18 mars 2023

Inné Dit


ICI
juste
autant en emporte
le temps
d'aimer
par 
L'ENFER
tenant
déguisé
en enfer
me ment
ou wattever
over de flow
dévorations
tube digestif
céleste
enquête 
sur quête
d'illusion
d'exultation
du
même
UN
TOUT
illusoire
maîtrise
du
RIEN
et la poésie
tête enflée
du partis pris
du
TRIAGE
totalitaire
suivant
des suiveux
piégés 
d'eux chiffrés
comptables
d'étoiles
nominées
sur la misère
de comme ces cris
de larmes
du chien à la lune
ou encor
de la ténèbre
d'AMOUR



Aveugle
assurément
par delà
la grogne
perdu 
aux abysses
de la rumeur
distillée
au passage
de 
l'EFFROI
désemparé
à
COEUR
fendre
dedans dehors
la horde
irrespectueuse
du jardin
d'Acc'Oeil
uni-vers
'' Être avec toi
ou ne pas être 
avec toi
est la mesure 
de mon temps '' *
et de l'unions
paradoxale
de la
DISPARITION
du mirage
sur socles
et poussières
AH!
cette beauté blanche
dans la nuit
toute vêtue
de consentement
à la 
vivance
indicible
gratitude
prêtresse
du noir
sur noir
du mal en mal
et maux
trébuchants
de vivre
'' LA MORT,
LE MAÎTRE
ABSOLU.'' **
Aujourd'hui
qui sait
S'en
 TENIR
Allons... .
les solutions
s'écroulent 
a-blanc



Les erreurs 
du coeur
n'en sont pas
petits nids 
de 
Vincent
et des partir
en pomme
lumineuse
en temps courant
le jour
 en pleine nuit
de la présence
triangulée
d'antithèse
ART
la l'erre 



L'Écart
et des résidus
d'épaves
arbitraires
emmurement
de murmures
dantesques
apparences
grotesques
prétentions
guerroyants
'' Jamais les hommes
ne font le bien
que par nécessité '' ***
et de la 
JOIE
alors latence
TEMPS
du
S'Oeil
Larme Amour



Espace blanc
à noircir
avant après
le dessin
destin
d'après
TOUT
embellie
amendée
d'inclinaison
assoiffée
de feu
d'antre-nous
sans ombrages
avec
 les chats



Borges *
Hegel **
Machiavel ***

Re-Tenir


Après
l'avancé
de
PAS
UN
poil
'' L'amour,
c'est que tu sois
 pour moi
le couteau
avec lequel
 je fouille
en moi '' *
Laisse aller
pas 
TOUT
faire 


... .
vent ventouse
d'avalement
métamorphose
assuré
'' Je fais des nappes
de paix
en toi '' **
en
FIN
encor
corps à lit
éteint
de lumière
et des larmes
assouvies
de casse
tête
(Ceci n'est pas pipé)
SEULs
s'éloigne
l'unique
Mondre
TOUT


Poussières
d'errances
millions de soleils
sur le chapeau
stellaire
où 
EST
l'ICI
INATTENDU
hors
l'espace
exigus
et
barbare
en diversions
tenant
sur la route
d'un cul-de-sac
l'autre
d'avant pendant
bandant 
d'éternuité
ou encor
paw paw 
t'est mort
ou petit jardin
à dessin
de
désenvoûtement
épris
d'insignifiances
et remettant 
le change
en
 EFFROI



Sans dénouement
jamais
en 
Somme
de kermesse
à droite gauche
etc
parti
 pour la gloire
d'étincelle
PAS 
quel
VIVANT
délire
Ô
MES AMOURS
D'ICI
juste
ICI
d'AILLEURS
en chacun 
de tes poils
et l'odeur
de tes pattes
désossées


Kafka *
Michaux **

17 mars 2023

Cerc'Oeil



Le dur faucheur
des étêtés
de la poussières
et des carottes
dire l'avancé
de procédure
en douce 
anesthésié
pas du politique
de l'histoire
ayant arraché
les coeurs
au triage
pareil
à une
 force
faiblesse
amoureuse
Surveillance
surveillée
du même
UN
des uns
posthume
exterminé
eschatologie
du 
VERBE
'' Le fait de ne rien faire
n'est pas vide de sens
Le sens est de dire oui
aux faits des relations
de domination
existantes '' *
et de
 l'AMOUR
ce petit moteur 
recherchant
l'impossible
présent même
maintenu 
guetteur
par le désir
recommencé
de l'inutile
merveille
de la douleur
prévenant
la 
MORT
en
SOMME
ou de mourir
SEUL
en son univers
Posthume
postulant
la nouvelle lutte
des classés
à la tablette
déclassée
de no way
d'à reprendre
depuis le début
Il était avait été
seras
Histoire
de dire
la manière
du
Conte
au bout
 du compte
1
le regard
de la 
FIN
auras tes yeux
le reproche
de la dignité
universelle
Donner
la
MORT
se donner 
à la
MORT
mourir
ex terminé
d'AMOUIR



Leçon de Mort
aux vivants
de non
En pensée
des tremblantes
hors ligne
du partis
d'être ou pas
juste 
l'il y à
au feu 
d'antre-nous
ICI
juste ici
insaisissable
TOUJOURS
pleins de larmes
solides
du sel
usant le chemin
d'ENFER
damné(es)
d'y être
abandonnés
de promesses
 pèses mères
perdu(es)
obnubilé(es)
de ceci
cela
dans la matrice
de toutes
les souffrances
totalitaires
stigmatisants
le sang du coeur
des bêtes
vouées massacrées
d'ignorances
de lui
le même
UN
des uns
massacré
du massacre
de pas idée
de la
MORT



Sans cesse
l'infernal
de cela coeur
pieuté
de présence
d'aimer 
sans mesure
à faire chier
le diable au vert
infini
compostant
la terre des corps
AMOUR
d'en faire
semblant
justification
apocalyptique
prétentieuse
envers le
TRI
se trillant
comme il peut
on se taille
 en douce
Pourquoi pas... .


Sans fin
les maux 
du mot
de la
FIN


Zizek *

Les Larmes


Grandeur 
naïve 
d'exister
de
pleine sapience
de ton bourreau
chérie
à contre
Axe-D 'Abraham
retenant
TOUT
d'après
la
FIN
de 
RIEN
dès le départ
Un se sentir
chez-soi
en dessin
réconciliation
avec
le
 JEU
de
Joie
de se nourrir
du manque
et de l'air
vicié
dedans
dehors
HORS
L'insulte
 de ne plus
être aimé
donnant la
MORT



Coupable
de la
BEAUTÉ
d'EFFROI
triangulé
de perdition
tenant
LIEU
d'amours
irresponsables
à dévorer
sur le chant
de lenteur
des oiseaux
de 
Johannsson 
sur la portée
de ce qui
EST
de mouche
qui pense
le poisson
de l'eau
de-là


...'' Attend de ma faiblesse
une larme
qui fonde ... '' **

Offrande
La cohérence
est sans 
révélation
au coeur
secret
des amours
infiniment
pensés
''Gouverner
c'est faire
 croire '' **
Et avant
d'en finir
une fois
pour tout
dire redire
le voile
dévoilé
de
Saïs
La magie
ne commence
 qu'après 
TOUT


La surnature
de 
l'ART
est terrible
passé
le temps
de la
MORT
ce chemin
de pure
perte
qui tu 
EST
La FIN
de
jamais
ABANDON


Fugace
AMOUR
éternel
RIRE
épongeant
le d'Oeil
du point d'appuis
de la
MORT
au moins
que
TOUT
Quand 
VOIR
est un contact
à distance
sanctifiés
de la présence
absentée
de sa concrétude



Art
sur arrêt
du mystère
hors
 la certitude
d'être fixé
et tout le reste
après tout
est un 
petit dessin
que la science
ne peut
 comprendre
qu'un coeur
en dedans d'elle
 parle
ne veut pas 
abandonner
notre 
antre
NOUS



Machiavel *
Valéry **