'' L'information
c'est la société
de contrôle '' *
De la rue
du temps
changer
de cap de côté
Et puis
quoi l'éternité?
Le seuloeil
avec l'instant
de la folie
rythmée
de pas savoir
et du contrôle
de quoi en fait?
De lui
le même
UN
des uns
et sa terminaison
du livre
en Somme
d'au-delà
du Dieu
nommé
Dieu
Au début
est
était
seras
et du corps
sans organes
d'Artaud
ou de qui
porte la sortie
au coeur
du principe
vivance
'' Qu'il est laid
le bonheur qu'on veut,
qu'il est beau
le malheur
qu'on a '' **
Elle dort
la misère
du moins
quand on l'écrit
dessine
ou encor
le foulard rouge
gilet
jaune
le bleu
des mains
d'en dessous
des chairs
de l'eaux
salines
en larmes
des caniveaux
des morts
encerclés
de mauvais présages
Dantesque
abattage
de plus grands
que nous
en passe temps
aveugle
d'ignorance
et ses bien
inutile
propos
Perdre le fil
d'où où vers où
Mais
en avançant
en ce l'histoire
compté
comptable
et sous zéro
des froides
passagères
mantes
et contre cela
les bras de
Guan Shi Yin
tout autour
en conte
d'avance
au champ
des signes
de taire
tranquille
protégé
d'amour
et d'eaux fraîches
des mots
à maux
passés
sous les pâquerettes
d'un instant
d'effroi
L'informe
aile
de partout
hors la horde
la cochonnerie
des mots
d'art-o
ou encor
de l'inutile
De l'ennuis
des ridicules
patentes
a gosses
des peaux d'animaux
sur
le fond de teint
du mensonge
des bruissances
quotidiennes
en fin
de party
Festivités
sans visites
du saint-esprit
Madame
c'est
sans haine
et un jour
vous verrez tout
ce qui est
profondément
composté
par l'indifférence
du créateur
qui en a vu d'autre!
Sans l'espace
spatial
du coeur
dessiné par le désir
de votre peau hachurée
le miroir
ne pourras
plus
mentir
L'art est ce jeu
au-dessus
et avec
le plus grand
l'espace
d'un moment
À répéter
le plus possible
si l'on peut
Ses bienfaits
antithèse
réconcilié
avec toutes
formes de synthèses
selon la thèse
du désir
de Freud
de se faire passer
pour un idiot
ou de l'être
réellement.
Oui du corps
flétri
qu'on poste
vers la reine
et du petit fils
de Freud
Deleuze *
Cocteau **
Gouffre
en lignes
au dessus
du volcan
de vivance
syncopant
l'horreur
à la lie
d'outrageuses
lubies
de lui
le même
autre
en tous
au forum
des abats
boucheries
du
Camp
des mortalités
du pouvoir
sur animaux
dupés
d'amours
monnayés
Exécrable
moi je
et des tonnes
de cadavres
assoiffés
du tube digestif
immonde
Enfin
quoi...
La météo
tient
certain
que c'est la rafale
de vent
qui met devant
la peur
en chaos beau
maux dits
La vérité
EST LE MENSONGE
petit et grand
qui fait durer
la situation
de dévoration
au prix
du fugace
avoir été
de l'histoire
d'un tyran
l'autre
le diable par la queue
effet mère
en
Somme
La terre
tombe de haut
galactique
virus
à la solde
de l'élevage
des puces
sur le dos
du tigre
l'air de faire feu
sur la stragédie
lumineuse
de la
DISPARITION
et du
DIEU
et de toute
sa création
en l'engouffre
éternel
du brasse brasse
redit par mots
de la même étoffes
que le compost
posté
après
longtemps après
TOUT
en direction
bien entendu
de la
post-lumière
Seul
Kafka
y était
initié
tenant lieu
quelquefois
Proust
le Douanier
certain
et puis
des animaux
quelques
amis
tranquilles
Saïs
d'Hölderlin
et les fleurs de sang
des étoiles
dans le ciel
des coeurs
endormis
de vigilance
ô réveil
tout en Jeu
dans les maux
Nouant
à peu près
TOUT
des dieux
aussi
mais surtout
des âmours
refait
d'Attente
sur des os
en
Ô
de bonnes
résistances
et geste
assuré
d'obéir
à l'esprit
guidant
les larmes
hors l'atteinte
des belligérants
variant selon
l'assise
de traverse
UN
SOUFFLÉ
'' Les chaînes
de l'humanité
torturée
sont faites
de paperasse '' *
et de la cochonnerie
de la société
du cube
de marbre
noircie
entre deux fesses
à composts
d'en faire
déserté
de la Vérité
d'Enfer
même
Kafka *
Saut
sot
so watt
Droite
gauche
cendre
ossature
du peuple
manquant
Ô
TRI
qui va
EST
en vaillance
des larmes
Douce
gardienne
du conte
à tenir
d'à bas armes
voyant
de
LÀ
plus haute
comédie
belliqueuse
la monnaies
d'attentes
la résurrections
mortelles
imposables
du Caca
d'en faire
l'abattoir
du temps
sanguinaire
justification
du mot
MORT
Imbécile
madame
la Chose
ôm
Lieu
des maux
accrochant
les fleurs
oiseaux
cages
crevant
la couleur
de jaunes
excréments
des otages
des tas de gens
des virulés
mortellement
de naissances
barrés
du
Camp
le même
piégé
d'arrivée
et de la sortie
Granite
monde
coincé
en cube cul
buttant
sur la part
levée
proématique
au jour
troué
de
PAS
...et tenant
en tout
sans tous
et des ce qui à été
sachant
le perpète
action
du couteau
dans le bison
du drame
figé fixé
du cadavre
vie
marbre
céleste
noircie
du peu
en
RIEN
pour
TOUT
des mots endurant
la mise
à mort
de la Vrai Vie
ICI
MÊME
aux milles
insistances
d'attaches
pour tant
d'alloués
toutes en pétales
offertes
à la joie
de vives mémoires
et de paradoxes
de chemin
enfin
surtout
d'impasses
en
Sommes
commis
au meurtre
à la commissures
des lèvres
Histoire
d'au bout
du rouleau
terminant
dans l'évaporation
de quelque chose
milliards de trilliards
de...
Poudres poussières
tentatives
de...
traverses
hors le jeu
cruel
de ce qui
se présente
cocu
de la main
du corps
à corps
payant de chairs
vivantes
le droit
de la farce
attrapant
la trappe
par la queue
elle rira bien d'eux
la nuit
dedans venue
pour la mesure
seul
ou avec d'autres
vrai ou faux
contradiction
justification
et des pommes
poires
la fable
à la lumière
qu'il à
La cochonnerie
des mots
d'Artaud
les beaux de la langue
coupée
du silence
du
TOUT
sur le verbe
de la création
de l'enfer
des limbes
attendant
le ciel
de l'Esprit
Atroce
négoce!
OÙ
d'OÙ
vers
OÙ
VERROUS
hiboux
de la m'énerve
apeuré
transi
tremblant
en la terre
terrible
d'éruption
éjectant
le spasme
déflagrant
de faire
l'enfer
de quelque chose
du génie
dans le vagin
de la grosse
est en sainte
de la petite
danseuse
de
Degas
et de ces ampoules
colorés
d'enfants
attrapés
par la peaux des os
endolories
d'us et coutumes
d'enclumés
à la forge
du créateur
de main
vivante
retenant le ciel
de tomber
sur l'inutile
présence
du tombeau
de l'Histoire
en cette
grande
DISPARITION
de mère
loi
Ça glisse
et comme
commencement
le vent
prend d'assaut
les pires tempêtes
dans ces instants
de ce qui
EST
ICI
MÊME
proématique
arche
de no way
'' Nous ne parvenons
jamais à des pensées.
Elles viennent
à nous'' *
Pas au moment
d'en somme
mais dans le plus
seul
que
SEUL
En travers
les rivages
d'éblouies
Verbe
ou bien
t'est mort
LÀ
et puis
non
c'est autre chose
une ligne
de silence
un jeu
idiot
dans la gueule
de l'angoisse
dévorant
la vivance
en cris
de
RIEN
...et de lui
pas lui l'autre
non pas non
lui celui là
lui
NON!
Des nonos
teutons
des lui le même
grognements
crissements
en détentions
gardés
d'apprentis
gardiens
des viandes
d'os
d'excréments
D'oiseaux
de cellules
barrées
portes
écroués
du
Camp
des synapses
en pièces
asséchées
sans fenêtres
Là c'est eux...
là c'est vous
demain
vous
ou lui
encor
la
MORT
qui pense
le peux?
L'introduction
de la mort
dans la vivance
le verbe
à mots
des maux
au seuil
du Paradis
de la lutte
et des morts
plein
l'Histoire
d'un compte
en banque
Or du vos poches
crevées
des boucs
lapidés
d'anthropophagies
restantes
d'abattoirs
mal nettoyés
des biens pensants
de la détresse
misère
des enfants
de la lumière
aux armes
citoyens...
Etc
cte tec
des scélérats
au jeu damé
de la trempoline
de Goya
au passage
de l'effroi
lumineux
que
d'Être
ou
Pas
'' L'espace
est un corps
imaginaire
comme le temps
un mouvement
fictif''' **
En tant de quête
l'enquête
porte sur
la moelle de l'os
Grogne
de la courte paille
de la chaise
musicale
de la liberté
de quoi?
Des droits
de vivre ou pas
Bakounine
ou Dieu
sait quoi?
En vérité
un verbe
au moteur
d'écrire
un conte
tenant
lieu
liant
les méandres
de l'ennuis
qui éloigne
le bonheur
d'aimer
Heidegger *
Valéry **
