23 déc. 2024

Balade


Art 
images
et des fragments
de 
vive mémoire
''C'est dans le vide
de la pensée
que s'inscrit
le mal'' *
De ce qui se propose
à vue 
d'Oeil
deuil
à imager
partant des aimé(es)
ce qui peut se traduire
par l'impossible
possiblement
en des vigies
essentielles
au main tient
du cri
de 
l'ART
qui éthique avant
TOUT
ce doit
de refaire
 ses devoirs
pour une esthétique
libre
des dictats
se modélisants
sur ce qui devrait
( les bonnes intentions)
de l'image 
être ou pas
ceci cela
l'ART
de sortie de crise
(humaine)
avant
TOUT
est d'ouvrir l'oeil
sur l'inconscient
 vie ou mort
( urgence des faits)
en la
BEAUTÉ
insondable
du monde
crise ou pas
Ici l'état des lieux
est sur ce qui se 
fait voir
basculement
apocalyptique
au sens
d'une nouvelle
esthétique
après
TOUT
ce 
TOUT
 qui 
consumériste
devras 
ou pas
reprendre
l'humble travail
de Sisyphe
et en cela semblable
au passé 
l'ART
doit
retrouver
la part sociale
des aimé(es)
d'Où Où 
in memoriam
de ce qui depuis toujours
à donner
l'ouvert de la pensée
au sensible
et à la conscience
de quelque chose

qui se fait
VOIR
Visible visible
qui ne peut-être
que la simplicité
d'aimer
L'ART
étant cette main mise
sur l'or du temps
invisiblement
visible
par la fenêtre
de 
l'OEIL
en la lumière
des faits 
terriblement
( La beauté
est effrayante)
les surréalistes
ou encor
inquiétante
chez
 Rilke
Mais ce passé
avait d'autres
visées visions
approches
de la réalité
'' objective''
rendre visible l'invisible
Main tenant
visible le visible
Urgence pour 
TOUT
mais pour 
L'ART
vigie la même 
Ô
et à guet
D'abord 
de l'image
et des images
et puis bien seul
d'y main tenir
la perception
à sa source
la main oeuvrante
Ô
de venir
la mise au monde
après
TOUT
ce tout conforme 
participant
NATURE
natures
histoire de dire
sa détermination
en tous
et dans les faits
menés par lui l'autre
pas celui-ci
enfin
la chamaille
de la part sociale
du donné
pour les biens et services
de quoi que qui... .
Question
d'envergure
historique
(Cela se travaille 
et imperceptiblement
prend tournure
s'ancre pour ou 
contre... .ce que doit.)
L'ART
et bien passé
la critique
pour ou contre
des esthétiques
qui ont faits
le temps passé
jusqu'à l'aujourd'hui 
de la cassure
(les camps)
aux alarmes
 de 
L'ART
politique
plus qu'esthétique
mais à été

c'est d'autre chose
qu'il s'agit
Le vide
laissé 

par la peur 
d'un présent agité
par des extrêmes
(question
de la disparition
du genre)
Et de là
ce qui se propose
et qui c'est main tenue
par 
L'ART
lumière
sur la
BEAUTÉ
qui
EST
et qui donne
le désir de persister
fixé
en son nœud 
l'AMOUR
utopique
épiphanie
consensuelle
de la nature
Les courants
d'art
géométrique organique
ne font plus
le
TEMPS
et le temps présent
à la frange
d'une bascule
agitée
extrême
et... .
s'impose
de revoir le
 VOIR
actant sur l'image
 Bacon
et le chaos
organisé
sur le tableau
de l'EFFROI
et puis 
la suite
se politise
venue des pays 
du mur
tombé
de ses restrictions
picturales
pour une liberté
moins 
sujette 
aux geôles
de la critiques
( mélange d'aura religieux
contre
un matérialisme
pragmatique )
donnant à 
L'ART
sa vindicte
esthétique
de ce qui à été
la possibilité
de l'oeuvre
à sa reproduction
ayant perdu l'aura
d'usure
matérialisée
jusqu'à
prendre une baloune
frasque
boutade
pour une fresque
de
 Lascall
ce qui sans fins la fin
et les déchets
désuets
incompostablement
suicidaire
esthétiquement
de Jean Clair
Marin
ou les apports
des grands classiques
comme
Huizinga
Panofsky
pour ne nommer
que ceux-là 
et plus la sociologie
esthéticophilosophique
universitaire
Baudrillard
entre autres
pour ne nommer
que ceux-là
et après
TOUT
ce beau monde
fin de l'art
ou pas
et la crise
du
BEAU
du style
et de la forme
de Baudelaire
à des perceptions
variant de 
la
Joconde
à 
Poune
ou de 
Céline
Céline
à la crise
de
 l'ART
de quoi que qui
de l'être
étant
héraclitien
cryptomane
des essences
gnosiques
de la
CRÉATION
sismique
sous les chapeaux
de
Renoir
métaphore
du tant et temps
de 
SILENCE
dedans dehors
de
l'image
en 
CAMP
diras t-on 
du
VOIR
avec les aimé(es)
C'est à dire
avec ce qui
EST
qui vient
antre-nous
au passage
de la nature aimée
Ténacité
 respect
 réciprocité
 d'apprivoisement
ART
du
VOYAGE
Joyce
à
Artaud
à
la 
Poune
au douane
avec
Rousseau
vers l'égarement
du sujet
qui était
dans l'urgence
et
L'EFFROI
( Cézanne
la vie c'est effrayant)
ou encore
sans arrête

D'OÙ
vers
Alors dessin
pour voir
2 fois
la
BEAUTÉ
donnée
Levinas
et l'autre
ou encor
le seul un dieu
lequel... .
encor
l'espace
de la question
brûlant
de vivance



Ancre sur Pépier
et traits d'unions
Mais tenir
attendre
le pas qui
EST
sur le trait prolongé
d'après
TOUT
Jonas lecteur heideggérien
lévinassien
gadamérien
de la fin de la philosophie
hégélienne
faut savoir
et puis
 l'ART
et les collabos
du Reich
au-delà
du bien du mal
et l'éternel retour
du même
UN
des uns
en temps de 
DISPARITION
TOUT
doucement sans faire
de bruit
et visiblement avisé
du
BRUIT
de la
NATURE
natures
et ses méfaits suicidaires
Alors
en cette urgence
qui s'évanouie
et la pensée
brouettée
de l'insignifiance
Vadeboncoeur
ici
où là
sur la terre comme au ciel
( La planète n'à pas
besoin de nous )
Ferraris
et bien la les questions
en travers
le fait
de l'urgence
en la
DISPARITON
sournoise
insidieuse
et 
NATURE
natures
contre nature
aimée



Enfin quoi
le sérieux
de l'affraire
est 
que de vrais
chairs tremblent
dans les tranchées
du naître
dans l'oeil du cyclone
(l'imbécilité
est une chose sérieuse...(...)
et l'imbécile
que donc je suis... )
du même
Ferraris
et en rappel
rimbaldien
ou mieux
Gaspar
Antoine
et tous les clochards célestes
que les culs de
Montaigne
ont omis
en fin
cela va arriver
Des éléments
hétéroclites
biscornus
avec un peu
de
Gracian
et beaucoup
d'amour
pour la nature
qu'apprivoise
l'ART
d'aimer
( Watson
Goodall
et des précurseurs
tel 
Rostand
Lorenz
et... )
Alors
L'ART
et les animaux
toujours
et les chéri(es)
tous en silence
dans la peinture
avec 
l'Arche
asexué
pour le besoin pour de la cause
toujours
sans
l'abbé 
Pierre
l'ABC
de
George
Bataille
et qui s'y connaissait
où ça sent
le fumier chauffé
aux ans faire
de prise
de la bastille
et du goupillon
Moderato Cantabile
Et bien
en se sens
L'ART
poursuit
l'histoire
fable
et
en 
CONTE
vert 
la couleur la plus ardue
à composer
(Cézanne ?)



L'Image
jamais toujours
fixant
les devenirs
Alors tranquille
sachant bien
mieux que mal
voir
VOIR
l'antre-nous
et le dehors
dedans
ce qui ne se voit pas
visuel
ce qui veut dire
d'insistance
(convaincre est infécond)
Benjamin
TOUT
en silence
car le bruit va finir
Messiaen
sous les cathédrales
de
Monet
et 
les tourne sol si ré
do
à douzaines
et bien


Imago
aile va 
seule
et très diaphane
Kafka
s'en tenait
craintif
petit dessin
pleins de retenues
et crispés
Ulysse
s'y faisait attacher
cela arrive
souvent passe 
inaperçue
pas pour tous
IL Y A
pas secret
mais très sélect
visible
VISIBLE
Saïs
en symbiose
avec le
grand mystère
des vielles âmes
sans début et nul fin
Cela
arrive
à partir
d'un dessin
tout petit
dessin 
de silence
TOUT
tourne
autour
avec
 l'Aile

Arendt *

22 déc. 2024

Réitération




De l'écrit 
carriériste
professionnel
du prix
et 
cocopris
de la démolition
du déconstruit
des idoles
et des idées
depuis fort longtemps
à la cacadémie
de l'ennuis
remodelant
des faits défaits
 accomplis
depuis
que les doublons
dédoublés
par 
la tirelire
à de
Bloy
agrippés
à
la pipe
de l'ennuis
magrittienne
nuit 
en plein jour
du massacre
sur ne tirez pas
camarades
de la confiseries
et défonceurs
de portes ouvertes
et sur le vide
sanitaire
des pots de pisses
deux fois
Il y en auras d'autres
après nous
et de la ritournelle
pour les élues
convoqués
à libérer
pour conserver
la prison
du verbe
ponc-tuant
la chair 
pour faire danser
les bienheureux
de la misères
nommés monstres
 bipèdes
Ceci pour le compte
du 
Conte
d'il était
avait tt
de la louve romaine
de la réussite
 opérer
par 
Frankenstein
lui-même
Un imbécile
deux fois
est en demeure
de le demeurer
le temps
d'anesthésier
son lecteur
baudelairiens
Alors
Bon vent
sur le 
radeau de la mésuse
( ...les passions dérivent
vers le rien...)
Volodine
ou la belle cochonnerie
d'Artaud
encor
Godot
des réussite
de vivances
Tenir
retenir
le mauvais chemin
qui est le nôtre
petit
dessin
pour les chéri(es)



Ô
temps 
que veut
la répétitions
des chéri(es)
le motif n'est pas
seul
une meute
et des hurlements
d'amouir
d'aimer au risque
du sang bouc
le reste n'est plus
l'ART
se métamorphose
selon 
LA NATURE
natures
main tient
l'ouvert
pour la sortie
des aimé(es)
sans pogrom
et un socle
antre-nous
vers l'inutile
BEAUTÉ
fragile
responsablement
amoureux
(L'amour crée
dans la femme
une femme nouvelle...)
Balzac
Sortons en pleine
mise bas
vers les hauteurs
de l'image
du silence
et de la splendeur
d'être
né inutile
et non serviam
à la grâce
de l'ananart
en vers dit
au brisé
du vrai
entre les maux
Gracian
et quelques autres
Bataille
et les milles vies
du chat
pas si pire
et bien mieux
que
TOUT
des circonstances
et de l'inattendus
par ces moments
espace distance
donnés là
en fouillis
schismes
des maux 
sans mots
des violences
qui vont à la guerre
et crieront
d'étêtement 
vive la mort libre
 décapitée
d'innommables
énergies
pour faire taire
la
BEAUTÉ
des meules de foins
chez
 Monet
et les cathédrales
 s'affaissant
sous le regard du
boeuf écorché
des abattoirs
sans offrandes
à la peinture
comme il se devrait être
Alors
les cries vains
de la profession
après 
TOUT
de cendres
sans lumière
et bien... .
Soit



Il y a
de quoi rire
et sourire
devant derrière
et au centre
de
TOUT
que la réflexion
scellée
en 
UN
des uns
capitalisée par la vérité
nietzschéenne
en niet de pains
pour le corps
saisi
par les entrailles
de la terre
d'où où verrous
de 
l'ART
en ses appels d'offrandes
et d'élections
( ce qui ne se voit point
est comme s'il n'était point )
Gracian
et puis encor 
de l'accord
du verbe 
et des maux 
cela aurait pu ne pas
appart 
être
Alors
Des larmes
plein la mer
pensant à
Watson
et 
Melville
indissociablement
liés
au devenir
deleuzien
ou encor
la nature
souffrant 
de la
MORT
morte
et ses désastres
infinis
en faits innommables
et à de meurt
quand sert
NATURE
natures
répétant sans cesse
et en 
nothing to do it
les failles
 ses divers ptits
culs lites
simulant 
la sortie
par poussières
 infinies
sur la
DISPARITION
ia ou pas
épars  justifications
endiablées
de la
MORT
morte
Alors faire histoire
de la démolition
du démolir
Tout est foutu
du philosophe
ou encor
le mal est infini
le bien
art-ô
mauvais chemin
chez main
à l'oeuvrage
vers
Nulpart
AILLEUR
ICI
MÊME
et pas foutu d'être
haut temple
de la renommée
misère
dans le ciel à soir
en plein jour
En temps réel
sans exceptions
que
 Dieu
 nous veille
absoudre
en mire à
Miró
et Balthasar
ô
souffle
des boeufs écorchés
des étables 
et des corridas
sur les étagères
tremblantes
de la vivance
des aimé(es)

21 déc. 2024

D'Essaim



Et du mot
pour ne pas dire
rien
du
TOUT
de la tour mante
Bon enfin quoi... .
de toutes façons
les maux
les mêmes
et de là
et pas ailleurs
scellés
de la ristournelle
de Job
à Céline
et Bébert
d'au début était l'émotion
en pulsion
mené par la spirale
spinozienne
NATURE
natures
contre la nature
aimée
Alors
Ô
tri
du cri
et comment dire
après la cochonnerie
des mots
Tragique 
théâtre
de poupées rustres
sans Cézanne
et pas de victoire
sans les seins de holà
Pensant à Nabokov
plutôt qu'à
Céline
mangeant
une poutine
d'ennuis 
sous la surveillance
de la 
MORT
morte
en la fin de quoi que qui cocos
de la mort viendras 
et se seras la tienne
pas de l'autre
ni celui-ci
la tienne
là où 
TOUT
se dissout
imperceptiblement
Détruire
en art
construisant
l'inexistence
d'une utopie
rêvée
main tenue
en vigie
par une solitude
de tous les extrêmes
Un non né
de cette manière là
de la
MORT
morte
semblable à une semence
retenue
d'avant d'après
Ô
présent
pour les aimé(es)
en diffus
antre-nous
le soleil noir
dont parle 
Kristeva
ou encor... .
Bon 
mais deux fois
ou mieux qu'importe
la béatitude
des robots
de 
Bernanos
jamais n'égaleront
Nerval
et Aurélia
et l'art de l'or
sacré
en temps d'insignifiance
Et qu'est-ce que
la
VÉRITÉ
après
TOUT
de la
MORT
morte
devenue
blanc sur blanc
en
a-blanc
( Le noir est le
refuge
de la couleur)
Bachelard
ou encor
pour un visuel
mélancolie
et pathie
au fond d'un miserere
ou bien ou bien 
tôt
sous peu
croire ou pas
ne change rien
à
RIEN
Alors
le plus grand que
TOUT
petit dessin
bribes
tombants
antre-nous



... .et des nourritures
terrestres d'ailleurs
ICI
MÊME
visible visible
d'une éternité
la suivante
en nous de la paroi
de mémoire
contre la progéniture
de Frankenstein
et de 
Drap Cul Là
en ia 
de la chair au verbe
et des souffrances
terribles
( Ukraine
Russie)
et les usines
dans les mines
les affamés
les mêmes
aux abattoirs
 dans les tranchées
des autoroutes
des maladies
et... de ne tirez pas 
camarades
mon ami mon frère
et de l'interminable
ne pas savoir
des investissements
de lui pas l'autre... .
De ce côté
de l'enfaire
des affres et des affaires
ni vu ni connu
et s'ouigne
la baquaise dans le fond
de la bte à bois
Qu'est-ce que la
philosophie
et le terrible
NOIR
impensé
d'où où
et
 l'ATTENTE
interminable
des aimé(es)
Dire autrement
songe
en un
TOUT
où la part
de la lumineuse
est à son zénith
de concordance
qu'un corps danse
et chemine
en un paradis
sur terre
cela peut arriver
arrive
est arrivé
Le main tenir
maintenir
( le roi réveillé)
au conte
et croire... .
Enfin
revenir à la réalité
du dessin
pour en sortir
de ce qui par la suite
est retourné
au cauchemar
de la réalité
objective
du
TOUT
où le roi c'est endormi
ne nous pense plus
ne nous voit pas
ô temps
le plus sombre
après 
Auschwitz
et le
CAMP
Alors fout le camp
d'ICI
MÊME
D'AILLEURS
dessine toi un petit dessin
(naïve histoire)
du 
CONTE
hors propos
et de contexte
au sujet de qu'est que
la philosophie
apporte
à la fin du pensé
d'ouvrir 
ia
à la 
MORT
et aux organes
du parti
souffrant de son errance
et de la terreur
en la terre
ou taire
la misère
de ses morts
cachés
et déposés
sur socles et poussières
Enfin
du bablatages
et résiduelles
particules
des aimé(es)
par l'horrible
MORT
morte
voilà
encor en corps
un dessin



Que ça... .
et les dessous
de l'affraire
est
Friedrich
et les poules
parmi des fous 
dangereux
Althusser
 et dr Jekyll
et l'état et bien
Hegel
et main tenir
la
MORT
dedans dehors
sous les tropiques
du 
Chaperon Rouge
et du
Christ
entrant à gruge
dévoré
par ses multipliés
frankensteinisés
par lui le même
UN
des uns
fureur sans hache
apparent
histoire
de pas lui l'autre
ô
abysses
des déguisés
de la réussites
ou préférant pas
dans la baleine
exténuée
du filet à mourir
à chaque instant
dans les bras
de sa festivité
pour le retour
ex cathedra
en fin pour qui sait... .
l'arrivée
derrière
où le mal infini
n'est pas l'âme
qui veule voir
la grande misère
du mot
verbe
et vérité
d'AMOUIR


Chez ces gens là
de la mise
déguisée
en tous sang de boeufs
des teintés
de la sanguine
errant
sur la mer
veillant
sur le poult
mort noyé
inondé
de l'au-delà
sous l'ami
en dire avec 
Kristeva
de la dépression
atmosphérique
au passage
du cycle clown
de la force reste
en
main tenant
leurre
de la guéguerre
de la vie
c'est effrayant
cézannienne
triangulée
d'affreux dite disant
le sextant
vers l'univers
et ses imprévisibles
métaphores
en corps et encor
Einstein 
attablé
avec en sort
et les joueurs
matant 
de l'échec
de l'os
et des petites morts
pour le festival
de 
Noway of life
Alors
les griffures
de la croix
sur la mythologie
cérébrale
des anglais
Turner
Constable
et les cathédrales
de monnaies
TOUT
est passé
en 
l'ART
d'AIMER
la lumière
et ses éclairs si
le temps de la 
MORT
morte
s'abstient
et retient
sa mise de fond
non pas 
d'Éros
mais de
la 
BEAUTÉ
d'être en devenir
le petit dessin
de la voie
d'AIMER
l'IL Y A
ou ia
ai en lai
proématique
forme de prière
en la terreur
apprivoisant
le fer sang blanc
de la résurrection
de la
MORT
morte
un soir d'était
le grand
OUBLI
capté par le peintre
et son modèle
en joue du jeu
du jus
des pommes sorties
du
Paradis
de l'Axe-d 'Abraham
pour que la lumière
fuse
à sa ième dimension
d'AMOUIR
et d'ananarts
antre-nous
et les aimé(es)
au ciel pauvres 
et chantant
l'inattendu
et ses justificateurs
en
TOUT
Alors fait moi 
mal
Boris
ô 
sex
ô
faune
de la fée et riz
Ô
fait d'où
vient le rire
de
George
en ses bains
à rats bars
en
TOUT
ça pour
la vérité
bataille
contre l'armes
alarmes
ses pleins maux
dits
Alors
ia 
vue de la vallée
d'Elbe
où d'où
verrous
des aimé(es)
pour
CONTE