25 oct. 2024

En Corps Ô Passage


... détruire
l'art
 par l'art
de rendre la tache
impossible
pousser 
de l'autre bord
ICI
MÊME
et attendre
cela arrive
sous tanteletot
on verras
après avoir rapetissée
les têtes
le sculpteur
se rend compte
qu'il n'y en à plus
du
TOUT
et ia 
va fermer la gueule
l'envoûtement
pour les ténèbres
en Mars
avril
mais le dernier
seras 
Dieu
beaucoup d'épelé
pas d'appelé
ce qui confirme
le donné
est de la fausse route
L'en jeu
est ailleurs
et concluant
par les synapses
égarés
Des têtes
toutes petites
aux têtes
sans queues 
machinées
pour la jouissance
du point ia
le g insensibilisé
par la violence
et la terreur
des bruissances
mêmes choses pour 
les spermatozoïdes
fatigués
Enfin
quoi l'éternité
devenu
la mère allée
avec le réchauffement
du seul'Oeil
l'autre côté
de l'amour
osmose
et éternel
joie
d'AIMER
pour le vrai
passage
à un niveau
très supérieur
pas la deuxième vie
du sol air
mais l'aéré
du
verbe
en geste main tenue
pour l'élévation
de 
l'ÊTRE
après
TOUT
en sortir de la consumation
de la fin
qui ne finie plus d'en finir
Après
le premier amour
vrai
qui est rare et exclusif
ou bien
laisser l'âme
en ses splendeur
éternel
et toujours très en
danger
art d'aimer
Hugo
ou
 Goethe
Musil
encor
IL Y A
sans ia
va sans dire
en image
c'est à 
VOIR
Blake parle de l'unions
du ciel et de l'enfer
et bien 
PASSAGE
débittant
la cloison
masturbante
vers l'absolu
plaisir 
d'AMOUR
Breton
parlait du fol amour
encor
le secret
malgré
TOUT
de la vraie vie
d'AILLEURS
SOT DU ROI
clown
Giles
Cioran
souvent
Pierrot
Kafka
Gaspar
les animaux
ces victimes
stigmatisés
du
PARIDIS
perdu
et sans cesse
le désignant
de souffrances
à main tenir
l'idée
Cela donne à
VOIR
en fin
quoi que qui... .


... .à qui de droit
de la mise errante
de né pour l'oubli
du 
UN
des uns
furieux de la marre
 à goût
servie 
depuis la nuit des temps
par la rage 
enragée
de la pulsion
de la
MORT
morte
et l'état des lieux
sur le bbq
festif de la révolte
de quoi que qui
pense avec le bas
ou le dos perd son nom
exactement
précisément
le roi 
Ubu
retrouve la mémoire
qu'avant pendant
 la vie
 constate
que sur sa beurré
 ce n'est pas
de la cacahouète
et qu'en avançant
avec les faits
des borgnes
éborgnés
dans les tranchées
jaunies
du petit pan de mur
jaune
alors et bien
Jonestown
et l'ennui
de la richesse
amène les lemmings
au retour
de la grande marmite
servie à volonté
de l'entredévorassions
infinies
Qu'est-ce que
L'ART
après 
TOUT
suite à seul un dieu
qu'est-ce que la lumière
en la nuit de tant
d'impossible
néant



Forme de prière
pour après
TOUT
de lui le même
UN
des uns
en larmes 
d'Éros
menés à l'abattoir
univers
là pour le dieu 
là pour
une augmentation
de sale air
là pour l'utilisation
du corps
mourant de l'aide médical
au suicide
sur une étude
de M.Tulp
ou encor
la fin de l'histoire
apocalyptique
1418394520... ,
En fin quoi
la vie va suive son cours
spinoziste
ou pas
à sa ième dimension
l'ère de rien
et 
après et bien après
la réalité
rugueuse
d'Arthur
et les sans desseins
de dessins
de la voie
laistant du laiste
en l'en faire 
des affraires

donc je suis
avec les aimé(es)
Ô
bleu du ciel
triangulé
par notre père à tous
et toute la gamme
des couleurs
réunies
par l'embellie
juste 
antre-nous
sans dessin
à dessein
d'AIMER


Maux A Dessins


Le Corps
des anges
sans savoir

avec les animaux
la nature
aimé
au champ sans 
Marcel
en de vastes 
naïvetés
immortelles
où le
futur-antérieur
à ramener
ce qui se devait
avait été
seras
le désir corps y gens
d'ÊTRE
hors et à jamais
état
de nuire
à la
BEAUTÉ
d'amouir
et ses élues
de
l'ABANDON


A la bête
 Sacrifiée
de ce qui 
EST
et où il n'y à
rien en vrai
à dire
IL Y AVAIT
le 
SILENCE
hors la couture
culturelle
aux agonies
de toujours les mêmes
naïvement
 inscrits
au temple
du fixé
de la 
MORT
morte
ou encor
cette histoire
là qui s'éteint
vidée de son contenu
des donnants
du sang
 pour un peu de
LUMIÈRE
en l'abattoir
des épelés
disparus
car l'imagination
réalisée
c'est enfuie
après les larmes
et le déluge
des fins dernières
éteignant
le monde
en un tas de chimères
Et les aimé(es)
trahi(es)
exterminé(es)
d'à jamais plus
Et bien
le reste est de mémoire
sur socles
et poussières



Main tenir
in memoriam
alors que 
l'Alzheimer 
du 
Gange
au fleuve
Alphée
des songes
et les dernières
gorgées d'eaux du
Saint-Laurent
remplies 
de particules
plastiques
goudronnées 
en finissent
avec les derniers
 poissons mythiques
des chrétiens
en la terre nourricière
au sortir du
Paradis
et les collabos
du pris bébelle
de l'édition des morts subites
jusqu'aux derniers
imbéciles
enterrés vivant 
en haut lieu
du fruit de la science
en sa funeste
terminaison
monnayée
pour le
UN
des uns
le même celui-ci
l'autre pas lui lui
etc cte ect
tec
Alors en avent la fratrie
du tous pour 
UN
NATURE
natures
fait moué un dessin
sur le nouveau né
sans couche
et sans âne ni boeuf
sans étable
bombardé
de récups
pour un dernier respire
aussitôt
arrivé
que c'est courcircuité
l'exultation
du cul-de-sac
pour le
UN
des uns
pragmatique
étriqué
de l'apparence résiduelle
d'IL Y AVAIT
l'en faire des adaptations
à l'aide médical
au suicide
sans celui
 de l'aide à survivre
à la
BEAUTÉ
lucide
 géométrisée
d'organiques
splendeurs
hors d'atteinte
par la
MORT
morte
en sa disquette
NATURE
natures
en sa 
DISPARITION


Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
et bien c'est le non dit
du 
SILENCE
des aimé(es)
antre-nous
un soir divers
sous les rayons
d'une clarté
tenant lieu
d'améliorer
le soi au rythme
aimé
du passage
de l'adulte à l'enfance
aux cheveux gris
Ô
 blanc
et sans syllabe
du
VERBE
aimer
après
TOUT


23 oct. 2024

Y Croire


 



... de
TOUT
et des bouts
ici là
des innéismes
des panthéistes
des stoïques
des pyrrhonistes
mentalistes
empiristes 
des tous
 du trou
des ce qui devrait
aurait du
ou n'à pas été
et on ne sauve personne
malgré eux
avec les loups
la caravane passe
emporte
moi vers les pays d'un autre
chante
Alain
pas le philosophe
et c'est le plus beau
jour de ma vie
encor
des mots 
des études sur le langage
de la théorie
des concombres
dans le vinaigre
de Mars
avril au mois de mai
etc 
et puis les écrits de l'intelligence
et des quotients
du quotidien
à la compagnie
de la veine
d'un mrcx de pain
pour le vol d'un oiseau
ou de l'albatros
pour un beau
de l'air
et du nihil
ce temps
où 
antre-nous
les aimé(es)
de la révolution
arrachée
aux tristes pourvoyeurs
de mots
dits
ennuis
Alors en connaissance
de cause
Libre d'amour
aimé
aimant l'
AMOUR
amouir
et sans les ismes
schismatiques
du coeur



Des doublons 
triplons
et milles pattes
de dés pipés
de rien pantoute
des bancales
de la gloriole
du trop tard
après
TOUT
des oublis
de la fin
n'empêche 
pas la
MORT
morte 
d'assassiner
d'autres assassins
et
Dieu
et
L'ART
(visuel)
ces silences
dans le bruit et la fureur
de l'égarement
 et de la quête du sens
par l'illusion
du donné 
pour ce qui
des us et coutumes
du ce devrait
humain trop humain
Alors
ce qui du passage
demeure
amour
dans la pleine
lumière
des aimé(es)
illusion
suprême
la seul coiffant
les décoiffés
des vents pires
et des enfants
aux mains
de la
NATURE
natures
des créés
pour les maux
de la chair à monnaie
vivante
avec les animaux
de la terrible
misère
de l'en faire
des affres et des affraires
Alors 
un pris bébelle
un cri
d'agonie
contre écrit
de la cochonnerie
d'écrire
pour la secte
des privilèges
d'un réel
fabulé
demeurant
cauchemar
gauche droite
centre
et 
MORT
morte
opportunisme
de lui l'autre
et les dons
sans Quichotte
des moulins
à vent
Et bien
qu'est-ce que 
L'ART
coiffé
du
Dieu
aux milliards
de noms titubants 
après
TOUT
de la marche en dise
de la matière
et de l'histoire
de fou
pour de vrai
en la
MORT
morte
Et puis quoi que qui
de la médecine
de la mort
déguisée
en l'aide médicale
à mourir
et non l'aide médicale
à survivre
et des rognures
infinies
de lambeaux
en ia vers la planète
de l'espace infini
de
Pascal
ou celui
du fourre 
TOUT
et après
le piège
de quoi que... .
la main sur le mur
des murmures
des aimé(es)
illusion
de la vrai vie
de lumière
sur l'
ICI
MÊME
D'AILLEURS
et
L'ART
est ce qui main tient
après
les sévices
et les vrais morts
de 
L'AMOUR
vive mémoire
et le
SILENCE
main tenu 
malgré
bien ou mal
sur ce qui seul
un
Dieu
et qui veille absoudre
enfin
L'ART
qui est seras à été
avec ou sans
épelés
des élucubrations
de la prise au pris
du prix muet
de la
MORT
morte
Combien
pour la lumière
en temps de passage
et démie de la ponction
des caméléons
sur une chemise
noir et à carreaux
sur l'image
hors la collaboration
aux suicidaire
NATURE
natures
univers
l'errance innommable
et infini
de 
Sam
et de l'effleurement
dessiné
cela arrive
et hors de 
TOUT
doute
pain béni
de la lumière
des aimé(es)
au passage
antre-nous
pour un dessein



Alors se couper 
la langue
en la déroulant
par milles et une
choses 
à dire
avec et antithèse
du mot dire
et du maux
d'amour
infini me monteras
dans l'âme
et la poésie 
proématique
prenant un taxi
pour 
Nulpart
ICI
MÊME
D'AILLEURS
naïvement
certain
d'y croire sans y croire
vraiment
là où l'obéit
va où il doit
et 
L'ART
seul mensonge
qui tienne le coup
de lumière
et seul
là où
l'odieux
du point d'appuis
cacadémique
de l'ange 
et les écrits
perd vers le masturbatoire
au prise avec
eux les parfaits
élus
des épelés
du temple
des 
TOUT
est permis
rien ne l'est
et 
TOUT
dire et dire redire dire
fixe la
NATURE
natures
perverses
de quoi quo cul
de la reproduction
du ma raie
grenouillant
du style
au sot du royaume
des borgnes
de la misère
en la
MORT
morte
et ses fascinations 
pour sans fin
l'infini



Cette question
toute pareil
au début
du monde
Qu'est-ce que
l'ART
avant et après
TOUT
qu'en est-il
de la misère
défenestrée
des conscient
de quoi pour en sortir
du commun
et de la propagande
de sauver qui que quoi
du nihil
imprégnant
la
DISPARITION
du
TOUT
et 
TOUT
inaperçue
de la dilution
des présences
devenant inqualifiables
et injustifiables
monétairement
et ce constat
le même
par l'échocomique
du dividende
machiné
par lui 
le même
UN
des uns
Tenant compte
de l'on peut mourir
d'être éternel
alors
IL Y A
posthume au nihilisme
et de l'apport de quoi et de qui
pour qui pourquoi
L'ART
et sa spéculation
un vide
un coup payé
qu'est-ce qui reste
du Van Gogh
au musée
de la richesse
du savoir pouvoir
sur lui le même
UN
des uns
et des Van Gogh
des Mozart
inconnus... .
etc tec cte
D'où vient
le don
et qu'est-ce qu'un don
monnayé
devenu
sans l'aura
présence
sans transcendance
ne vaut rien
'' Lorsque vous avez fini
de changer,
vous êtes finis.*
Et du style
en autant que le veut
l'ART
du jeu sérieux
d'aimer 
L'AMOUR
de
L'ART
d'aimé... .
Laura l'auras pas
lesquels
de nous l'auras... .
l'aura 
b art
ou bien
ART
est art
en qu'est-ce que
L'ART
après avant
pendant
que
 l'ART
souffle sur la vie
qui
EST
ART
peuple manquant
de la marre goulette
art is art
en la
MORT
tas d'elles
en la
BEAUTÉ
d'ange heureuse
de vivre


Benjamin *

Antithèse



... .et des arts
pour le parti
pris
de faire un tour
ailleurs
ici
dans les mots
de la mouvance
d'amour 
ou pas
sans expliquer
pourquoi
ceci plutôt que cela
sauver le chat
d'Alberto
faire souffrir
Annette
et prendre la pause
avec maman
de l'existence
passage
malgré l'ignorance
et l'improviser
de la 
DISPARITION
technique
des mots arts
et des mains sur la parois
du pourquoi
sans pourquoi
de l'embarquement
pour se taire
mené Penaud
maître
Jones
et dr. Jekyll
frankensteinisant
le sensible
pour l'armée
zombifiée
de la
MORT
morte
exterminant le dernier
homme
de Foucault
ou du seul un dieu
encor
mix my up
de la destruction
NATURE
natures
et des restes
les mêmes
innocents cailloux
pour l'élite fachiste 
et automate
ridicule
UN
des uns
final bâton
mal armé
ferme le livre
en son
dernier mot du camp
en la crise de vers
à soi
des mémoires
confondues
L'UN
réalisé
pour la
MORT



La 
MORT
en ce qui est
d'où
TOUT
est foutu
des maux et de la misère
insensiblement
le 
SILENCE
en l'univers
infini
de ce qui à été
ô
tant nihil
des faires semblants
que c'est intéressant
le suicide
de
Jonestown
pour un
Titanic
gelé
ben dur
et engouffrer
en ses dernières
horreurs
de gens d'élitées
 le cul haut
et des et morts roides 
et des voyages
touristiques
vers
LA MORT
Et cette chose
néantisant
les chatons nés 
en froidure
sous zéro
ou encor sous les bombes
d'humains
trop
humains
 des misent ô
monde
où d'où 
un hibou qui fait 
où où
et des chiots jappant
à la lune
pour des rolex et faire
 à rire
en voiture du peuple
des chairs
pour Adolf
en fait
y a t-il
de la vie avant
avant la justification
des adaptés
lemmings
Alors
au-dessus des steppes
ayant joué des mots à maux
ne plus y être
ICI
MÊME
D'AILLEURS
et qui comprend
comprenne
après 
TOUT
NATURE
natures
1 deux un 2
en avant marche
enfants 
de la fratrie
et du gros en petit
gros
de la tombe haut là
dans les affraires
dans le ciel
à soir
SOUFFRANCE
à moins
d'une cassure
très voulue
du libre arbitre
et spin osas
ficelé
d'obéir
à
 l'ABSOLU
passage à tabac
au réel
enfirouapée
de pas lui l'autre
enfin on se comprend
je tue il
et des sculpteurs de vent
les portes
infernales
du 
TOUT
et dire 
L'EFFROI
contradictoire
d'être heureux
dans la lumière
'' Le vrai souvent 
se conclut du faux '' *
plus d'où où vers où
pose la question
du pourquoi
TOUT
cette somme
d'affects d'obéissances
de ceci cela
plutôt que... .là 
lui l'autre et de la
NATURE
natures
et ses milliards 
de percepts
tous dans la lumière
de la conscience
du
TERRIBLE
donnée à
VOIR
ENTENDRE
cette création
triangulée 
de bleu
 de rouge guerroyant
jaune
  dedans la chauffe
tête
et des blancs 
et noirs
délavant  rabattants
 le métier
sur nature
et les aimé(es)
en l'abysse
la misère
et la terreur
des us et coutumes
machine à tuer
L'ART
d'aimer
enfin que de la redite
et des contradictions
en tant de chiasmes
 de babéliques
bombardements
de mots à maux
trop ou pas assez 
en
TOUT
et qui de ce fatras
va faire place net 
à la venue de
IA
prenant le vide
de l'insensé
débordement
du flot floué
NATURE
natures
synthétisant
l'ensemble non pas
pour big boom
Brother
mais pour
le
UN
des uns
en une petite équation
sans coeur et sans reproche
LA MORT
Alors les derniers
des mères
en la nature aimé
de la conscience
du bien du mal
des mises bas
à la lumière
artistique
des faits et des perceptions
sensibles
du réel
dedans dehors
en une symbiose
d'offrande
à l'insaisissable
amour
au passage
avertit de la clarté
donnée 
que d'être... .


Pascal *