Ne Pas Dire

Part

de résiduelle

de la nuit

enchevêtrée

LÀ

PERSONNE

où 

TOUT

qui sait?

Passant

en tous

de temps en

tant

de quelque

chose

innommé

de toujours

LÀ

ICI

MÊME

après

TOUT

des morts

Non figurable

sans attraits

aussi

Absence

présence

d'intensité

changeante

Pas 

LÀ

LÀ

seulement

Enfin

en

FIN

Des larmes

et quoi?

Sans pourquoi

que du vent

de misère

S'accrocher

hors du mirage

d'Enfer

TOUT

petit

dessin

pour un cul-de-sac

et des enfants

d'animaux

asphyxiés

d'ignorances

dantesques

tripot

des chairs

tremblantes

à l'assiette

d'AMOUR

ustensiles

Temps bref

et périlleux

comme toujours

L'Aile

autant

qu'en à voulue

ce 

NOUS

de lumière

LÀ

 OÙ

dans les gouffres

chérie!

1 jour

des restes

infinis

d'attachements

Éponge

coeur

Courant

d'un déluge

d'en sommes

en distractions

avant

les souffles

coupés

sans traces

Quelque chose

à eu lieu

une effleure

Et qui dit?

Et instants

de

RIEN

Le conte

d'un évanouissement

sous les écrous

que

 d'ÊTRE

(un mendiant

quand il pense

un dieu

quand il rêve)

Hölderlin 

Mais des en sommes

entre eux

des camps

des catastrophes

des bagnards

des tas de chairs

boulées

vers des tranchées

d'âmes

d'AMOUR

saignant

De LÀ

protégé

entre l'indicible

et la présence

toute radieuse

et secrète

en ce futile

état

d'horreur

des choses

qui 

disparaisses

à vue

d'oeil

au gré

 de la douleur

des fuites

contre

l'autre

en milles

jamais

entrevue

d'aimer

Tenir

ne pas dire

SEUL

et

TOUS

en lieu

incertain

fragile

disparition

mais 

le Tri

angoissant

des parts

enfin

sur le seuil

du jamais

plus

LÀ

essais

de mains

demain

 

De L'Autre

Et des choses

cachées

depuis

l'altérité

 des amours

de peines

et misères

(mangeurs

de pommes

de terre)

Au risque

à tous les risques

de prédations

d'Enfer

l'affres monétaires

et sans reproches

que d'être

l'économicus

de sang froid

exterminateur

absent

pourvoyeur

de déchets

d'histoire

éteinte

emportée

par sa Disparition

progressive

au rire

de Peur

'' L'humanité

est devenue

assez étrangère

à elle-même

pour réussir à vivre 

sa propre destruction

comme une jouissance

esthétique

de premier ordre '' *

Ceci était

auras été

et ce peuple

de Klee

manquant

arrive

 cassé

des tempêtes

progressant

des fins

virtualisées

anesthésiées

d'euthanasies

payées

de corps morts

gazéifiés

d'ogmco2

en bh45

et Camp

bariolés

d'hochets

des parcs

d'abattages

et des mises...

 Disparues

...des tenants 

 Lieu

contre soi 

du pogrom

de l'hédonisme

à puce

et du braquage

de poches vides

 mouches

dévorant

des mouches

et de la rigolade

du tout est foutu

Bon pour 

la combustion

des chefs-d 'œuvres 

bon pour l'au-delà

du bien du mal

de la décréation

de 

RIEN

 politique

d'exterminateur

et puis le reste

Il va rester

quelques

poussières

sur socles

et d'Attente

Na pas savoir

véritablement

à moins que...

Et cela arrive

comme le soleil

la nuit

 en plein jour

 la mort

est morte

noir

d'incognitos

des matières

de la dernière nuit

du temps

Attendre

interminablement

la Sortie

de Lumière

petits dessins

ou grands

sans dessins

vers 

LE LÀ

d'une

 Peur

de na pas avoir

PEUR

Prendre l'air

du soir

et ne plus

 se réveiller

Art de quoi?

Des malades

des vulnérables

des faibles

des moins

que rien

de

RIEN

Pas du show bisness

de la chaux!

Cathédrale

de sang chaud

de peurs

bleus!!!

Et de toutes

les couleurs

d'emmerdes

à se débattre

dans l'eau bénite

en pleine folie

de Crystal

à re-cueillir

l'Amour

pas si fou

que ça

da es

Quelques fois

se détraque

l'appartenance

à ce Jeu

sérieux

de cracher

la face du dieu

'' La plus grande

chute

est celle qu'on fait

du haut

de l'innocence '' **

Petit dessin

d'où 

Poussin

fit tomber

l'Acropole

de rage

d'y voir tant

de cris

piégés

de tendresses

et d'amours

Ni commencement

ni fin

que cela

donné

pour des mains

d'enfants

aux cris

 nouveaux

de futur antérieur

ouvrant

la cage

aux vieux

des grandes

 surfaces

pour la sortie

furieuse

mortuaire

de la

Disparition

en 

FAITS

et

en

VÉRITÉ

Benjamin *

Muller **

 

Le Pas

Le Réel Absout

comme un rill

de Paganini

pour une tounne

de la Saint-Quentin

à Pi-Braque

et violon

d'Ingres

Heur

et mal dit

ta vendu ta chemise

pour un chiasme

du coupable

tendu vers

l'extase

nommé

n'est que leurre

et malheur

du réveil

dans 

la

MORT

grande ou petite

LÀ

se pose

l'éternité

retrouvée

proématique

sur le Mont-Sinaï

et les plaine

d'Abraham

Là et latent

L'attend et LÀ

Là tend

et tend LÀ

Incognito

et plus que

le Nom

Innommable

carnaval

de caniveaux

où baille

le difficile

de la pierre

au gouffre

à boucher

le mourir

vivant

de

Vivance

Il s'agit de dire

RIEN

Décidément

les compositions

moléculaires

se métamorphoses

héraclitiennes

ou encor

à la manière

de Lavoisier

LÀ

où

se fixe

le Monde

en 

Jeu

sérieux

d'un éclair

illuminant

le

TOUT

parfait

du monde

après 

sa déliquescence

en douce

et par petites

secousses

de crises

Variant

varrius

et couche couche

 panier

dodo

chuttttttt

La 

MORT

veille

Faire Conte

sachant

la distance

ancestrale

féconde

et nourricière

Art des maquis

des pères

mères

des familles

des villes

et des cités

du monde

De la richesse

et l'or

alchimique

de Rembrandt

 nids

de Vincent

et des rumeurs

des présages

de la science

des calmars

aux prières

d'éléphants

du vol

de Léonard

à ceux des hirondelles

des panthères

de fuites noires

des camps

du Camp

et des morts

venues

refusées

Du dire infini

de mémoire

le langage

la communication

des espèces

la lumière

là-dessus

en forme

de prière

et des pareils

à la tonnes

impersonnels

atomes

au cerveau

de solitude

tenant lieu

en pensant

penser

On entend

quelquefois

le chant lointain

des avants

 lamentations

 désespoirs

soif de vous dire

Infinis

désirs

de nous

et d'à jamais

et puis toujours

reprendre

Écouter Voir

Attendre

disponible

d'esseulement

disparaissant

en sa nuit

noire et profonde

un monde

grandiose

à jamais

plus

 

Quelques Pas

De LOeil

en d'oeil

sur foeil

et de Bretagne

petit

navire

de Pont-Aven

d'aplats

des couleurs

du bon Dieu

sans Nietzsche

Marx

et les autres

capitalisant

sur la peau du tigre

quelques

tiques

en mauvais plis

de Gilles

à l'embarquement

vers se taire

Nulpart

au bout de la terre

plate où tombe

les siècles cycles

et cyclones

au cimetière

marin

'' ...Le changement des rives

en rumeurs...* 

Si peu 

des bruines

les odeurs

de saumures

petite fleur bleue

si vivace

et si recherchée

des déserts

empathiques

D'hier

et comme toujours

les forces

d'attirails

darwiniennes

périrent

selon la mécanique

de Nature

natures

alors amasser

 en cendres

et poussières

pour

l'emporte ciel

et enfer

ouvrant 

LÀ

l'éclosion

tueuse

de la métamorphose

des dieux

de renaissances

vers...l'ailleurs

ICI MÊME

Tranquille

conduit

de guerre en guerres

où deux nuages

hégeliens 

allument

l'idée propice

d'Inconnaissance

en temps

de Disparition

LÀ

tenant lieu

encor

d'obéir

sachant bien

que larmes

aux eaux salées

des naissances

instants

des contraires

paradoxes

mystères

emportant

le flot

continu

des mises bas 

pour la Mort

à l'ouvrage

terminant

l'Or

 du temps

fermant le cercueil

TERRE

en son périple

cosmique

Du Manque

des faims

au vide

de

RIEN

'' Aimer sans doute

est le possible

le plus lointain'' **

saisie

obtempérant

aux souvenirs

insaisissables

ni instinct

ni historial

en 

UN TOUT

demeurant

vague

anonyme

des suites

infinies

d'ÊTRE

désir

en

LÀ 

Valéry *

Bataille *

Eux

Sortir

du cul-de-sac

des fausses

couches

de prédations

des cris

aux biberons

de l'érection

final

pour une sortie

hors

de la grotte

du jouir

sifflant

l'air 

derrière

chez-nous

y à un étant

LÀ

Mais OÙ

et qu'est-ce que

cela veux Être

DISPARITION

de qui quoi

moi eux je vous

et de Plus

Mais où va tu

bergère

d'où viens tu?

Et eux

leurs maux

qui dit leurs mots?

Eux où vont-ils

La redondance

à l'appuis?

La Mort

tu voie

et 

c'Est TOUT

Interminable

lutte contre

les forces abjectes

de l'autre en jeux

marionnette

culturelle

et sans fondement

que monétaire

C'est sans intérêt

l'enjeu

de remettre en question

ce qui Est

pour eux

'' Le principe

éthique

ouvre un avenir

sans être autorisé

par des faits'' *

Qu'est-ce en fin

que TOUT

cela

et que veux

cette Présence

en Eux?

Peut-on

sans risque

étreindre

la violence

dévorante

qui mène

à la Mort

Créer

mordre 

pour errer

dans la chair

à poudre 

d'escampette

par traits de crayon

fausses couches

taguées

de mises 

au monde

inventant des sorties

à n'en plus finir

Pillages

prédations

braconnages

Art d'époques

fin de mise

en terre

Idioties

cabales

catimini

Invisibilités

de la MORT

rapide 

et sur le champ

Allons

au faut pas

du faux air

qu'il fait

sur le passage

en ce lieu

d'errance

et de folie

justificatrice

de la matrice

en Fin

Souffre 

misère

souffle

sur les braises

mémoire

rie 

dit

au bord

de mer

sur la rive

limite

des mères

en batailles

Sang

l'atroce

attentat

d'univers

Et puis

quoi?

L'éther nuitée

de Fantin

De Certeau *

Ce Qui Est

Image Hymne

Loin rappelant

les appelés

oiseaux savants

d'air d'os claquant

le conte par tête

à croître par coeur

épris d'envol

des musiques

rythmant 

l'ensemble 

des oies blanches

emporte ciel

fauchant des nuées

de misères

par vagues

sur désert 

d'impossible

LÀ...

LÀ ou LÀ

se déchire

tu vois

Cela sans mot

parfaitement

et ça tient

Terminé

Comment 

mal de bien

des choses

qui passent

Larmes 

armant

l'amant 

sortant

libre 

d'aimer

Élévation

d'enfer

tu peins

L'autre bord

de tous les bords

RIEN

Jardin 

d'abattoir

d'enfances

Tristes 

sans ébats

Rails 

lignes 

dociles

devenues

ficelles

Étang

de castor

floppant

la surprise

le ô zen

Dessiné

Mot son trace

en clé de sol

Écoute 

dix traits

Seul c'est vrai

mais ceci

M Miamioù

Saïs le voile

la mer à boire

des vibrations

d'amouir

à dessein

Voir sachant

le VOIR

À la veille

ce que la mort

toujours

sans dessin

Il était tant

de temps

tentant ceci

cela ou bien

d'autre chose

voilà point

à la ligne

Outre âge
(l'art est long
la vie courte)
...Art?

Disparus
sous l'enflure
d'un compte
mot née taire
asphyxié
de son en faire
à son conte 

Je t'aime
tu aime
il nous vous ils
voudraient bien
dessiner l'Amour
c'est TOUT

Tableau
MIAMIOÙ
JE T'AIME


RIRE
RIEN

Pas Ici

A Perte 

De Vue

'L'existence
est le récif
sur lequel
la pensée
pure fait nauffrage' *

Offrande
RIEN
et quelques
poussières
l'étales
et perverses
monstre non
pas imbéciles
a calcul
coups de rires
farces les mêmes
crachats
dans l'air tendre
du coeur
Ils ont raison
cent milles
un juge
une même main
un milliards
d'étrangler
Pourquoi Nerval
est mort
ceci ou pas
sens insensé
tu courre
d'où verrous
d'où tu va
ta vie d'un pas
des morts
d'autres encor
Oiseau grive
solitaire
d'oeil d'Horus
sur seuil
de pages noircies
au fol univers
de là ta marche
tombant tombé
milles fois
détruite aussi
de même sans droit
la vie esthétique
en avant tient
chemin faisant
la splendeur
du jour en pleine nuit
Pas cela pas a pas
c'est certain
la Peur vient
elle auras l'Amour
par acquis sans droit
l'assassine d'agonie
belle chérie
Voilà la lévitation
exultante
la plus éjaculatoire
la + grasse
(grosse) épaisse
par tous les ouverts
que des spermes
puissent remplir
étouffant ainsi
le slich liche
des petites morts
folles de mouches
noires dévorant
les yeux la tête
et le bec machine
a l'os déjà squelette
et la merde
du poète a être
c'est tout folle
violence
derrière le masque
social un cadavre
en temps réel
Temps tant
tentant de s'y faire
croire miroir
mentir de vérité
puis cela aurait put
être et n'a pas été
n'a pas eu lieu

Sa décision
la mienne
toujours en fait
la nôtre en fin
partie par là
et lui là-bas
un bail de terminé
Voici le leurre
métissé de cadavres
au même Camp

D'autres après
l'encor du dernier
tenant lieu
de quelque chose
de Disparus
Marbre débris
d'infime fil transparent
d'un coeur apeuré
des jours déchirés
d'impossibles
entre les dents
de l'effroyable
fin d'amour
et de lumière


Kierkegaard *

Pas Là

Ceci Pas Ça

Ce LÀ

Il était avait été
allaité
le monde
avant le temps
de le dire
Sera après
le seul le
Grand Seul
LÀ en Fin

De cela
on peut
au choix
choisi
pour ça
emballé
de réel
contant
ses cimes
qui tombent
dans l'ennui
qui dort

Raison
de plus
en trop
la perd
à moins
qu'emportent
les empires
opiniâtres
des mises
en boîtes
des passants
à la tonne
de chèvre
au poteau
du bien
comptant
repu
du pouvoir
de rire
en grappe
tragique
de l'univers

Petit dessin
tableau
bas haut relief
des attroupés
du refaire
d'au suivant
de la révolte
des puces
sur le dos
de la tigresse
jouant des proies
qu'ont senties
cons sentant
cadrés du cadran
au compte courant
des ruines
débranchées
disparues
avec l'emprise
de la colle
collective
lié aux mots
des maux
de la machine
sous vide
dans la balloune
crevée de l'air
du temps absurde
et de mort
sur essais de Silence
Méli-mélo
du TOUT néant
régnant RIEN
pas un mot

Le gai retour
de l'absence
aux idées
de lui le même
UN des uns
Et commettre
de la création
à l'insu
de Sa Majesté
ne pas y être
c'EST de LÀ
la tête dedans
le jeu...et sortir
prendre l'air
pour de VRAI
en hors-d'oeuvre
La mise en scène
est l'écho résiduel
de ce qui fut
est sera LÀ

L'Art est cette chose
LA Chose
corrigeant la rugueuse
à étreindre l'ICI MÊME
de la Vraie Vie
pas pour tous enfouis
dans la main
des landes à mains
autant qu'en veut
le désir de s'y mouvoir
en un Job qui n'a plus
de lamentations
mais se roule
dans la poussière
du seuloeil du vivant
en tous ce qui se meut
pour Amouir...
De ceci ces grands
espaces cette aération
de l'esprit sorti
prendre l'air sans limite
ou sourd aveugle vide
aux attrapes morts
des sociétés de marbres
et chairs pourries
dans la légèreté de l'univers
hors les sociétés de marbres
et chairs pourries
du cerveau tout fait
bien ou mal
proématique en symbiose
en RIEN du TOUT
encor...

Sans Titre Qui Sait?

SILENCE de l'Un

Entre Autres

Pas un petit dessin
contre un dessein
de mots l'Un mot
éternel toujours
le même.
La Mort porte
en elle part le mot
Dieu étant le fin
fond de la création
son enfer le temps
de brûler
Et poussières
des pierres bâties
en lumières de hublot
monétaires
en plein ciel
de plain-chant
avec la foule
religieuse lapidant
le dieu disparu
avec la disparition
du Tout
et de toutes choses
venues du Un deux
en somme
...'jusqu'à ce que
l'on passe de quelque
chose à rien!'*...
enfin de l'autre bord
du ciel et de l'enfer
des affraires
sans dessins
Et ces mots
acquis de la lutte
darwinienne
dans le marbre
et la couleur
de la forme
des disparus
sans la géométrie
policée et la folie
organique
des ponctuations
et du style
de l'homme
à monnaie courante
pour dire pas pour
jusqu'au cri final
essoufflé en petit
oufffffffffffffff
à détruire le tableau
la sculpture
et reprendre depuis
l'éternité

Doit-on se
décourager
des arts...
par frottis de fusain
le peu de
quelque chose
en reste de l'esprit
estompé lors
de l'érection du
Grand Camp Final
comme univers
Qu'est-ce qu'ils croient?
SILENCE quoi qu'on dise
vaine turlutte babille
toujours utile...
à la MORT
que ça...entre tout les JES
un vide de fausse
ennuyante construction
de faux calculs
en RIRE...
ou ayez pitié
pauvres baillons
sur le baillon nette
bon en édition de
poches pour milliards
d'oxydés dans de dents
dedans...
Arriveront-ils
au début tant cherché
d'une couche à maux
l'autre mot marde
en FIN
Restera à découvrir
la qualité du compost
que rapportera
le notre père à tous
pour un l'Un
dit matin l'an de peur
la femme et la ptite
pince sont venues
chez moi...
Mais où où OÙ?

Pour ou contre
paradoxalement
dire émet du don
sans nom
émet du son
sans bruit
du sens sans fil
milliards d'avis
d'opinions
entre tous Un
tyran dieu
par la queue
du fiel contre
même maux lâches
mot lancé
diable diantre
en bouc de crachats
dans le
concentrationnaire
droite gauche
coincé au centre
figé sans émotions
contaminées
du faux assassin
Mort au bas
du très haut
pendu à la paix
admirant le côté
narcisse de sa
bienfaisance
peau et frique
En quoi cela regarde
le voir qui saisit
le cerveau anonyme
en fait du particulier
et emporte tout
sous son charme
et empire dans tous
les sens...
augmente
le temps passé
arrête là le OUI
à ce qui se passe LÀ
avec malgré bien
malgré ce qui en empêche
et voit une mille fois
ce dont il s'agit
mais ne peut dire
à moins du cri
larmes beuglements
rages et abandon final
à la redondance
des faits du pire
d'être en cette posture
de respirer coincé
devenu machine
coeur cerveau mains
dans le sommeil
de la raison
en mur à murs
murmures le contrôle
dont parle le philosophe
des disparus
De main à mains
ces Dieux finiront
bien par redéfinir
le génie...
au-delà du monde
de CELA


Delacroix*

D'Ailleurs D'Ici

'L'objet d'art,

excrément précieux

comme tant d'excréments

et de déchets le sont:

l'encens, la myrrhe,

l'ambre gris...' *

Valéry *