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28 déc. 2022

L'Inattendu


... . sans savoir
les savants
du je pense
des prévoyances
au corridor
de la main mise
sur la chair
des morts
tas d'elles
et de bien de l'esprit
enfui
des mots
fermés
sur la misère
d'effroi
du vivant 
servant la peur
et la soumission
au destin
terrifiant
de la survie
quotidienne
Mais que fait l'Art
en ces temps
atroces
et apocalyptiques?
Que peux l'Art
 contre
la Nature
natures
du
UN
des uns
le MÊME?
Que peut un dessin
contre
une si grande
création
d'Enfer?



Les maux 
du 
VERBE
en mots
dit
Des meneurs menés
par
l'ingérences
politicomonétaires
risées
des Saint-Guy 
et du détruire
pour détruire
la partie
anonyme
de l'Amour
et de l'inattendu
de la 
JOIE
Il n'à pas tort
Jean Sébastien père
après
TOUT
et des mots arts
ou encor
les musiques
tenant le 
LIEU
du tendre
et de la
PAIX
dans la 
GUERRE
des êtres
et des en 
SOMMEs
La Vérité
est un désir
mal accompli
échappé
de la distraction
funeste
du passage
dantesque
et tous ces morts
tant donnés
SOLITUDE
des aimés
Contre
MORT
messieurs 
donneurs
transfuges
déguisés
de la tirelire
infernale
PAS LÀ
plutôt
ICI
MÊME
parmi 
l'EFFROI
sous les étoiles
infinies
de misères



Tenir
par la force
fatiguée
des larmes
et des mots
de 
SILENCE
miroir
d'amouir
et d'âmes
mortes
d'Ukraine
et de Russie
et du
Monde
émondé
d'immonde
Moment
post apocalyptique
Le
 VERBE
et ses chairs
déchiquetées
de la terre
ayant besoin
du sang
de la métamorphose
FINAL

13 août 2018

Après Le RIEN


Trans Mêmes
Arrêt De La Fin


Terre d'asile
de fous rires
faisant don
au don
ICI
au triangle
de chair
confisqué
en bleu vierge
de ciel 
cézannier
astreint 
à décrocher
la pomme
au terrible
mât de cocagne
pour à la fin
emporter 
par la gravité
d'un éternuement
réveillant
de sursaut
les cucubants
de zoo là
n'y voyant 
qu'avec raison
la géomenterie
du théorème
de Pasolini
sur la tige
du rivage
se prenant
pour l'arrivée
du seul oeil
levant le gibet
gibier giblottant
la mare à Rostand
fêtard têtard
des ars sous le pont
d'un conte
ayant tourné de l'oeil
au passage 
du UN ramassant
la mise...des uns
de mines basses

Finalement
cela n'a pas de fin
le règne du UN
en l'apothéose
du mot verbiage
collant là
là collant
et collant là
lalala l'erre
a là la lie
des cendres
tombant tombant
d'où? Tombant
de quoi?
Collectif peuple
société cela EST
dans baignant
bleu triangulé
TOUT EST PARFAIT
À moins que à moins
que????
Tire à sa fin
sous forme de langues
de feu il a été
était sera
l'indice du EST
coulé au choix
de tant d'ennuis
en plein jour
Les lemmings
après les dix os or
les zoos hommes
Chacun croyant
en UN uns parfait
invisible arrivant
partant la mère est belle
embarquons-nous de mains
Là pas là
ou là lalalala
en coeurs
tout ça bien arrosé
de fissions nucléaires
éliminant les preuves
d'un génomecide           
aura beau dire
auréole pour le benjamin
des vieux jours
le TOUT de rien
et sans histoire
Dessine-moi des moutons
cache Personne
tu voies ou pas
tu passes
entre les clous
des croque-morts
choux hibou tabous
ananart fils and Co
C'est pas sérieux
mon amour
de s'empresser             
comme ça...n'importe où...
"Le vague est un grand
charme de la peinture"*
Ceci cela l'esprit va
tient Rudolovic
y en aura d'autres
in memoriam
accompagnant
la vraie vie fibrante   
debout les boues
de bout à bout
OUI au non
de tous les oui
dire...NON au oui
du non-dit
Tu parles pour quoi?
"Calme-toi mon coeur
tu as connu pire que cela"**
Du TOUT
il reste le lieu vide
d'insignifiances
quelques molécules
d'insecticides
pas de quoi faire
un dessein
mais un dessin
inutile et pour RIEN
Cela qui tient
par petit bout de papier
cathédrale
bulle d'air au fond
du Titanic
encor sur la corniche
en EMI tombant
interminablement
éternellement
Tour de Bébelles
que va-t-il en rester
après tous ces tas
de quelques choses
d'Héraclite
et puis tout ça a-t-il
un sens réel?
Sans rire?

Moments de lucidités
faussement constatés...
Jouer un tour
c'est en vérité
l'Enfer
Sortir OUI
mais de quoi?
Vers où?
Verrous...
Chaque petit geste
graphique
exonorée du doute
de TOUT
Que le peu d'allouer
du souffle grugé
de partout
pour une histoire
macabre tordue
pour adulte
ennuyeuse à mourir
assassine ordure
redondante
qu'emporte le vent
devant la porte
du COMMENT dire
Comment doit-on?
Cela se dit...
La disparition
est totalitaire
et l'art EST
tenant Lieu
en lieu et place
pas chaste chasse
La réconciliation
avec le disparaître
comme stèle
socles et poussières
Ceci sans faire histoire
qu'un conte en te ment
naïf d'en RIRE
encor en corps
sortant de l'occulte
des grands zzzzommes
Dehors dedans
tinte ce qui vient
le papier bunker
loin des choses trappes
L'Art n'a jamais été
qu'Art art de QUOI?
De RIEN
Juste LÀ
par tant partant
partance verte
vers l'appui
d'un indéfinissable
passage par-delà
le don de vent
en peau aussi
feu le poète
rendant l'oiseau
à ses plumes
le chat à sa langue
Sans faim sans fin
sans sang l'offre
et la demande
Qu'est-ce qu'on mange
ce soir...
FIN du TOUT
aux tous sangs
tous et maux...

En sursaut j'entends
Nyx me dire "le chien jappe"
je me réveille...
Endormie je voie j'avais rêvé...
Trop long à raconter
Je me tais.
Ce n'était RIEN
J'ai faim mange ta main
garde l'autre
pour deux mains
un monde
un petit dessin
un mangeur de pommes
sous terre
tout en couleurs
UN




Delacroix*
Homère**




29 oct. 2015

Rienierien






...pas idées
de Rien
même
le Rien parfait
dessiner
écrire
tenter oser
seul
voir et incertain
pas bien mieux
indécis
user
éreinter
calme
inquiet
mais serein
animal
végétal
Staline
et l'évêque
de mon cul
Oui
et des feuilles
à dessins
sans dessein
chemin faisant
des larmes
d'outrances
en fin
de monde
sous peu
tous
en Rien
nier de rien
du tout
C'Est n'importe
quoi...
Exactement
comme on veut
tralala... .
Blafard
délavé
latent
larvaire
Y avait
celui-ci
enfuit ayant fui
sans délai
la part maodite
par un silence
sans nul
que du sang
vendu
pour une présence
suicidaire
et non artiste
à bout
d'un sans bout
une main soufflée
sur la paroi
arrêtant
l'hémorragie
du vide du néant
nihiliste
de l'éternel
fin des temps
tout se voit
quand la mort
dissout
la régression
jusqu'à la
liquéfaction
dans le soleil
que tant brûle
le monde
les cruches
persistent
et théorisent
la nullité
des mots
et les seuls
à seul
un cri
grognement
rire
ruminant
le temps
trop tard
déjà passé
qu'avant
là pour ruminer
ruminant
à la porte
de la grotte
au cas où
le métro casse
le vote
de m....
Même
saccage
des à la l'affraire
Solitude Et des pas
encor en trépas
d'autres misères
aux agonies
des passants
là si légers
de ne pas avoir été
des disparus
pour Rien
en un souci
qui s'élève
dans l'air aéré
d'un fouillis
comme le pinceau
et comment dire
si on ne peut peindre ?
Et la mort...
Passant
le flambeau
des torches
à gras
des ancêtres
noirs de suif
Des neiges
de misères
et tristesses
intuitives
Grottes
Notre-Dame
de Paris
Malévich
même Un
devant la grande
dévoreuse
de mémoire
que Bataille
ait pris ses bains
de merdes
seul ou avec d'autres
confirmant
que là où ça la sent
c'est de l'être
qu'il s'agit dit le poète
et que pour descendre
il faut monter
La chose est brune
kaki à la guerre
comme à la guerre
Des tas de gens
en mangent
tous les jours
avec l'aide
de l'alimentaire
et du pharmaceutique
et ils ne se portent
pas mieux
qu'avant que d'être
...De ce côté
du bord des cendres
voilà le Rien
basique
du début des fins
dernières
De là à en faire
tout un tableau ?
Loin de la couleur
de mes rêves
auraient dit Miro
après en avoir
beurré plusieurs
pour revenir au bleu
bebé tout de rose vêtue
donnant les suites
des 'Miramiro'
des jeunes années
de la voie
tractée par Oim
lui-même
et la céleste
suite des choses
Ceci va finir
en poisson queue
à moins que la fin
soit soufflée
par le Saint-Esprit
pour y mettre de l'ordre
et que la fin
soit en queue de poisson
Comme c'est merdeux
visqueux tout ça
Juste pour échapper
à ce qui vient
et qui va taire
la baraque

27 déc. 2014

Cent Mots De Rien


D'où Là Vers

Miss taire
terre
en voile
de vent
entre des côtes
de boeuf
Rembrandt
Soutine
...De même
les morts
pour manger
avant l'abattage
des misères
métamorphosées
en chimères
sur l'abysse
des grandes peurs
qui crépitent
en dessous
du burlesque
des jours et des nuits
d'un drame
semblant ne concerner
que le hurlement
dans les yeux
des animaux
Baudelaire
Rilke
n'est pas drôle
Van Gogh
Artaud
Bataille
Céline
Joyce
Pound
les contre tous
et contre vie
ceux qui passent
vont traces signes
tentent de dire
en vain...Par des noms
nés tout faits
pères mères
(têtes toutes faites
coeurs secs)...
des apprit par haine
naturelle Nature
Là le Rire
derrière les barreaux
la folie les tortures
Rire de Zéro Ni Mots
suite à Axe d'Abraham
Seules les oeuvres
sans eux libres
de libertés
Seule la beauté
sur les vertiges
des sans lieux
sur la terre bleue
comme un ciel
oasis passage
initiatique
l'effleure des fleurs
en pensées sauvages
racines à tout dire
à perdre ses chaines
Rousseau
c'est mieux
pour dédouaner
de l'obligation
de l'enferme
des en faire
de la culture
des noms de non
à la vraie Vie
ici même
Là juste Là
à Voir bien Voir
le visible invisibillisé
par la Nature
des enchaînements
d'une histoire
d'une richesse
écoeurante
un déversement
ressentimenteux
des héritiers
de l'atome technique
à bout de disparition
des enfers même
'Les poètes les artistes
et toute la race humaine
seraient bien malheureux
si l'idéal cette absurdité,
cette impossibilité,
était trouvé; qu'est-ce que
que chacun alors ferait
de son moi?' *
N'importe quoi
pas fait pas là
en fin trop
et pas assez
hors la Nature
à l'os à la rage
aux bombes
aux indicibles
folies meurtrières
des camps au Camp
à Jaunestown
et Gaspar
balivernes sur fond
d'imaginaire
au point précis
où l'enfer a disparu

Baudelaire*

22 déc. 2014

En Vie De Rien (scribouillage)


Rêve À son

La barrière des mots
filet à bon Dieu
extase de l'artgent
verbe de chair et cher
à l'os boursouflé
histoire de passer le temps
en cul-de-sac
remplis dort dîne pet
et répète qu'est-ce qui reste?
Répète...
La barrière des maux
la recette de l'extase
dort dans le mystère
de tous et chacun
de vouloir en finir
une fois pour toute
avec la vraie vie
de l'Art et de la Mort

Oui encor 
et en est pris 
d'amour 
de l'amour
sans mot
un secret
pour chacun
et pour tous
le même
là idiotement 
simple 
Lumière
bras ouvert
une fois
pour toujours
'Et ne traicte à point
nommé de rien
que du rien,
ni d'aucune science
que celle de l'inscience' *
Sous le rêve
le réel rêve encor
et réalise un rêve
que le fait de rêver
soit vrai 
De toute manière
codé ou pas
comme le réel
le rêve rend
le réel réel
l'inverse 
ne le fait pas

Bien sur
ne pas rêver
le même rêve
que le rêve?
Cauchemar
de la majorité
est de la pure
irréalité
Alors faut pas rêver
à moins que la vie
vous délivre
son secret
de vrai rêve rêvé
et qu'on devienne
un quelque chose
de réel dans la cité
des hommes
Devenir Homme
et que Dieu
sans commencement
ni fin
nous veille absoute
qu'en fin la vraie vie
recommence
Dieu en Dieu
de Maître Eckhart
encor où l'amour
infini
me montera
dans l'âme
de Rimbaud
ou forme de prière
Matisse
Fuir seul vers le Seul
dit Wittgenstein
Loin si loin
de Dieu Bouddha
Krishna...
quelque chose de mieux
avec Tout ça
devenir fleur
par les yeux d'un chat
d'un ours
insecte poussière
Rien du Tout
en mieux
Par Tout

Fatras de mots
en mégas dégâts
de Dieu
de philosophes
emboîtés
et les maux
pour se taire
du mot démocratie
qui cache totalitaire
Manet en a fait
de beaux citrons
Dire ne pas dire
murs des mots
murs de silence
mur mur
une histoire
de fourre-tout
insensément
ce tas de monde
d'Omnitude
Maux pour mots
deuil pour oeil
Sortir de la gangue
par et hors les barreaux
mille et un
je avec autant d'autres
pour un jeu pour Un
qui fermerait Le livre
une fois pour toute
sur le parfait bonheur
de la Grande Dispatch
après l'art la mort morte
comme de raison
Écrire pour Rien
parce que les mots
savent Tout
Peindre pour se beurrer
le cul de couleurs
et voir sa face
compostée au salon
des disparus
Au beau fixe pour tout dire
de l'infini du Rien

Montaigne*

23 nov. 2013

Signes De Rien


Postglyphe


...à Voir
sans lieu
en marche
au vent
de Némésis
ou du Dieu
mort des dieux
qui viennent
en signes
de tabulas
rasa
Et sans noms
nombres
...De quoi
s'agit-il?
Un peuple
fossile
éphémère
chaoschose
n'importe où
à l'Accueil
des labours
Tenir à Rien
attendre
peinart en fin
de Tout

Mourir
d'un souffle
s'éterniser
au passe
du plus qu'effroi
par absolue
métabolique
des larmes
de penser
gisant froid
en mots
ruinés
désossés
aux eaux
pourries
en gris
géomètres
en jeu
d'ignorance
pas pour vous
La Nature
d'un cri Un...
le dernier
bruit d'oreille
brouille
garde en arrière
ou en avant
mais pas Là
ou Ici
Libre entièrement
amoureux
baignant
brûlant
de mains
de maîtres
en peuple
qui manque

Sans vie
piéger
à se refaire
la forme
plastique de
coupe-tête
m'as-tu-vu
dans le conte
des morts
balounes
médaillés
de temps jadis
ou sans nom
en Je de bs oublié
de la fonction
pubisque
Code
hydreux
du dépeçage
anthropophagique
a sous la mort
consumériste
au sang noir
des anciens

Ebbassensa
qu'éotrarrie
se vuidaldalep
les yeux
du chat tré
duveaul
quand Malraux
rauque un iiiii
Oui le chat
d'Albert
Artassprim
at dirvalirre
en basse
continent
de yin yang
yong la chambre
de vingt cent
milliards d'air
gaz Un
derpannaux
sol si mord
Sang sans
etc. etc. trois
petits points
pour c'est Lyne