Éponge
'' A force d'appeler
ça ma vie
je vais finir
par y croire
C'est le principe
de publicité '' *
l'Oeil
f'Oeil
s'Oeil
tr 'Oeil
'' Nous sommes
lents à croire
ce qui fait
mal à croire '' **
et sur le fil
des guéguerres
d'en Somme
payer des gens
pour en finir
avec
TOUT
le suicidaire
d'ignorance
des lemmings
de Jaunestown
Mais en vérité
qu'est-ce que
cette affraire
de je ne sais trop
philosophique
La véritable
la seul
est qu'il peut
s'agir
d'un mensonge
qui se dit...
Enfin
Être ou pas...
Eux
y a t-il
la pièce
esseulée
d'approche
et lance attrape
visant le noir
le blanc
des chinoiseries
disant gisant
a même
l'évanouissement
des embruns
sur le quai
des attentes
qui de l'inattendu
feras son oeuvre
malgré
TOUT
L'histoire
à la poubelle
du
Conte
et certain...
D'électives
amours
de Juliette
et le marquis
de Roméo
au moment
de l'instant
dernier
souffle
au gré du vent
devant
cet effroi
d'Amouir
et l'exil
infini
sur le
SEUL
Seuil
des mots
gisants
épaves
en verves
'' La vie n'est
que la mort
qui vibre '' ***
Ô
de
LÀ
d'ici au bord
de la rivière
4 esseulés
- 1
en livresque
tenant
pour compte
escomptant
le tendre
moment
indiciblement
LÀ
OÙ
IL
N'EST
PAS
La vie
cette citation
des citations
en récit
récitant
des récifs
d'oasis
enneigés
des poèmes
du beau de l'air
en sol
si Sisyphe
négociant
un embarquement
avec Ulysse
éborgnant
au passage
Joyce
'' L'Art nous offre
des énigmes
mais par bonheur
aucun héros '' ****
JE
te cherche
JE
en marchant
chantant
d'OÙ A dit
effeuillant
la marre
aux wawarons
en postures
de
UN
plus
UN
en
FIN
Beckett *
Ovide **
Jabès ***
Blanchot ***
De l'autre
côté
ICI
du
RIEN
et 100 mots
maux
seuls
sans
diversion
qui
s'Ose
et dire
le silence
passant
fermant
la porte
derrière
les musiques
de l'abyme
d'ossements
figés
fixés
du
Mensonge
Vrai
(ni vérité
ni mensonge)
Jeu
de passes
passages
ayant eu lieu
ou pas
Tantôt
et pour d'autre
peut-être
misères
par vingt cent
milles milliards
de boeufs
d'abattoirs
pour en
Somme
et monnayés
de
Darwin
prétentieuse
ingérence
De l'autre côté
ICI
enfin
fin
Écrire
et cri
où quel est le sujet
de l'Art
et sur le versant
du
RIEN
qu'elle en est
la lumière
clarté
du jours
du lieu
et des amours
Si le peuple
n'est que de la pâte
à modeler
où en est-on
avec la splendeur
des oiseaux?
Alors l'Art
l'ouvert
le passage
au bleu
comme on voudras
ciel
enfer
pour autant
de tendresse
que le veux
l'antre nous
du peau aime
et ses organes
non chirurgicales
qu'atomiques
mais hélas
en vérité
Art
de là
Beauté
exigeante
au donné
du retour
des douaniers
dédouanant
leurre
qu'il en est
de la création
par le désir
nuancé
à manger
ses bas
fondant par pairs
les coeurs
tremblant
d'amouir
Aile
L'Aile
celle qui manque
vers les dessins
du tout autre
Muse
sur l'autre portée
des vents
hors somme
en neige
fondante
désertée
de non lieu
et le debout
de l'épave
aux violences
fouettées
du temps
d'Attendre
chérie(s)
Enfin
pour une
sanctification
de la fissure
dramatique
d'effrois
passés
du festif
masquant le grabuge
du bleu
par l'esprit
de marchandage
des en sommes
Toujours
incertains
l'Enfant
aux cheveux blancs
déchiffrant
les froidures
et les tranchées
musiciennes
et du maquis
de mémoire
ancienne
Art
des oranges
sont vertes
l'orange
de Francis
et de la terre
du rêve
crevé
des nouveaux nés
et la folle
Nature
natures
naturellement
anthropophagie
d'étalages
et de la caverne
de compost-elle
le feu
Sacré
ART
en diantre
pour une musique
des champs
de
Marcelle Després
sur la
Maskinongé
où
Boileau
Poussin
sans corrections
donnant
la vivance
et ses
Réminiscences
les Saints
du col
enneigés
des froides
ignorances
humaines
ART
robinnerie
de la Grande-Ourse
céleste
d'aurore
avenue
d'ouvrant
noir et blanc
aux nuances
amoureuses
toutes
de travers
et en vains
comme union
poétique proématique
présence
en forme de poires
miroir pour Éric
s'attirant
les milles
et une pluies
sur le Mont-Chauve
et Modeste
sous le vent
des îles
subjectives
Art
c'
EST
QUOI?
Et bien
un contre-mort
et c'EST
TOUT
et bien assez
dit le peintre
qui marche
Un contrefort
haut
si!
De circonstances
en cire
de Rosso
et
LÀ
DISPARITION
Sous-sol
en tant
de qu'est-ce que
les larmes
ICI
MÊME
en paradoxes
et antithèse
et opinions
de pierres
j'en jase
aussi... .
Feuilles
sur le grand
compostier
des qui va...
LÀ
SEUL
Pour
AB
Et pas pour... .
Tes pâquerettes
tu te souviens
tes pleurs
Curieux
en temps
n'à guerre
et l'éloignement
du si près
de
TOUT
Tous
tantôt
en cette fin
de monde
En Fin
QUOI?
(Isaac
Will)
si loin
si terrible
nostalgie
( impossibilité
de l'instant )
Cioran
Ne pas nommer
dessiner
graver
sculpter
'' Institution
de la vérité
DANS
l'oeuvre
...Puissance panique
...violence productrice
etc... '' *
Car viennent
les bâillements
annihilant
les beautés d'effrois
retrouvées
et apprivoiser
le TEMPS
d'une épiphanie
extase
exultation
encor
un je ne sait trop
ou quoi d'élévation
ou bien
la joie tragique
que d'être
de
RIEN
Silence
portant
l'Oeil
esprit
sur la misère
terre
et peu importe
d'où elle vient
la
VIE
des chéri(e)s
amalgamés
au coeur
du
EST
lumineux
en don
infini
d'Amour
pour
ÇA
ce tas de...oui
merdique
et en somme
monnayé
d'immondices
prédations
du bbq
au tombeau
en cendre
infini
Heidegger *
Et des
épiphanies
de rages
amoureuses
de lumière
par ce
Peuple
enfant
de l'autre bord
discrètement
secret... .
Combien
Au filet
de mailles
ayant laissé
passé la
Baleine
blanche
des a-blanc
et les beaux-arts
des maîtres
anciens
de Thomas
et des innommables
danseurs
sur le fil
du couteau
des offrandes
sur la plage
d'ensanglantés
horizons
de
RIEN
terriblement
silencieux
et
TOUT
AUTOUR
sans noms
qu'innommables
Amours
Art
les tous
compris
d'antre
eux
les
LÀ
liés
des abysses
et des vertiges
Cercle
cassé
d'en sortir
du moule
à monnaies
de signes
enmurmurements
des jaunes villes
et citées
devenues
lambeaux
d'abat-jours
Pas
LÀ
d'ICI
les peux
du
SEUL
à la passerelle
des vents
du bout du pied
enfin
'' Péché
n'est pas faire
le mal.
Le vrai péché
est de ne pas
faire le bien '' *
Et des pavés
sur la grève
laissant tranquille
l'arrivages
des aimé(e)s
Malgré les doutes
à causes d'eux
avec
tant mieux
temps pis
pour les cors
au têtes
en dessous
des mortillons
et des bûches
sucrées
de No-Way
et du père
mamelle
et des glaciers
pas l'air
du temps
passeront
au glacière
sous les degrés
zéro le gel
de l'ange vain
trop peu
au trot
l'ensorcellement
consentie
au dessein
à dessin... .
Pasolini *
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