7 juin 2019

Enfin Sans Fin


Pas LÀ
Pas À Pas
Le Comment
Ce Ment


"La réponse
est le malheur
de la question"*

Pourquoi tout ce bazar
infini ou fini...
À cet endroit
c'est l'envers
l'inverse
à l'autre dehors
c'est dedans...etc.
Où se situe
l'exactitude
de l'émotion
en sa fin d'énergie
Un autre début...
et toujours TOUT
pour TOUT
et sans mystère
le TOUT mène
en bateau vers...
l'Oeil de Conscience
contre le mollit drôle
tatawineux du temps
disparut depuis
la fin des temps
Alors vers et quel
autre verrous...
Bacon dans l'étal
du boucher...
surpris de ne pas y être?
Mais est-on où on croit
être?
Là t'es mort ici ressuscité
très malade sur le bord
et tu tombes dans la santé
puis là encor en métro
en avion...what ever
ça ne va pas...
et puis tu montes au ciel
c'est selon l'émotion
le coup du sort...
Enfin tu meurs
quand l'heure
est la tienne...
encor des actes
pour taire la terreur
de voir bien Voir
le chiasme du Être
Enfin emporté
avec sa monnaie
ses prétentions
pour finir liquéfiées
dans un gouffre
le même UN des uns
il y a quelque chose
plutôt que RIEN
ici de honteux...
Allons le terrible
là et là
Comment dire
c'est fait.
Bien sûr que cela
ne mène nulle part
Du vent...
des courants d'air

Mais qu'est-ce que
veut bien dire
ART RIEN TENIR
SORTIR...
Ici brillant personnage
là des meneurs d'hommes
là ceci cela...
Des caches morts
des fuites des faires front
des à nous deux
à nous trois quatre
des milliers pour des idées
de l'autre
Là un fafa nana tique
là un luna tique
un cyber né tique...
Une conscience
cette douleur contre Nature
contre tout tout contre
par petit dessin donné
sans camisole
ou si si la lumière
enfin dantesque
kafkaïenne (Bosch
Rembrandt Goya...)
tu vois petit dessin
de fissure d'oeil ouvert
mais en vérité
il s'agit de la MORT
Thanatos
Art de quoi?
De ceci VOIR
et tenir pour voir
quoi?
L'inutile BEAUTÉ
d'embellie...
de l'ouvrage à l'oeuvre
se faisant devant le miroir
par coups d'éclair
dans le ciel à soir
Des nuits d'un noir
plus noir que noir...
Alors...

La belle forme informant
l'informe que tout tient
à un fil...Tenir
dans le non savoir
le savoir-rire
c'est certain...
Et bien si tout
n'était qu'un tout
petit dessin
sorti de la nuit
de l'impossible
Distance dix stances
pour l'écart
du jeu hors pogrom
sujet bon pour le sans fin
des limites
C'est-à-dire qu'elles
s'imposent d'elles-mêmes
Tout est en place
pour un set carré
dans le ronron
des us et coutumes
Boileau Jouhandeau...
le maintien de la forme
informant les capteurs
du sens utilitaire
de la machine à broyer
des chairs à connons
à monnaies d'appeler
peu d'élues changées
mis en banque
au cas ou...
Pas d'Art d'or
qui dort dîne
Se rendre compte
que c'est vers ça
le vice le suicide
écrire pour délire
le monde scellé
eschatologique
En Fin
Les grandes bouches
ont avalé le désir restitué
le dégoût
le ressentiment
fait payer la folie
du jour
Nihilisme décadence
régression finalement
Disparition...
en cendres
des viandes de chairs
tremblantes
en un Gange oxydé
désirs dégoûts
cha cha cha
Mais petit dessin
d'entendement
en corps copie qu'on forme
dédoublement de l'esprit
du désir par osmose
entre nous

L'art consume
les scories
les contradictions 
les malentendus
la  compostassion
du bien du mal
en petit dessin
vers la Liberté
la liberté
habiter la liberté
mort ou vif
une réelle illusion
choisissant ses couleurs
dans l'amouir
et l'eau fraîche
(du temps arrêté)
dit Bonnard
et mériter votre rêve
dit Paz écrire
pour TOUT
et PERSONNE
là Lobos



Diagonale En Noire


Élévation
du chat par un bond
attrape la pensée
se sauve du devenir
machine...
Dieu un piton
sur la paroi
technique de la Mort
mais seul après
une régression
d'amibes ayant terminée
le repas in memorium
du festif monde
des corps-à-corps
jusqu'aux os à la moelle
cendres et poussières
Disparues
De loin de très loin
des sons...Bach?
...indistinction
UN des uns
en un crachat une araignée
dit Bataille
jusque-là (il y a)
mais LÀ le Visible visible
juste avant l'éclatement
par effroi de la reproduction
du même par Nature natures
machins machines
autant que veut ou pas
la Chose dans l'ignare
universel sans lendemain
Ici débute le LÀ
par-delà le proématique
des institutions
de concessions
à ce qui EST atroce
Tube Digestif
Tenir libre par la démaille
la violence étatisée
malfrats et héros
bien dosé
toute en oui non
maintenir la confusion
et les partis s'entendent
en Fin comme des larrons
en festifs et pétards mouillés
pour une apocalypse payante.
Enfin que montre un Brueghel
Goya Courbet Manet...
que fait dit dire redire
montre monstre démonde
cette brèche hors l'histoire
de fous dans la tomber
dans le chrono des affraires
des cloches à vache
Porter la fin de la forme
non pas à une ligne
mais à RIEN
plus loin que poussière
Ici indicible silence
Allègement et dire
crevant d'émotions
à multiples facettes
faisant de la bougeotte
instables perceptions
de tensions d'usures
matières programmées
pour métamorphoses
en Dieu sait quoi?
Partout des intérêts
anthropophages
ensuite c'est l'extase
pour tomber raide mort
dans la nuit du toujours
et l'Art inutile ment
des vérités nouvelles
porte cela à la lumière
du jour des voyants


Blanchot*





Le Camp




...du sot
des parcelles
au coin
pour fendre
le libre
enchaînant
le souffle
à l'air de RIEN
reniflant
la racine
du figuier
aux bouches
désertées
malmenées
d'attrapes
faites à l'os
la levé jadis
grec au dos
oeil de guerre
ensablant
le nul part
des morts
stupides
rires jaunes
en pire
riche de faux
la mer à boire
mange clous
d'épines
et vinaigre
Juvénile
le verbe
la faute
nausée
d'éclairs
au chocolat
temps à faire
bien VOIR
survoler
rizières
les sottises
quotidiennes
sans solstice
banni par
eschatologie
fautes d'épreuves
faux-semblants
l'arme à monnaie
démolie le socle
d'imagination
sauts de sauterelle
place de l'étoile
sous le jupon
d'Hélène
un rond qui mène
l'exténuation
des visages refaits
aux subventions
des arts et lettres
scellant jour et nuit
le nihilisme sénile
d'une mare d'oubli
écrouée roulant tombeau
des neiges noires
39-45 2017 ...o
tyrans colorés
de lumière
sur l'affront du vivant
dans les tranchées
du maquis
la mort veille
au contrôle
des disparus
fruits corrompus
de douches gazées
au piano
pour les poires d'Éric
se brisant dans le miroir
à mentir de Léo
Rhésus actions
un tas d'avenir
la terre sang venir
la prise le sort
décor de spectraque
D'ébloui
levant le voile
sur le soleil à l'oeil
des bas fourneaux
du volcan affamé
d'astres éteint
de fins de masse
en prière
de ne point déranger
la communion
des fins finauds
à la gare Canfranc
d'intérêts de race
de pas gênés
sans honte la Nature
au-dessus de ses affaires
tonnes de chairs à charnier
dedans dehors
Invisible Génocide
d'enfants de nananes
sur collants à mouches
au ciel de la fée carabosse
et du président Schreber
archéologie du grotesque
d'ayants droit
dans le palais des disparus
de la raison engendrant
l'augmentation
du train d'en faire
davantage
pour la destruction
de l'apocalypse
Main se fermant
sur d'elle
calmement
à tire-d'aile
Saint-Sébastien
en songe
léger léger
de vent seul
proue et peu
accoudé
s'endort
sur les dormants
du train train




31 mai 2019

Larmes De Passe




Comment
pourquoi
cette histoire
qui fait con
sang suce
sex sur tant
d'indices
de faux air
vent des mises
en solitaire
de mort en lumière
engouffré de fins
à affamées
le capital d'affaires
peur à crever la balloune
dépressurisant
des cages pulvérisées
d'atomes éclatés
mal foutus d'ignorances
pas un bruit
grondement de murmures
et rires à pleurer
le sel du corps
retourné aux mers
érotiques
Homère otage
...Mahler Alma
piano quartet
amoureux de l'Amour
pas d'ici d'ailleurs
retenant le tenir
infini...
Après la lumière
de nuit
les couleurs
Clerbout
des oiseaux
de François
ténues diaphanes
un oui si près du non
inouïe ficelle grise
pour Ariane...
ou encor on ne peut dire
et c'est toujours
ce qui se dit
C'est fait pour les yeux
jusqu'au fond
où se prend
la racine vaporeuse
résiduelle
formule amalgamée
résultat ou création
futile inutile cela Est
Courbet n'est pas
le début du monde
mais bien avant
l'érection du père
se perd...en paires
perdant les ampères
de lumière
Tout l'Art
est de ne pas...faire
la queue à l'entrée
du grotesque
du piège à cons
de la reproduction
caca pipi ta liste
fourre tout de lui
le Même UN des uns
con postant
l'interpénétration
guidant le peuple
là quand la lettre volée
échappe au vol
des babines
pour le Silence
des ayant droit
à dire sur plombant
l'écho des lointains
baigneurs (euses)
du Maître d'Aix
la bite au-dessus
du gouffre de la Vérité
Alchimie à dessein
proématique
qui + que -
entre ouvre
et ferme l'attrape 
TOUT

Infime pas LÀ
mieux RIEN
tout à passé
et à demeure
ce que sait
qui LÀ attend
éternellement
d'engloutir
toutes impossibles
Mortel ou immortel
y a-t-il un doute
Au choix de choir
ou pas ici ou ailleurs
Mort de ce qui EST
par arrêt de l'Art bite
après ça le désert
(To be or not
encor préfère ne pas)
Ici plutôt que là
Où?  En qui pense
fait penser ou pas
TOUT EST LÀ
Où?
En l'éternité retrouvée
c'EST l'améliorer
avec la joie d'exister à nu
sur nature velours
sur toile
de fond d'araignée
Rodin Claudel
Richier ou Bourgeois
Gicometti...hommes femmes
guéguerres mieux
la règle du sang tous...
des cent morceaux
Un jeu fixé
d'enfer ou paradis
l'union des deux
Métamorphoser
transcender
le bout du boute
en espace désiré
passant outre
à la DISPARITION
d'abandon...

L'extermination
en fin le trait
trie...machinique
divin...mieux
l'Art étant la mère
de toutes choses
RIEN sans début
sans fin
Entre deux morts
deux consciences
un Antre de lumière
à main tenir
aveuglément
ce conte à rebours
sur une ligne
de vertige tremblante
amoureuse
LÀ où l'éternité
va de soi...
SEUL t'as passé

Alangui
le corps mort
sous sa disparition délayée
d'où des nécrophores
prennent leurs envols
sortant de deux
trous rouges
du côté droit
des gangrènes
aux mots
passage trépassant
le désert de l'outrage
à la vraie vie
ICI MÊME
librement
pas libre         
de ne l'être pas
liberté prisonnière
de la dire
ne la libère pas
Cage à l'air libre
emprisonne l'air
sans prisonniers
dedans dehors
et 100 autres à barreaux
barrés des bureaux
balayés par mille
millions milliards
d'affamés multipliés
par tête de poissons
des super-surfaces
en rang payant ou payé
de morts cultivés
pour disparaître
de cette histoire
en BOOMMMMMM
au jardin d'acceptation
alors la fin
pas pour des mains
mais la faim
demain sans Dieu
que néant
au Jardin Proématique
du LÀ
libérant de la Mort
en la Beauté Parfaite
où s'éteint la Lumière
Effrayant
TOUS
ces yeux innocents
maintenus dans la Mort
en offrandes
aux fous sans Dieu
à des fous de Dieu
à Dieu sait quoi
Dieu ou pas
le mot le dit
et surprenant
qu'un Dieu éternel
s'en face avec ça 
la perfection
est une perte de temps
sans histoire
le début de la fin
des dés pipés
d'un verbe démoncratisé
pillé au nom de la vulgate
au nom...de la farce
au cul des cancrénés       
d'aller multipliez-vous
le UN par uns
autant en emporte le temps
régnant tyran et le diable
et la queue et les ailes
et les plumes le bec...
en Silence
Caspar David Friedrich
partie sans bruit...
dévoré par Saturne
en la Vérité du Mentir
se dessinant des accroire
de début du monde
l'air du trou retrouvé
de la mort
tombant des nues
ICI MÊME
PAS LÀ
PLUS ou MOINS
MIEUX sous le tombeau
aux sus de froides
exterminations
post-Spectraque
disparut en poussières
L'Art étant la mainmise
sur un mourir éternel
dévoreur d'éternité
Quelque chose
aura été...
..."en moi je sens
du vide et du feu."*
Braise
petit dessin
de jeu
deuil
en yeux
ouvert
sur la nuit
des fins


Tsvetaeva*



La Chose



Grille De Toile


Ça devait finir
en passe-temps
et jeu de main mortes...
ÉMOTION
Voir un instant
comme toujours
Engourdissement
de la Peur
sous peine
de perdre la tête
toute faite
conçue pour la folie
du jour
servant d'attrape
esprit (flambé de lumière)
Faux tout est faux
ça finit par croire
le vaporeux
le paradoxe
l'inconséquence
de l'hédonisme
au dernier souffle
amertume
Voyageur de l'impasse
au tombeau
des énergies fossiles
au nouveau-né
régressant en violon
de Rimbaud
en putréfaction
des belles jambes
d'un système
en assomption
pendue au lampadaire
technique du quotidien
et misères des mises
en tutelles
des cervelles peintes
par Géricault
ou Bosch Bacon
Mais quoi
la Chose araignée
crachat chez Bataille
poire pomme...
Dieu chez Cézanne
la foi tu vois
sans queue ni tête
poltron chier
chez Artaud
Tas de chairs
pétrifiées grotesques
à diamants or monnayées
de lui le MÊME
UN des uns
Enfin quoi encor...
avancer dans le fond
écrire ton
cercueil d'assassin
mangeur de lui-même
le UN des uns
en TOUT et PARTOUT
Ça voltige dans le très-bas
tout au fond des boues
En avançant
cap au pire
laissé ici tout espoir
pour une danse endiablée
du bon Dieu
sur la souffrance
qui emmerde le calcul
la douleur qui crie
dans le silence
du pain bénit
des gagnants de lotos
de la mort de l'autre
en quantités de ruses
qu'il faut pour faire semblant
que le bonheur ça se gagne
en ENFER!
Abîmé chaque fois
de renaissances semées
dans le four à belote
de mots
d'idées
d'opinions
comme ici
dans ces mots
qui redondent
s'annulent
se contredisent
en bêtises
sottises
avançant en arrière
dans un mouvement
excrémentiel à perpette
fleurs des morts
T'es bien morte
roses beautés
fissurant
le ciel d'agonies
accouchant de bibelots
de sauve qui peut
en somnifères
histoire à vide
d'os et d'eaux pourries
de la vérité quotidienne
en plein jour
pas de volcan
sous le crane de dépense
à perdre la règle à calcul
de l'enfermement
par acquiescement
à la vérité trouvé
le perd allé cendres
et poussières
RIEN

Chose est en fin
partout en tout
dans le grand sommeil
éternel sans savoir
quelque chose
sur la Chose
qui est la cause
de toutes choses
en RIEN justement
pour cela MÊME
Mozart quintet k581
du rêve...que ça
le reste ça dépend
pas de ça...
Patience chérie!!!
Tenir la fissure
ouverte matri patri
fratriarca cul-de-sac
du culte du cul
Sur l'Art
qui n'intéresse
que le résiduel esprit
au clavier mal tempéré
d'une tristesse
immonde...où abonde
un fourre tout
de zéro zoo
au pouvoir d'assassins
du bien et du mal
où tout se justifie
et la Chose Bouffe Troue
Art des évanescences
des arrêts de la Chose
des poussières
sur socle post-attente
en fin de crépuscule
...comme le RIEN
de la Chose