
posthume
en mots arts
Et de l'Art
en Qui Pour
le jour
en pleine
Nuit
des Oracles
par le fait commun
et disgracier
en vingt glaciers
et vain
présages
fondus
sur l'océan
des poussières
Regarde bien
Jacques
sur le mont
mot hisse
l'Abraham
et l'axe
que lui donne
Rembrandt
a sa descente
vers l'or
des lubies
d'Où
la liberté
prenant
seule
le faire rire
dans la prison
que
d'Être
impossiblement
possible
sachant que les mots
de l'histoire
une fois
comme un drame
une deuxième
fois comme une farce
Marx
et Groucho
en dessin
de bande
à part
ailleurs
que dans
un nid
de coucous
sur la rive
des salines
où la grande
aux bas rouges
ses baignades
en lapées
d'anciennes
larmes
venues
d'étranges
lointains
des fous piquant
haut risque
du don
solitaire
en fin de saison
Air
espace
et la
MORT
De cela
qui pareil
à la levée
des masques
fragiles
misères
de la levée
des petits
aux parois
noircies
des suifs
poursuivant
quelque
(je) qui ne sait
trop
l'enlèvement
pour se taire
sous l'aile
oiseau
de la
BEAUTÉ
du
MONDE
dont on sait
d'avance
la
MORT
sans suite
Goya *
