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17 mars 2024

L'Art Donné



'' Qui surveille qui?
Surveille? '' *

Ce qui insiste
il faut le dire
le 
DIEU
absent et si glorieux
et le
VERBE
pour le
GRAND SILENCE
qui va échoir
sous peu
Et posthume
en guise
de vive mémoire
Sans tenir
pas tenue
obéissant
d'avoir désobéi
au gène adn
et lâcher
prise
depuis
un bon moment
'' La meilleur façon
de réaliser
ses rêve
est de se réveiller '' *
Des circonstance
par la suite
d'AMOUR
et de dépense
inutile
( Non serviam)
Dire ceci
pour et vers l'image
point d'appuis
à l'éducation
d'AMOUR
de l'amour
EST
la plus terrible
des armes
contre
les manipulations
du libre arbitre
L'ART
EN EST
que le
GRAND
SERVITEUR



Petit main tenant
la 
LUMIÈRE
sur le temps
posthume
et passé date
Ce qui ( secret
et vérité de la Palisse
Polichinelle )
EST
enfin
TOUT
Se refaire
l'ART
d'aimer
ouvrant 
la réconciliation
des contraire
pour 
l'antithèse
retournant le gant
en tour d'écrous
James
(il faut croire
dans le doute)
et la persistance
jusqu'à l'
ABANDON
final
et bien... .
La clarté
de l'émotion
n'est pas
dans les règles
et elle exauce
la
VÉRITÉ
en 
par 
L'ART
donné




Créer
la guerre
et Kafka
à la baignade
 la poésie
dans les tranchées
la surveillance
deleuzienne
suivant la réflexion
de 
Foucault
et des autres
surveillants 
surveillés
vers le
UN
des uns
MACHINE
aveugle
et déjà
en voie de 
DISPARITION
Et bien
Qu'est-ce que
L'ART
posthume
en transfert
des molécules
amoureuses
tenant
de la joie
de
Bach
ou des belles cassures
de
Monteverdi
au métronome
calculant la part
de lumière
après
TOUT
En fait rose sur rose
rien n'est rose
et 
Rrose Sélavy
la vie en rose
et des muses 
disparues
avec
le dernier
amour
sur la plage
avec Einstein
sur la musique répétitive
de ce qui
s'enfuit vers
l'innommable
instinct de
MORT
à la queue leuleux 
des épelés
du simulacre
et beau drille
ART
 emballés
par
Warhol
 de la manufracture
au temps
d'une échosmomie
des monnaies
vivantes
du frère
de
Balthus
et la guéguerre
au front
pour la dépense
d'énergie
violente
et sa part maodite
Alors fait moi un dessin
à dessein
d'AIMER



Héraclite *
Valéry **

18 juin 2021

Main À L'Oeil


Le geste 
de faire
tenir
le peu
de possible
par la peau
des maux
à mots
Et plus
dessiner
peindre
sculpter
dans la bouillie
des jours
inouïes
sur les lèvres
de l'avaleuse
 trou noir
infini
Tous des farceurs
nous survivons
à nos problèmes '' *
Et de la main
aux gestes
créant
le mouvement
d'un monde
avec le conte
se refermant
sur lui-même
en il était
avait été
seras
et pour demeurer
avec Emil
sur une musique
de Bach
Une fuite
en lui
le même
UN
 des uns
Rendre visible
le visible
à chaque élévation
du fumier
le BEAU
corps gisant
exténué
brûlant
d'Amour
pour renaître
Jouvence
éphémère
illusoire
mortifère
En Fin



'' Le travail
le plus dur,
ce n'est encore rien
auprès de la mort '' *
Combien
enfin
passons...
L'outrage
envahissant 
le peu qui reste
et autour
le ricanement
de la décrépitude
qui poussent
 le désir d'Amour
à son dernier
retranchement
Pas un jour
pas un 
sans passer
par le grave ennuis
que d'Être abrégé
par tant 
pas d'envoûtement 
mais d'assassins
payés par l'accoucheur
piastré
du Pouvoir
travaillant
à crever 
la Beauté
lumineuse
de la joie
du passage
Oasis
à son
Silence
exaucé 
de sa plus haute
émotion



Et des mouvances
Héraclite
à du temps
alloué
pour...l'écrire
le dire
Oui pour...
en main tenant
la main d'amour
en prise
sur l'émotion
du tendre
ouvrant
le ciel
où vont se recueillir
les fous
remplis
du désir
 d'Être



Cioran *
Hesse **



29 juil. 2018

Transart


( . *. )


...vie
c'est tout
ça s'arrête là
Vie finie
air erre ère
vie et la Mort
c'EST l'acte
aller avec
De l'autre côté
l'ICI
toujours les mêmes
armes à larmes
plus jamais ceci
Hasard amour
autant qu'oeuvre
au passage des pas
vers le céleste
infime seule minuscule
bien en deçà
des signes
temporels limites
plus loin qu'en avant
achevant les os calcinés
de malheurs installés
d'énigmes outres âgées
de plaies ouvertes
Évaporation
de vérité joie
marchant à pieds joints
sur le (d) des bouches bées
pickpockets du UN des uns
dû pour la Mort
qu'est-ce-que tu crois?
Pommes en quartiers
crétins de madame Cretons
blanchis d'abattoirs
au saint-siège à compost
Des cartes d'émotions
machinées de maux
payant en aumônes
de foi gras... 
Pour finir

Splendeur des chants
sur l'arrête du c'est à Voir
pensant penser qui sait?
RIRE ou bien des ailes
aux pierres du désir
en "creux néant"*
nid d'oasis du RIEN
offert qui bondit
sur la portée des mots
en ruine perdus
et d'avance en amour
créant d'attendre
ce qui ne viendra pas
Quoi?!?
Dire en silence
l'élévation d'envol
LÀ cela vient... 
arrive...clavecin
pas tempéré de bas en haut
somme du petit pan
des murs à muer
ouvrant du même coup
des jeux asexués 
d'un trait une traite
de lignes...Ingres
allongeant le signe
hors l'enclume du sensible
Sortir allège
du sort de la langue
remuer marbres
poussières et feuillages
sillons filant vers
la lumière à peuple
qui manque
Enfin...
Entendez-vous les pluies
les vents et les sans fins
de la Nature natures
bruissements murmures
du LÀ recomposés
des masses sacrées 
d'agonies utiles
aux travaux du SILENCE
enjoué des joies
pour tout univers...
D'ici là la mer
à voir suite aux voiles
des palais où
claquent les langues
de l'île de la mort
tombent des rois
"A toujours été
un peu bizarre.
Très doué"**
En fait têtes
sans savoir mixant
du chaos malaxant
du TOUT
Fin de bruisance
Reprendre
le chemin de l'avant
d'avant l'avancer en arrière
davantage d'en avant
derrière les fissures
que créent les larmes
en dansant sur
le 0 dieu du TOUT...tous
après triage...
Alors ces mots
c'est pour quand?
Quand tu sens
voie entend...le RIEN
en ce qui EST va
pour voir encor
sur clé de sol au trou
des petites morts
broutant les verts
se donnant en pâtures
faisant grimper les actions
du fourrage universel
chauffant fumant
compostant du compost
composté...
des morts monnayés

Ni il niant néant
dix ans dire
la divine apatride
pendue à la lumière
de la noire soeur
priant fadaises
et tyrans tous
aux mêmes directives
décapités
du début à la fin
par le mot
qui mord le chien
criant à la plume
repue d'épuisement
heureux d'en finir
festivement
détachés de tri logis
transarticulant
l'esprit d'émerveillement
ICI MÊME
ayant donné la langue
a Miamioù
sauvant l'atelier
en transilence




Mallarmé*
Rapport médical
Sur Nietzsche**


23 juin 2018

Triair


Epictor


Oui mais
mais oui
oui oui oui
quoi???
Oeil piqué
de miel
des ors
enluminant
le bruit
noir du monde
Idiolecte
De cela
les maîtres
mots
trafiqués
enchaînant
l'eau l'air
et le vent
des grappins
osant
terroriser
la vraie vie
profanant
la beauté
des filiations
sans organes
perceptifs
éternelles
du moins
en ce qui à trait
aux lignes
de rosées
sur la toile
par d'infimes
poussières
matrices
tranquilles
tenaces
sans forceps
amitiés
hors l'us tribal
De droites
par coups
échappant
aux géométries
bloquant
le germe
en sa cellule
germinale
de luttes
pour ciel
et enfer
Et cette chose
propulse
pulse la pulsion
de créer ART
à se décharger
en la Chose
cloaque monde
formant le TOUT
parfait de l'univers
L'éclatement
de la Lumière
des corps
en absorbant l'énergie
épousant l'ensemble
limite du vivant
Tableau

Vérité de penser LÀ
misère ou joie
encor tout ce qu'on veut
Cela...
Oeuf neuf en 9
ciel en corps mort
la peau d'Edgar
en croix vivante
criant Munch
joie joue iiiiiiiii
fait des sourires
aux souris
des madames pères
Et puis ce RIRE
de Bach en ribambelle
pour une économie
d'abandonnés
histoire de tire poignets
de paquets ficelés
soumis donnés
à ces arts modos
d'accrochés aux murs
tombant des nues
clé aux pâtres
dans la graisse de bines
dame aux chlamydia
une nuit d'été
sur le mont chauve
chantant pomme d'Adam
et cerise sur gâteau
Bref histoire
s'en tenir à dessin
aux sans oeuvres
de la colonie
punis sans faire
de bruit passant
le mur murmurant
des vers la terre
la vraie la rêvée
celle sous pieds
des tombés morts
de fatigue
Vents traînant
des airs de vivances
parfums reminiscent
les roses de Personne
prison des départs
pour Nulle Part
dans l'inachevé
de la peau aussi
bordée d'alluvions
résistant à l'attrait
des semaisons
en pages de grappins
végétalistes
à la clé des champs
contaminés
par la loi de ce que
croit l'être
Allons dessine-moi
un crayon comptant
des moutons colorés
de points rouges
au fond d'assiettes jaunes
aux corps roulés
dans la boue bleue
des étoiles noires
de Borduas
en vain le rythme
de la langue déroulée
des derniers râles
de l'utopie s'éteint
Et la Saint-Jean
le verbe...words
words words
et l'alchimie des larmes
de bruines en ruines
Voir l'exil sur le pan
de falaise
comme sur les murs
une Joconde
une moustache
déguisée en führer
et en clown
fait de main tenant
les maux a la source
de ce qui Est Vu LÀ
 ...





8 mars 2017

D'Oeil


C'est voulu
c'est pareil
pas pour deux 


Sans l'être
autrement
songe
s'ennuis
d'été
Le vent des images
au-devant
dure le temps
de sa mort
cent personnes
sans sang
déveinent
art rive
par tant
perd du
il dc da
d'f froid
et sans savoir
ayant eu LIEU
tenant en aveugle
le non né
du trou noir
Parlure
des tombes
hautes
en tonnes
de maux
en bout de cul
de Lascaux
parois
de lumière liée
invisiblement
visible par le peuple
hors le chiasme
fétide
de la bouge
à prédations
du don de penser
qui brûlent
dans sa cage
à soleil
captant à l'éponge
les signes au vol
de ce qui EST
et pas d'eux
ni trois ni quatre
cinq qui mieux
baroque en temps
de folles abîmes
Que dire face
(en fin qu'est-ce qu'ils
disent qui que quoi?)
et SEUL là
ICI tu voies
comme si et encor
jusqu'à l'éteignoir
où tout est égal
en TOUT est LÀ
parfaitement
à sa place sur la mer
en furie attendant
d'autres maux
à dire à mettre
à leur place
Après Auschwitz
attendre apophasique
qu'en fin Nature nature
informe ignorant
la composition Réelle
de la Mort parmi JE
sans résurrection
et que de l'œil
pour la mer des larmes
des disparus
comptant globules
autrement
de LÀ
où le monde
interdit la seule
vérité qui Voie
la lumière
au coeur de la Créature
qui a tout dévoré
et de confusions
en adaptations
immondes
vers les sorties
de secours
vertigineuses
les enfances
retrouvés
en n'importe quoi
ICI et pas
pour demain
mais d'hier
véritablement LÀ
tombant de vertige
et de MORT
en éternité
de toujours
et autrement
entre nous tous
éternellement
sans fin
pour finir

Pendus d'usures
d'us et de coutumes
perdus de contre
et de pour
en contradictions
encor que des mots
et du Silence
qui lui aussi en est sûr
dans devant
la MORT
sortir du sort
des enrôlés
du voyage
tricotés serrés
en échos momies
trous noirs
d'endeuillés
de la Vivance
du contrat d'oasis
et de passage
Et puis de mains
seront-elles
plaquées sur la tôle
plâtre bronze
bois...
de toiles papiers
agglomérés
de pépier
dits redits
hors-jeu dedans
dehors et mise
en attente
de faire quelque chose
qui déconcrisse
le dieu sait quoi
nommant dénommant
le monde fragile
des cadavres incessants
sous le RIEN
jugé nul et non advenu
cela a été cerné
comptabilisé chiffré
UN en milliards
d'émiettés
biochomicotechniques
totalitaires
pour Tyran le diable
par la queue
Écrire des mots
qu'un casse cette tête
mais de brisée
vidée de sa folle
mention bien cuite
qui crût cela
en la vitrine
ventriloquente
Voilà qu'apparaît
rebelle en son temple
sans point d'appui
que repos
LÀ pardi part dite
par a dit ticket
pour l'infini
dans le corps cosmique
de la création ultime
à Voir dans l'Œil
du Deuil de la mort
de la MORT