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30 sept. 2011

Un Épais Silence



L'INVISIBLE AU QUOTIDIEN (un endroit...pas un endroit...comment dire?)

À la niche
dominée
d'homminommerie
ainsi fin t-il
sans obligation
de sa part.
Sans permission
les mots
ont sortie
de la maison
des morts
'Un écrivain, moi?
Hors de ma vu,crétins!*
Plutôt ne pas être
né que faire
dans le trafique
banquale
des anémiaques
ça sert total.

Zigue et Zague
avec Ulysse
et un en Fin
de d'job de bras
car la cage
de la pêche
à hommes morts
est pleine
dévastation
de toutes formes
de plaisirs
tout est ennuyeux
le sévices
à perdu son air
Des résidus
épars de prête
mots virevoltent
l'équivalent
des feuilles
au vent.

Toaster
des deux bords
pauvres et riches
au chant
de l'alouette
plane l'exhalaison
de que vouliez-vous
en avançant ce
ne pouvait-être
que le pire
Fin de toutes
les fins enfin.
Mort de notre nature
naturellement.
Oui et après
il n'y a
plus d'après
que du bèèè-art
sans jenous
dieu homme histoire
tout est entré
dans le miroir.

Planète bleu
de déveines
L'Étiolement
des pieds jusqu'à
la tête
pétrifié
de désolation
de tristesse...
l'Art un cri
en l'image
mains de sang
et de boue
lié enchaîné
ficelé de jenous
'Mon mestier et mon art,
c'est vivre'**
en un Épais Silence
plus qu'un nom
un non à tout
à je comme à nous
Aquin parle
d'un voyage
'ralenti vers
le nucleus du moi'
comment dire
encore... être
nul-part
en milles points
de vues Tout
vider d'émotions
engouffrer
dans le tableau
de sa nature
morte
Au ciel
ni vu ni connu
et laisser venir
les petits enfants.

Mandelstam*
Montaigne**